François Fillon attendu demain à Alger : une journée pour l’Algérie, une autre pour Bouteflika
ParTSAle 20/06/2008 à 12:19
Le premier ministre français François Fillon entame demain une visite officielle de deux jours à Alger. De sources gouvernementales françaises, on apprend qu’il sera à la tête d’une délégation ministérielle comprenant Christine Lagarde ministre de l’Économie, Hervé Morin ministre de la Défense, Valérie Pécresse ministre délégué à l’Enseignement Supérieur et Alain Marleix secrétaire d’Etat à l’Intérieur et aux collectivités locales. Une délégation de chefs d’entreprise l’accompagnera, composée notamment de dirigeants de Total, Lafarge, EADS et Arianespace.
Le premier ministre français sera accueilli à l’aéroport par son homologue Abdelaziz Belkhadem avec lequel il aura un entretien puis une séance de travail élargie avec les ministres concernés avant un déjeuner officiel. Dans l’après midi, il se rendra à l’Ecole Supérieure des Affaires qui a développé un partenariat avec l’université de Lille 2 et l’école de commerce HEC. Il recevra ensuite la communauté française .
La journée de dimanche sera entièrement consacrée à des entretiens avec le président de la République Abdelaziz Bouteflika avant que le premier ministre français ne dépose une gerbe au sanctuaire des Martyrs à Riyad El Feth.
Dans l’entourage de François Fillon, on souligne que cette visite, la première depuis 22 ans d’un premier ministre français vise « au renforcement de la relation bilatérale », après la visite d’Etat du président Sarkozy en décembre et les visites ministérielles de Michèle Alliot-Marie, Bernard Kouchner et Jean Louis Borloo.
Cette visite sera pour les Français l’occasion de renforcer la coopération économique et le dossier du nucléaire civil avec en toile de fond la question de la mémoire alors que les Français estiment avoir fait de nombreux gestes avec le discours de Nicolas Sarkozy à l’université de Constantine et le discours de l’ambassadeur Bajolet où il reconnaissait les crimes commis le 8 mai 1945.
Cette visite sera l’occasion de réitérer l’invitation faite au président Bouteflika d’une visite officielle à Paris, à quelques semaines d’un sujet qui sera certainement au cœur des entretiens : l’Union pour la Méditerranée et la participation de l’Algérie.
ParTSAle 20/06/2008 à 12:19
Le premier ministre français François Fillon entame demain une visite officielle de deux jours à Alger. De sources gouvernementales françaises, on apprend qu’il sera à la tête d’une délégation ministérielle comprenant Christine Lagarde ministre de l’Économie, Hervé Morin ministre de la Défense, Valérie Pécresse ministre délégué à l’Enseignement Supérieur et Alain Marleix secrétaire d’Etat à l’Intérieur et aux collectivités locales. Une délégation de chefs d’entreprise l’accompagnera, composée notamment de dirigeants de Total, Lafarge, EADS et Arianespace.
Le premier ministre français sera accueilli à l’aéroport par son homologue Abdelaziz Belkhadem avec lequel il aura un entretien puis une séance de travail élargie avec les ministres concernés avant un déjeuner officiel. Dans l’après midi, il se rendra à l’Ecole Supérieure des Affaires qui a développé un partenariat avec l’université de Lille 2 et l’école de commerce HEC. Il recevra ensuite la communauté française .
La journée de dimanche sera entièrement consacrée à des entretiens avec le président de la République Abdelaziz Bouteflika avant que le premier ministre français ne dépose une gerbe au sanctuaire des Martyrs à Riyad El Feth.
Dans l’entourage de François Fillon, on souligne que cette visite, la première depuis 22 ans d’un premier ministre français vise « au renforcement de la relation bilatérale », après la visite d’Etat du président Sarkozy en décembre et les visites ministérielles de Michèle Alliot-Marie, Bernard Kouchner et Jean Louis Borloo.
Cette visite sera pour les Français l’occasion de renforcer la coopération économique et le dossier du nucléaire civil avec en toile de fond la question de la mémoire alors que les Français estiment avoir fait de nombreux gestes avec le discours de Nicolas Sarkozy à l’université de Constantine et le discours de l’ambassadeur Bajolet où il reconnaissait les crimes commis le 8 mai 1945.
Cette visite sera l’occasion de réitérer l’invitation faite au président Bouteflika d’une visite officielle à Paris, à quelques semaines d’un sujet qui sera certainement au cœur des entretiens : l’Union pour la Méditerranée et la participation de l’Algérie.
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