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Les sujets principaux du discours d'ouyahia aujourd'hui.

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  • Les sujets principaux du discours d'ouyahia aujourd'hui.

    Pour ce qui ont eu accées aux discours : ne vous etonnez pas j'ai couper qques phrases qui me paraissait inutiles.

    C’est avec cette conviction que nous réaffirmons notre soutien aux efforts et à l’action de Monsieur le Président de la République, le frère Abdelaziz BOUTEFLIKA. Il pourra toujours être assuré de notre soutien loyal, que ce soit au sein des institutions, que soit dans le cadre de l’Alliance Présidentielle, ou que ce soit en tant que famille politique, notamment aux échéances politiques majeures qui s’annoncent pour bientôt.

    Dans notre sous-région, l’Union du Maghreb Arabe est toujours en panne, une panne qui fait parallèle à celle du processus de décolonisation du Sahara Occidental malgré les engagements pris devant le Conseil de Sécurité et sous sa garantie. C’est notre conviction, que le règlement juste et définitif du conflit du Sahara Occidental, conformément au plan de Paix accepté et signé, à maintes reprises, par le Royaume du Maroc et le Front Polisario, représentant légitime du peuple sahraoui, ouvrira enfin la voie à la construction de l’Union maghrébine, dans le respect, des droits de tous les peuples de la sous région sans exception aucune.]
    ]Autour de la Méditérannée, le Processus de Barcelone a démontré qu’il était bien en panne. Une nouvelle initiative se dessine, sous la forme d’une « Union pour la Méditérrannée ». C’est notre conviction que la prospérité de ce projet dépendra du respect de deux principes fondamentaux.Il s’agit en premier lieu, de l’avènement d’une paix juste et définitive au Moyen Orient qui passe par la consécration des droits du Peuple palestinien, et c’est là une réalité qui ne peut être contournée. Il s’agit en second lieu pour ce nouveau projet de se doter d’objectifs clairs, dans le cadre d’un respect mutuel et d’intérêts mutuellement avantageux pour toutes ses parties,']En attendant, l’Algérie s’ouvre de plus en plus sur le Monde, dans le cadre de son Association avec l’Union Européenne ainsi que de ses négociations pour l’accession à l’Organisation Mondiale du Commerce.Notre Parti qui a combattu le terrorisme et qui continuera de le combattre, rend hommage au Président Abdelaziz BOUTEFLIKA, pour le courage politique avec lequel il a mené notre peuple vers la Réconciliation Nationale que la Nation a adoptée massivement]De la même manière, notre Rassemblement qui compte de nombreux cadres et responsables ayant eu à gérer les affaires du pays durant la phase difficile de la crise multiforme, tient à relever les progrès accomplis au plan économique et social.]Ainsi, à l’humiliation nationale du rééchelonnement, du début des années quatre vingt dix, auquel a abouti une gestion qui a manqué de prévoyance, rééchelonnement qui s’est accompagné de douloureuses conditionnalités sociales, a succédé aujourd’hui le règlement anticipé de la dette extérieure dans sa quasi-totalité avec, en outre, une situation financière qui nous met à l’abri pour quelques années. Certes, cela est dû aux bons prix du pétrole, mais cela est aussi le fruit de la clairvoyance..Notre pays est toujours gravement dépendant des seules recettes du pétrole y compris pour garantir notre alimentation importée. De jeunes algériens, acculés par le désespoir, sont contraints au suicide à travers les mers. La criminalité et les maux sociaux se propagent à travers le pays, jusque dans nos villages les plus reculés, pendant que certains sont attelés à accumuler des richesses mal acquisesGardons nous de l’amnésie, non point pour cultiver la haine, mais pour ne pas oublier que les crises sont cycliques si leurs leçons ne sont pas réellement assumées.L’Algérie n’avancera pas avec d’un côté ceux qui travaillent et de l’autre ceux qui se confinent dans la seule critique. Elle ne se redressera pas avec d’un côté ceux qui souffrent et de l’autre ceux qui s’enrichissent indûment. Elle ne se construira pas en comptant seulement sur l’apport de l’Etat, sur des droits à réclamer sans devoirs à assumer. L’Algérie ne progressera pas dans l’anarchie et dans la surenchère. Elle ne se construira pas avec l’ignorance des compétences locales au profit de schémas conçus par d’autres, de l’extérieur, pour servir d’abord leurs propres intérêts[Deuxièmement : face à ses défis actuels mais surtout à ses défis de demain, l’Algérie ne trouvera pas de salut dans les débats idéologiques. Ni le repli sur le passé, ni encore moins le renoncement à notre identité par mimétisme, ni la course dogmatique vers l’ouverture économique, ni encore mieux le populisme, n’apporteront de réponses à nos problèmes.
    Nous devons avoir le courage d’affronter nos réalités qui sont encore difficiles. L’enjeu en est le destin d’un peuple dont même le pétrole, cette richesse épuisable, aujourd’hui disponible, n’arrive pas à faire tout le bonheur.Nous ne pouvons répéter sans cesses que l’Algérie est riche de sa jeunesse et ne pas préparer sérieusement l’avenir du pays, un avenir qui sera demain le quotidien de la jeunesse d’aujourd’hui. Le destin d’un peuple est affaire de legs entre les générations. Nos aînés nous ont légués la liberté. Que léguerons-nous à nos enfants Nous devons secouer nos illusions et reconnaître que, aujourd’hui déjà, sans le pétrole, notre nourriture quotidienne ne pourrait être assurée car elle dépend de coûteuses importations, et que même les salaires des fonctionnaires ne pourraient être versés par l’Etat.Nous devons rompre avec le mythe de « l’aisance financière » et réaliser que ce que dépense aujourd’hui l’Etat représente des recettes pétrolières supérieures à 60 dollars le baril, et que l’ensemble des projets publics déjà engagés ont atteint un montant supérieur à celui de nos réserves de changes actuelles.
    Nous devons admettre que la bonne gouvernance ne consiste pas seulement à dépenser les recettes du pétrole. Elle est d’abord un service public de qualité en contrepartie du salaire reçu. Elle est aussi une régulation efficace et honnête au service des citoyens et des producteurs. Elle est enfin une application ferme de la Loi pour tous et au bénéfice de tous.Nous devons nous souvenir que dans la tragédie nationale récemment vécue, nul ne pouvait jouir de ses richesses, et admettre donc par là, que le bien être des uns ne peut avoir de sens sans une stabilité sociale garantie par un bien être partagée. Nous devons nous enfin convaincre que la richesse des uns ne se bâtit pas au détriment de l’économie nationale, par la voie des fraudes diverses.Nous devons admettre que nul peuple dans le Monde ne peut réclamer des droits sans assumer des devoirs, et que nulle politique sociale ne saurait perdurer si elle n’est alimentée par une création réelle de richesses durables.

    C’est grâce au courage d’affronter de telles vérités, certes dures, que le travail sera réhabilité comme seul moyen de vivre dignement et de manière durable. C’est aussi par cela que l’esprit civique sera restauré au bénéfice de tous et d’abord, à travers une conduite exemplaire de tous ceux qui ont l’honneur de gérer la chose publique et le bien public. Le contraire nous exposerait de nouveau, tôt ou tard, aux amères expériences déjà vécues il y a à peine vingt ans.
    Troisièmement enfin, de tels défis exigent le concours de tous : qu’il s’agisse de l’élite nationale pour éclairer les citoyens désorientés par des changements multiples et accélérés, ou qu’il s’agisse de la classe politique pour animer un débat contradictoire mais fécond, plaçant l’intérêt de l’Algérie au dessus de tout.
    Le débat politique auquel nous croyons doit servir à bâtir un consensus partant d’abord de nos faiblesses pour mieux exploiter nos moyens. C’est à ce prix que la mobilisation de tous sera acquise. C’est par cela que s’affirmera la Réconciliation des Algériens, de tous les Algériens, avec eux-mêmes et avec leur PatrieCette Réconciliation Nationale globale et véritable ne peut surgir que de nous-mêmes, tel un nouveau sursaut, pacifique celui là, pour que, après la Libération il y plus de quarante ans, et après la sauvegarde de la Patrie il y a une dizaine d’années, se concrétise enfin un élan puissant de construction nationale à même de nous libérer définitivement du pétrole et de la précarité.C’est à ce prix que notre pays préservera sa souveraineté, que notre peuple rejoindra le cortège des Nations développées, et que notre économie gagnera sa place dans la compétitivité mondiale

    TSA.
    Dernière modification par myra21, 25 juin 2008, 16h04.

  • #2
    << Le debat politique auquel nous croyons doit servir à bâtir un consensus partant d’abord de nos faiblesses pour mieux exploiter nos moyens. C’est à ce prix que la mobilisation de tous sera acquise. C’est par cela que s’affirmera la Réconciliation des Algériens, de tous les Algériens, avec eux-mêmes et avec leur PatrieCette Réconciliation Nationale globale et véritable ne peut surgir que de nous-mêmes, tel un nouveau sursaut>>


    Bravo a ouyahia pour ce discours pleins d'espoir et j'éspère d'avenir.

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    • #3
      S'il réussi à faire admettre ça alors on aura gagné :



      Nous devons rompre avec le mythe de « l’aisance financière » et réaliser que ce que dépense aujourd’hui l’Etat représente des recettes pétrolières supérieures à 60 dollars le baril, et que l’ensemble des projets publics déjà engagés ont atteint un montant supérieur à celui de nos réserves de changes actuelles.
      Nous devons admettre que la bonne gouvernance ne consiste pas seulement à dépenser les recettes du pétrole. Elle est d’abord un service public de qualité en contrepartie du salaire reçu. Elle est aussi une régulation efficace et honnête au service des citoyens et des producteurs. Elle est enfin une application ferme de la Loi pour tous et au bénéfice de tous.Nous devons nous souvenir que dans la tragédie nationale récemment vécue, nul ne pouvait jouir de ses richesses, et admettre donc par là, que le bien être des uns ne peut avoir de sens sans une stabilité sociale garantie par un bien être partagée. Nous devons nous enfin convaincre que la richesse des uns ne se bâtit pas au détriment de l’économie nationale, par la voie des fraudes diverses.Nous devons admettre que nul peuple dans le Monde ne peut réclamer des droits sans assumer des devoirs, et que nulle politique sociale ne saurait perdurer si elle n’est alimentée par une création réelle de richesses durables.
      Dernière modification par bledard_for_ever, 25 juin 2008, 18h58.
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #4
        C'est exacte bledar il faut une fois pour toute comprendre qu'on ne construit pas un pays en prenant une posture d'attentiste, d'assisté. Il faut se mettre véritablement au travail pour batir notre pays.
        La phare que je retiendrais en plus:"Nos aînés nous ont légués la liberté. Que léguerons-nous à nos enfants"
        Ouyahia est un homme intelligent, travailleur, perspicace, sérieux et réaliste, je lui souhaite bonne chance et bon courage.
        Vive l'ALGERIE !
        Celui qui n'a jamais vu la lumière, ne sait pas qu'il vit dans l'obscurité.

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        • #5
          [IMG]http://www.liberte-***********/apps/edition/images_editions/4802/dilem.jpg[/IMG]
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            enfin un élan puissant de construction nationale à même de nous libérer définitivement du pétrole et de la précarité.

            il regrette d'avoir fait rater la loi sur les hydrocarbures de boutef, mais cette fois elle va passer rapidement peut être dans la dernière année du mandat présidentiel qui reste.


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            • #7
              Bonjour

              Ahmed Ouyahia : l’économie se porte mal.


              L’économie nationale est en panne ! Ce vieux constat, bien connu des Algériens, émane cette fois-ci de Ahmed Ouyahia, fraîchement nommé pour la troisième fois chef du gouvernement. « Notre pays est toujours gravement dépendant des seules recettes du pétrole, y compris pour garantir notre alimentation importée », soulignait-il hier à Alger dans son discours à la cérémonie d’ouverture des travaux du 3e congrès de son parti, le RND. Louant les progrès accomplis au plan économique et social, le secrétaire général (réélu hier) du RND se demande si l’Algérie est à l’abri d’un nouveau krach économique semblable à celui vécu dans les années 1990 et qui a nécessité, à ses yeux, un « humiliant rééchelonnement » de la dette. « Est-ce à dire que tout va bien ? Et à dire que l’Algérie s’est enfin libérée d’une dépendance économique excessive envers l’extérieur ? Est-ce à dire qu’elle a libéré ses citoyens de la dépendance envers l’aide de l’Etat ? Est-ce à dire que tous nos compatriotes sont heureux dans leur quotidien et rassurés sur leur avenir ? La réponse est assurément non », conclut-il, insistant sur le fait qu’il y a des jeunes Algériens, acculés par le désespoir, qui sont contraints au suicide à travers les mers et que la criminalité et les maux sociaux se propagent à travers le pays, jusque dans les villages les plus reculés.


              Cela, souligne-t-il encore, pendant que certains sont attelés à accumuler des richesses mal acquises. M. Ouyahia considère la bureaucratie comme un véritable frein au développement économique.

              Elle est pesante, dit-il, ne s’adapte toujours pas aux réformes pour se mettre efficacement au service du citoyen et elle ne réalise pas encore la nécessité cruciale de faciliter l’investissement, pour la création de richesses et surtout d’emplois si nécessaires, face au poids pesant du chômage sur la société et notamment sur les jeunes. » Loin de pointer du doigt tel ou tel responsable. Il estime que l’amélioration de cette situation ne peut dépendre d’un homme seul, félicitant au passage le président Bouteflika « pour avoir, selon lui, interpellé la société au sursaut salvateur qui exige le concours de tous ».

              « Anarchie et surenchère »


              Il se dit que le gouvernement à lui seul ne pourrait pas changer le cours des choses. « Une crise de société ne se dépasse réellement qu’avec le concours de tous », indique-t-il, affirmant que « les crises sont cycliques si leurs leçons ne sont pas réellement assimilées ». S’étalant sur le sujet, Ahmed Ouyahia se dit convaincu que « l’Algérie n’avancera pas avec d’un côté ceux qui travaillent et de l’autre ceux qui se confinent dans la seule critique », « elle ne se redressera pas avec d’un côté ceux qui souffrent et de l’autre ceux qui s’enrichissent indûment », « elle ne se construira pas en comptant seulement sur l’apport de l’Etat, sur des droits à réclamer sans devoirs à assumer ». Elle ne peut progresser « dans l’anarchie et dans la surenchère » ni se construire « avec l’ignorance des compétences locales au profit de schémas conçus par d’autres, de l’extérieur, pour servir d’abord leurs propres intérêts ».

              Sans détours ! Avec insistance, il appelle les Algériens à dépasser « les débats idéologiques ». « Ni le repli sur le passé, ni encore moins le renoncement à notre identité par mimétisme, ni la course dogmatique vers l’ouverture économique, ni encore mieux le populisme, n’apporteront de réponses à nos problèmes », lance-t-il à l’adresse de l’assistance. Pour lui, l’illusion est de ne pas reconnaître aujourd’hui que sans le pétrole, notre nourriture quotidienne ne pourrait être assurée, car elle dépend de coûteuses importations, et que même les salaires des fonctionnaires ne pourraient être versés par l’Etat.

              Tout en soulignant clairement la fragilité de l’économie nationale, il appelle à rompre avec « le mythe de l’aisance financière » et à réaliser que si le prix du pétrole passe en dessous de la barre des 60 dollars tous les projets du pays seraient chimériques et sans lendemain. Le nouveau chef du gouvernement est allé jusqu’à presque remettre en cause toute la politique actuelle du gouvernement qui consiste à dépenser l’argent du pétrole, et ce, en disant que « la bonne gouvernance ne consiste pas seulement à dépenser les recettes du pétrole ».

              Mais elle est « une régulation efficace et honnête au service des citoyens et des producteurs et une application ferme de la loi pour tous et au bénéfice de tous ». « Le bien-être des uns ne peut avoir de sens sans une stabilité sociale garantie par un bien-être partagé », soutient-il, dénonçant ceux qui bâtissent leurs richesses au détriment de l’économie nationale et par voie de fraudes diverses. Il souligne enfin que l’ennemi mortel de l’Algérie n’est pas le terrorisme, mais plutôt « l’insouciance, la médiocrité ainsi que les égoïsmes individuels qui prennent le dessus sur la collectivité, sur nous-mêmes, sur notre patrie ».


              Par Mokrane Ait Ouarabi
              El watan 26 Juin 2008


              ../..
              “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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              • #8
                Ce discours ne ramene rien de concret. C'est un ensemble d'evidences que le plus illetre des algeriens connait deja.

                J'espere que Ouyahia (que je prefere de loin sur Belkhadem) a su tirer les lecons de sa traversee du desert. Il n'a qu'a passer aux actes. Par exemple : les vrais voleurs suceurs de sang en tole et aux vrais patriotes (competent, honnetes, engages etc) les postes de responsbilites.

                P.s: au vu des personnes assises dans la premiere rangee, lors de son discours d'hier...il n y aura aucun changement. Let's wait and see et souhaitons lui bonne chance comme meme.
                Dernière modification par Ashley, 26 juin 2008, 11h59.

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                • #9
                  l’économie se porte mal

                  Il faut sortir de la politique des constats. Que va faire maintenant Ouyahia pour donner un nouveau souffle à une économie jugée en panne ? Une économie dépendante exclusivement des hydrocrabures.

                  Depuis des décennies on parle de préparer l'économie de l'après pétrole. Mais rien de sérieux n'a été fait. Nous avons perdu déja trop de temps.

                  Il faut une stratégie économique claire et dans la continuité. Il faut favoriser les investissements étrangers, investir dans la formation, développer l'agriculture, le tourisme, les PMEs, les services, les NTICs ...

                  Est-ce que Ouyahia sera capable de mener ce chantier ?
                  Dernière modification par shadok, 26 juin 2008, 11h08.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                  • #10
                    Il ne fait même pas rêver ce recyclé, ex-marionnette du DRS , rappelée juste pour organisée un vote « nazih » comme il disait ;cet expert de la fraude , seul domaine ou il excelle par sa grande compétence .
                    Dernière modification par zemfir, 26 juin 2008, 12h03.
                    "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                    Commentaire


                    • #11
                      Enfin le messie est apparu, le sauveur de l'algérie qui attend la fin du mandat et un baton enchanté à la main, il connais le mal, et il va directement au but.

                      tssssssss:22:

                      Faut etre con pour nous faire avaler ça.

                      C'est quoi la mission exacte?
                      "Le frère Bouteflika poura toujours être assuré de notre soutien loyal..." a t-il dit hier.

                      Alors arrêter de nous raconter des contes de fée, les algériens ne sont plus ce peuple des 80 ni celui des 90.

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