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Colloque national sur la famille et l'éducation
Les Algériens deviennent de plus en plus individualistes
Comment redonner à la famille son rôle d'éducatrice ? Quel est l'impact des mutations économiques et sociales sur la famille algérienne ? Tout un programme sur lequel se penchent des spécialistes de divers horizons qui ont été conviés à prendre part aux travaux d'un colloque national ouvert, hier, à Alger, sur le thème de "La famille et l'éducation, entre la continuité et la rupture". Un colloque organisé par le ministère délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine et le laboratoire de prévention et d'ergonomie de l'université d'Alger.
Cette rencontre de deux jours verra la participation de chercheurs et spécialistes en éducation, en psychologie, en sociologie, en droit, en chariâ (droit musulman) et en médecine. Il s'agit, en effet, d'analyser les résultats d'une étude réalisée par un laboratoire national d'anthropologie pour le compte du ministère de la famille. Ce qu'il faut retenir est que plus de 60% de la composante sociale du pays sont formés par la petite famille. Autres données d'une autre étude concernant le rôle de la famille dans l'éducation, il en ressort que les Algériens deviennent de plus en plus individualistes. Elaborée par le laboratoire de prévention et d'agronomie, celle-ci révèle le caractère individualiste des familles dans l'éducation des enfants, le voisin, le cousin ou l'oncle n'interviennent plus comme par le passé dans l'éducation des enfants.
Ce qui peut attirer l'attention dans cette étude, sur un échantillon de 794 familles algéroises 80%des familles s'inspirent des valeurs religieuses, 45% des traditions et 30% de la modernité.Une étude relative à l'impact des mutations économiques et sociales sur la famille algérienne, élaborée par le ministère délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine et le laboratoire national d'anthropologie sur un échantillon 4 436 familles des zones urbaines et rurales, a révélé, entre autres, que 54% des femmes participent activement à la prise de décision au sein de la famille, alors que le taux de divorces est de plus en plus important.
Les Algériens deviennent de plus en plus individualistes
Comment redonner à la famille son rôle d'éducatrice ? Quel est l'impact des mutations économiques et sociales sur la famille algérienne ? Tout un programme sur lequel se penchent des spécialistes de divers horizons qui ont été conviés à prendre part aux travaux d'un colloque national ouvert, hier, à Alger, sur le thème de "La famille et l'éducation, entre la continuité et la rupture". Un colloque organisé par le ministère délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine et le laboratoire de prévention et d'ergonomie de l'université d'Alger.
Cette rencontre de deux jours verra la participation de chercheurs et spécialistes en éducation, en psychologie, en sociologie, en droit, en chariâ (droit musulman) et en médecine. Il s'agit, en effet, d'analyser les résultats d'une étude réalisée par un laboratoire national d'anthropologie pour le compte du ministère de la famille. Ce qu'il faut retenir est que plus de 60% de la composante sociale du pays sont formés par la petite famille. Autres données d'une autre étude concernant le rôle de la famille dans l'éducation, il en ressort que les Algériens deviennent de plus en plus individualistes. Elaborée par le laboratoire de prévention et d'agronomie, celle-ci révèle le caractère individualiste des familles dans l'éducation des enfants, le voisin, le cousin ou l'oncle n'interviennent plus comme par le passé dans l'éducation des enfants.
Ce qui peut attirer l'attention dans cette étude, sur un échantillon de 794 familles algéroises 80%des familles s'inspirent des valeurs religieuses, 45% des traditions et 30% de la modernité.Une étude relative à l'impact des mutations économiques et sociales sur la famille algérienne, élaborée par le ministère délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine et le laboratoire national d'anthropologie sur un échantillon 4 436 familles des zones urbaines et rurales, a révélé, entre autres, que 54% des femmes participent activement à la prise de décision au sein de la famille, alors que le taux de divorces est de plus en plus important.
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