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Nouvelles inquiétudes autour des banques américaines et d'UBS

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  • Nouvelles inquiétudes autour des banques américaines et d'UBS

    Citigroup pourrait supprimer 6.500 postes, en particulier dans la banque d'investissement. Goldman Sachs, épargné pourtant par la tourmente financière, pourrait aussi supprimer des postes. Quant à Merrill Lynch et UBS, elles pourraient devoir passer de nouvelles provisions.


    La crise des subprime aurait frappé de plein fouet les grandes banques internationales.
    Un an après les premiers déboires de la banque d'affaires américaine Bear Stearns (retrouvez tout notre dossier sur "un an de crise financière" dans La Tribune de ce lundi) qui finira par être racheté à prix bradé par JP Morgan Chase, la crise des subprime continue à peser sur le secteur bancaire américain.

    Citigroup serait ainsi en passe de supprimer plusieurs milliers d'emplois dans son activité de banque d'investissement, rapportait dimanche le "Wall Street Journal". Selon le quotidien économique américain, qui cite des sources proches du dossier, ces licenciements s'inscrivent dans un vaste plan qui vise à réduire de 10% la masse salariale de cette branche qui compte 65.000 collaborateurs.

    La banque dont le siège est à New York s'efforce de se remettre des mauvais investissements dans les prêts hypothécaires et les prêts à taux variables qui ont amputé son portefeuille de plusieurs milliards de dollars.

    Citigroup a déjà annoncé un plan de départs en avril. Après avoir annoncé 5,1 milliards de dollars (3,3 milliards d'euros) de pertes au premier trimestre 2008, la banque avait fait savoir qu'elle était en train de réduire ses effectifs de 9.000 personnes, en plus des 4.200 suppressions d'emplois annoncées à la fin de l'année 2007.

    Même la première banque d'affaires américaine Goldman Sachs, qui a réussi jusque là à éviter la crise des subprime, envisagerait de réduire ses effectifs, selon certains journaux.

    Par ailleurs, selon les analystes de Bank of America (BofA), la banque d'affaires américaine Merrill Lynch et la suisse UBS pourraient devoir passer de nouvelles dépréciations en raison de cette crise financière, à hauteur respectivement de 3,5 et 7 milliards de dollars au second trimestre avec une perte sur cette période contre des profits attendus jusque là pour les deux établissements financiers.

    Sources : latribune.fr
    Dernière modification par arayzon, 25 juin 2008, 16h53.
    La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
    De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
    .
    Merci.
    " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

  • #2
    saha hbibna

    Quand je vois que la générale perd 5 milliard d'euros d'un coup et annonce quand même des bénéfices, on peut se demander si cette crise des subprimes n'est pas utilisé comme un pretexte pour lâcher du lest en dégraissant les effectifs.
    Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

    Commentaire


    • #3
      ...Inquiètudes autour des Banques Américaines....

      Bonjour tout le monde.

      Ou sont donc passés tous ces "Milliards" $ ?
      Tout n'était qu'une comédie car les principales grandes banques Américaines ont fait simplement faillites.
      L'argent frais rentré dans les caisses était destiné au financement des "futurs" licenciements et avec dexterité de maitre, contourner la législation, pour pouvoir procéder à une recapitalisation "voilée" d'une "nouvelle" entité en bonne et due forme.Very Nice
      Rétrospective ,en janvier 2008....

      Citigroup, rien de moins que la première banque aux USA a dévoilé des résultats trimestriels «clairement inacceptables», pour reprendre les termes de son nouveau PDG, Vikram Pandit. Un trou de 9,8 milliards de dollars, qui résulte d’une provision deux fois plus grande, pour cause d’investissements malheureux dans des produits liés aux crédits «subprimes».

      Alors, pour réparer, en plus de réduire le dividende et virer au passage 4 200 personnes, la banque fait rentrer de l’argent frais. 14,5 milliards venus tout droits des fonds souverains de Singapour et du Koweit ainsi que des poches du Prince Al-Waleed d’Arabie Saoudite (déjà actionnaire de l’établissement) et quelques autres investisseurs financiers. En novembre dernier, c’est la famille dirigeante d’Abu Dhabi qui est montée au capital pour 7,5 milliards de dollars.

      Au total, le capital de la banque s’est gonflé de 22 milliards de fonds liés directement à des intérêts de puissances politiques d’Asie et du Moyen-Orient, au cours des derniers mois. Citigroup n’est pas le seul. Cette technique est devenue la panacée à Wall Street pour combler les brèches laissées par la crise financière. Merrill Lynch, autre banque d’affaire prestigieuse, a annoncé hier l’émission de 6,6 milliards de dollars d’actions préférentielles à des investisseurs privilégiés dont le fond souverain du Koweit…

      Sources : libenewyork.b..g.libération.fr.
      A+.
      Dernière modification par arayzon, 25 juin 2008, 17h04.
      La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
      De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
      .
      Merci.
      " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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