Le chiffre n’est peut-être pas important, mais la maladie guette des milliers de personnes à l’avenir. Le nombre de cas est approximatif selon les médecins puisque aucune étude n’a été menée à ce jour pour en savoir plus sur cette maladie sachant que 2 millions de personnes sont âgées de 60 ans et plus en Algérie.
Cette maladie, qui est une affection neurologique chronique causée par la diminution du nombre de cellules du cerveau et de leur connexion neuronale, doit devenir, en fait, une priorité de santé publique. Cette pathologie, considérée pas comme les autres, inquiète les spécialistes en raison de sa forte progression face à un manque considérable de moyens de prise en charge et d’accompagnement
professeur Masmoudi, chef de service de neurologie de l’hôpital Maillot à Bab El Oued à Alger : « Cette maladie posera un sérieux problème à l’avenir. Avec l’allongement de la durée de vie et de la qualité des soins, on s’attend à une augmentation significative du nombre de malades qui sont déjà près de 100 000 chez nous. Donc, il faut s’attendre à une augmentation du nombre de cas dans les années à venir. Outre l’absence de statistiques fiables, il y a les difficultés à diagnostiquer la maladie et le manque de moyens de prise en charge. Nous ne sommes pas outiller pour ce genre d’affections. »
Concernant les facteurs de risque, le chef de service neurologie affirme qu’il s’agit principalement du facteur âge.
Bientôt un vaccin curatif
La recherche offre néanmoins des perspectives encourageantes, parmi lesquelles la mise au point d’un vaccin curatif. Efficace chez la souris, il pourrait l’être aussi chez l’homme. Un nouvel essai clinique, piloté par le laboratoire suisse Roche, doit permettre de le vérifier. Dès le début de l’année prochaine, plusieurs dizaines de patients, parmi les 850 000 personnes touchées en France, vont y participer dans les hôpitaux de Bordeaux, Marseille, Montpellier, Nice, Toulouse et Paris.
Cette maladie, qui est une affection neurologique chronique causée par la diminution du nombre de cellules du cerveau et de leur connexion neuronale, doit devenir, en fait, une priorité de santé publique. Cette pathologie, considérée pas comme les autres, inquiète les spécialistes en raison de sa forte progression face à un manque considérable de moyens de prise en charge et d’accompagnement
professeur Masmoudi, chef de service de neurologie de l’hôpital Maillot à Bab El Oued à Alger : « Cette maladie posera un sérieux problème à l’avenir. Avec l’allongement de la durée de vie et de la qualité des soins, on s’attend à une augmentation significative du nombre de malades qui sont déjà près de 100 000 chez nous. Donc, il faut s’attendre à une augmentation du nombre de cas dans les années à venir. Outre l’absence de statistiques fiables, il y a les difficultés à diagnostiquer la maladie et le manque de moyens de prise en charge. Nous ne sommes pas outiller pour ce genre d’affections. »
Concernant les facteurs de risque, le chef de service neurologie affirme qu’il s’agit principalement du facteur âge.
Bientôt un vaccin curatif
La recherche offre néanmoins des perspectives encourageantes, parmi lesquelles la mise au point d’un vaccin curatif. Efficace chez la souris, il pourrait l’être aussi chez l’homme. Un nouvel essai clinique, piloté par le laboratoire suisse Roche, doit permettre de le vérifier. Dès le début de l’année prochaine, plusieurs dizaines de patients, parmi les 850 000 personnes touchées en France, vont y participer dans les hôpitaux de Bordeaux, Marseille, Montpellier, Nice, Toulouse et Paris.
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