De simple personnage de l´histoire de la Cyrénaïque, il s´est transformé en symbole dans la culture arabe.
"Les soldats italiens étaient convaincus qu´ils étaient la nation dominatrice investie d´une mission noble et civilisatrice. Les Italiens se devaient de remplir ce devoir humain, quel qu´en fût le prix. Il faut donc soumettre le peuple libyen de son plein gré au colonialisme italien ainsi qu´aux coutumes et aux lois de l´Italie. Si les Libyens ne se convainquent pas du bien-fondé de ce qui leur est proposé, alors les Italiens devront mener une lutte continuelle contre eux et pourront détruire tout le peuple libyen pour parvenir à la paix, la paix des cimetières... " Général italien Rodolfo Graziani (Vers le Fezzan)
Dans la série les " Hommes illustres du Maghreb " et après avoir décrit les sacerdoces de l´Emir Abdelkader et de l´Emir Abdelkrim, il nous a paru important, en ces temps d´incertitude sur le devenir de ce Maghreb, de contribuer à une écriture apaisée et sereine de l´histoire de ce Maghreb qui nous tient à coeur. L es faits d´armes les faits culturels et l´engagement au nom de la foi et de la liberté sont tellement présents et connus qu´il n´est pas nécessaire de faire appel à des " mythes fondateurs " pour consolider une idée chancelante qui s´est bâtie, notamment en Europe, sur la négation des nations qui, à un moment de leur histoire ont connu le malheur de la nuit coloniale.
De Omar El Mokhtar je ne me rappelle que d´une scène du film le Lion du Désert de Moustapha Akkad, avec Anthony Quinn: Omar El Mokhtar, alias Quinn, est sur le point d´être exécuté par les autorités italiennes. Il émet un dernier souhait: prier. Il pose ses lunettes, fait ses ablutions, fait sa prière, lentement, sûrement. On l´exécute. Le spectateur pleure. Un enfant ramasse les lunettes de ´Omar El Mokhtar, "J´ai la gorge serrée". Fin du film.
"Les soldats italiens étaient convaincus qu´ils étaient la nation dominatrice investie d´une mission noble et civilisatrice. Les Italiens se devaient de remplir ce devoir humain, quel qu´en fût le prix. Il faut donc soumettre le peuple libyen de son plein gré au colonialisme italien ainsi qu´aux coutumes et aux lois de l´Italie. Si les Libyens ne se convainquent pas du bien-fondé de ce qui leur est proposé, alors les Italiens devront mener une lutte continuelle contre eux et pourront détruire tout le peuple libyen pour parvenir à la paix, la paix des cimetières... " Général italien Rodolfo Graziani (Vers le Fezzan)
Dans la série les " Hommes illustres du Maghreb " et après avoir décrit les sacerdoces de l´Emir Abdelkader et de l´Emir Abdelkrim, il nous a paru important, en ces temps d´incertitude sur le devenir de ce Maghreb, de contribuer à une écriture apaisée et sereine de l´histoire de ce Maghreb qui nous tient à coeur. L es faits d´armes les faits culturels et l´engagement au nom de la foi et de la liberté sont tellement présents et connus qu´il n´est pas nécessaire de faire appel à des " mythes fondateurs " pour consolider une idée chancelante qui s´est bâtie, notamment en Europe, sur la négation des nations qui, à un moment de leur histoire ont connu le malheur de la nuit coloniale.
De Omar El Mokhtar je ne me rappelle que d´une scène du film le Lion du Désert de Moustapha Akkad, avec Anthony Quinn: Omar El Mokhtar, alias Quinn, est sur le point d´être exécuté par les autorités italiennes. Il émet un dernier souhait: prier. Il pose ses lunettes, fait ses ablutions, fait sa prière, lentement, sûrement. On l´exécute. Le spectateur pleure. Un enfant ramasse les lunettes de ´Omar El Mokhtar, "J´ai la gorge serrée". Fin du film.
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