Les femmes qui lavent le linge à la main et nettoient le parterre avec une serpillère, c'est fini aux Emirats.
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Le magazine Forbes a choisi Salma Hareb présidente exécutive de la zone Franche Jebel Ali (Dubai) en tête de liste des 50 premières femmes d'affaires Arabes.
Salma Hareb s’est classé première au classement des 50 «plus puissantes femmes d’affaires arabes» 2008 de la revue américaine «Forbes Arabia». Ces femmes dirigent –ou secondent le premier dirigeant- des entreprises qu’elles ont parfois créées. Salma Hareb, qui dirige l’Autorité de la zone franche de Jebel Ali, est suivie d’une Koweïtienne (Maha Al Ghunaim, Global Investment House), et d’une Saoudienne (Lubna Olayan, Olayan Financing Company) qui s’était classée première en 2006. Viennent ensuite une autre Saoudienne (Nahed Taher, Gulf Investment Bank, 4ème), une Koweïtienne (Sheikha Khaled Al Bahar, National Bank of Koweit, 5ème), une Egyptienne (Sahar El Sallab, Commercial International Bank, 6ème).
Deux autres émiraties se classent en 7ème (Fatima Al Jaber, Al Jaber Group), et en 8ème positions (Raja Easa Salah Al Gurg, Easa Salah Al Gurg Group). Elles sont talonnées par deux autres koweïtiennes : Sana Jumah (Kuwait Finance and Investment Company, 9ème), et Suad Al Humaizi (Suad Al Humaizi Group, 10ème).
Les pays du Golfe et l’Egypte se taillent la part du lion dans ce classement. L’Arabie Saoudite avec 9 femmes d’affaires classées dans ce «TOP 50», suivie des EAU (8), de l’Egypte (7) et du Koweït (4). Les femmes d’affaires du Maghreb arabe n’ont décroché que quelques places en bas de classement.
source Webmanager.
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Le magazine Forbes a choisi Salma Hareb présidente exécutive de la zone Franche Jebel Ali (Dubai) en tête de liste des 50 premières femmes d'affaires Arabes.
Salma Hareb s’est classé première au classement des 50 «plus puissantes femmes d’affaires arabes» 2008 de la revue américaine «Forbes Arabia». Ces femmes dirigent –ou secondent le premier dirigeant- des entreprises qu’elles ont parfois créées. Salma Hareb, qui dirige l’Autorité de la zone franche de Jebel Ali, est suivie d’une Koweïtienne (Maha Al Ghunaim, Global Investment House), et d’une Saoudienne (Lubna Olayan, Olayan Financing Company) qui s’était classée première en 2006. Viennent ensuite une autre Saoudienne (Nahed Taher, Gulf Investment Bank, 4ème), une Koweïtienne (Sheikha Khaled Al Bahar, National Bank of Koweit, 5ème), une Egyptienne (Sahar El Sallab, Commercial International Bank, 6ème).
Deux autres émiraties se classent en 7ème (Fatima Al Jaber, Al Jaber Group), et en 8ème positions (Raja Easa Salah Al Gurg, Easa Salah Al Gurg Group). Elles sont talonnées par deux autres koweïtiennes : Sana Jumah (Kuwait Finance and Investment Company, 9ème), et Suad Al Humaizi (Suad Al Humaizi Group, 10ème).
Les pays du Golfe et l’Egypte se taillent la part du lion dans ce classement. L’Arabie Saoudite avec 9 femmes d’affaires classées dans ce «TOP 50», suivie des EAU (8), de l’Egypte (7) et du Koweït (4). Les femmes d’affaires du Maghreb arabe n’ont décroché que quelques places en bas de classement.
source Webmanager.
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