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Distinction pour le consul général d’Algérie au Québec

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    Distinction pour le consul général d’Algérie au Québec


    Abdelaziz Sebâa honoré à Montréal


    Le consul général d’Algérie à Montréal, Abdelaziz Sebaâ, vient d’être honoré par l’Assemblée nationale du Québec, le Parlement de la province canadienne francophone, qui lui a décerné la médaille de l’Assemblée nationale en signe de reconnaissance pour « son action et sa contribution personnelle au dialogue des cultures ».




    Montréal (Canada) : de notre correspondant

    La médaille lui a été remise par Louise Harel, députée et ancienne présidente de l’Assemblée nationale du Québec, lors de la soirée hommage que lui a consacré le festival du monde arabe à Montréal, ainsi que le journal libanais Al Moustakbal à l’occasion de la fin de son mandat. Une cérémonie à laquelle ont pris part plusieurs diplomates, personnalités politiques québécoises et religieuses. Louise Harel, une amie de la culture arabe et fan de Amin Maâlouf, a tenu à souligner le caractère exceptionnel de cette distinction. « C’est la première fois que cette médaille va à un consul. Quand nous avons proposé son nom au président de l’Assemblée celui-ci a immédiatement accepté », a-t-elle affirmé. Elle dira que « le passage de Abdelaziz Sebaâ a été marquant pour la culture arabe et pour les québécois de souche. Il a bien servi l’Algérie en soutenant l’ouverture ». Joseph Nakhlé, directeur général du festival du monde arabe a souligné le soutien indéfectible du consul général d’Algérie pour ce festival à Montréal, depuis le début de son mandat en novembre 2003. Il lui a remis le premier trophée, reconnaissance du festival qui « deviendra une tradition », a-t-il soutenu. Ce soutien a été souligné par le journal El Moustakbal, dans un de ses numéros du mois d’avril dernier, à travers une lettre ouverte adressée aux consuls arabes de Montréal. Le rédacteur leur reprochait leur manque d’engagement et leur frilosité envers ce festival. Tout en les épinglant, il a mis en avant l’engagement du consul général d’Algérie, qui a participé à des dizaines de projets, ramené plusieurs artistes algériens, hommes et femmes de théâtre, cinéastes et intellectuels. Tous ceux qui ont pris la parole lors de cette soirée, n’ont pas tari d’éloges pour cet ancien journaliste, qui l’est resté au fond de lui-même, ancien directeur du journal Horizons et ancien porte-parole du ministère des affaires étrangères. Une succession de reconnaissance de la part des participants qui ont souligné sa grande culture et son implication dans la vie culturelle montréalaise. Pour celui qui terminera dimanche prochain son mandat à Montréal, « la diplomatie s’oriente de plus en plus vers l’action culturelle. Les grandes questions politiques et économiques sont traitées par les instances internationales et les compagnies », dira-t-il. A noter que Abdelaziz Sebaâ avait rencontré, fin mai dernier dans les locaux du consulat, les membres de la communauté algérienne à Montréal, lors d’une cérémonie d’adieu. Son successeur, Abdelghani Amara, prendra ses fonctions au début du mois de juillet. Il sera certainement attendu sur le terrain culturel par tous les amis de l’Algérie.


    Source:El Waten

    Par Samir Ben
    la geurre c'est la paix,la démocratie c'est la dictature,l'ignorance c'est la liberté.

  • #2
    Abdelaziz Sebâa est un vendu a l'arabo-islamisme

    == MODERATION ==
    Soyez poli et évitez les messages provocateurs - Lisez la charte du forum.

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    • #3
      ezzerna w'attboul

      il a mis en avant l’engagement du consul général d’Algérie, qui a participé à des dizaines de projets, ramené plusieurs artistes algériens, hommes et femmes de théâtre, cinéastes et intellectuels.
      ceci est du ressort du centre culturel algerien comme celui qui exisste à Paris. Je me suis aussi rappelé les déclarations de son exxcéllence l'ambassadeur us M.S.Ford sur la sou-représentation de l'algérie dans les foires et exposition économique aux states, comparée à nos voisins tunisiens l'algérie est à la traine. Alors parler du culturel qd une ville comme alger a vu la disparition des 3/4 de son parc cinéma héritée de la colonisation: c'est une honte. La priorité du citoyen lambda est l'accès au travail, la santé et améliorer son quotidien.:22:

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      • #4
        Azul.

        il doit representer l'Algerie et sa culture amazighe et non pas la culture arabe
        disons qu'il ne doit pas se restreindre à la culture arabe (qui, reconnaissons-le, fait partie aussi de la mosaïque de cultures algérienne!.......ne jouons pas le jeu des arabisants, ne tombons pas dans cette erreur!! ), mais doit aussi représenter convenablement la culture amazigh. C'est bien triste en effet, de se voir attribuer le titre de pays arabe........c'est, tout simplement, ignorer la majorité des algériens amazigh........il m'arrive de croire aussi qu'on est plus arabe que les arabes.......mais qu'ils nous traitent de tout les noms si ça leur chante...qu'ils se détrompent.....notre culture ne mourra jamais, où qu'on aille dans le monde, on veillera à la faire connaitre, cette belle culture amazigh.

        Mais heureusement, la culture amazigh a aussi ses défenseurs au canada (du moins, à Ontario et Québec)....où je trouve qu'elle est merveilleusement bien promu: écoles pour enseigner tamazignt, expo...etc......mais je rejoins qlqn ici, pour dire comme lui que ça reste du folklore.......il faut que les autres nations voient en nous, autre choses que des arabes.......qu'ils voient enfin, la vraie Algérie.

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        • #5
          A defaut de voir les algeriens se reconcilier avec leur histoire,
          A force de voir et de vivre des gueguerres d'integristes de tous bords,
          A cause de cette ambiance deguelasse,
          Beaucoup d'algeriens ont perdu l'espoir de voir naitre, un jour, la nation ALGERIENNE ayant une personnalite propre a elle et ou la culture originelle ne soit pas reduite du folklore.

          Les Pays sont a l'image de leurs chemins de fer et le train Algerie a du mal a se deplacer ni meme a demarrer car, il est charge de toutes ses contradictions et complexes; On ne reconnait pas d'ou nous venons et nous ne savons pas ou aller.

          Alors, beaucoup se resignent, non par faiblesse mais par lassitude. Le combat devient de plus en plus violent et, personnellement, j'en ai marre de cette violence aussi bien verbale que materielle. L'Algerie est une jungle et le rapport des forces des differents belligerents est disproportienne.

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