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Une ong française alerte le président bouteflika

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    Une ong française alerte le président bouteflika
    Le sos des sans-papiers algériens



    Le collectif français des travailleurs et travailleuses sans-papiers de l’association Droit devant ont saisi le président algérien Abdelaziz Bouteflika, le 25 juin, par lettre pour alerter les autorités d’Alger sur la situation des travailleurs sans-papiers algériens en France. Les militants de ce collectif demandent au chef de l’Etat « que soit mis fin à la politique de délivrance des laissez-passer par les consulats algériens en France ».


    Ce collectif interpelle également M. Bouteflika pour que le gouvernement algérien intervienne auprès de Paris pour lui demander de mettre fin à la « discrimination inacceptable », et ce, en procédant à la régularisation de tous les travailleurs sans-papiers algériens en France. Concernant les laissez-passer délivrés par les consulats algériens, le collectif, coprésidé par monseigneur Jacques Gaillot et le professeur Albert Jacquard, explique que l’administration française doit disposer d’un document de voyage (passeport ou laissez-passer consulaire) pour pouvoir procéder à une expulsion. Or, lit-on dans la lettre adressée à M. Bouteflika, « la plupart des sans-papiers étant dépourvus de passeport valide, l’administration française se tourne donc quotidiennement vers les consulats algériens pour obtenir lesdits laissez-passer et, bien trop souvent, ces consulats accèdent aux demandes françaises. Chaque expulsion est un drame personnel, une vie brisée ».

    « C’est aussi bien souvent une catastrophe pour la famille restée au pays qui jusque-là bénéficiait de l’argent rapatrié. C’est enfin un véritable racket organisé par l’Etat français, qui encaisse, après les avoir expulsés, les cotisations sociales (maladie, chômage, retraite) versées par les travailleurs sans-papiers durant leur séjour en France », rappelle le collectif. Le président algérien est également sensibilisé par le collectif sur la volonté de l’Etat français de ne pas régulariser les travailleurs sans-papiers algériens. Pour rappel, la loi française du 20 novembre 2007 a introduit la possibilité de régulariser des travailleurs et travailleuses sans-papiers sur la base de leurs fiches de paye ou d’une promesse d’embauche.

    500 travailleurs ont pu bénéficier de cette disposition après une grève et une large mobilisation. Ce ne sera pas le cas pour les employés sans-papiers algériens puisque le gouvernement français invoque le fait que l’accord franco-algérien du 27 décembre 1968, qui régit la délivrance des titres de séjours aux Algériens résidant en France, ne prévoit pas cette possibilité de régularisation par le travail. « Il s’agit à l’évidence d’une décision politique arbitraire, puisque l’administration française dispose d’un pouvoir discrétionnaire en matière de régularisation. Il y a donc manifestement une discrimination spécifique à l’encontre des travailleurs sans-papiers algériens », estiment les signataires de la lettre. « Nous savons les pressions intenses, politiques et économiques, que le gouvernement français exerce pour imposer à tout prix sa politique ‘‘d’immigration choisie’’, qui s’inscrit dans la continuité du colonialisme.

    Refuser cette politique est une impérieuse nécessité pour ces milliers de citoyennes et citoyens algériens qui, au regard de l’histoire, ont la légitimité de vivre et travailler en France », ont conclu les militants du collectif français.





  • #2
    Si le sieur boutef était sensible à ce genre de drame, ça se saurait depuis longtemps!
    Malheureusement pour eux et pour les futurs sans papiers qui sont les potentiels harragas, boutef n'en a cure!... Boutef et sa clique ne sont sensible qu'au baril de pétrole qu'il vont exporter et aux armes qu'ils vont acheter pour se maintenir au pouvoir!...
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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    • #3
      tout le monde savait mais je ne le savais que lorsque je suis devenu adulte.
      vous savez comment les ges construise des chateaux et d'mmense demeure que soit ici en algerie en france ou ailleur. la technique faire travailler des gens ensuite fuire pour ne pas les payer. des miserables algeriens et français sont entrain d'utiliser des pauvres malheureux venus du sud sans papier sans domicile sans ressource. tout le monde sait que les etats unis la france et l'algerie et d'autre pays fonctionnent de la meme manière. de l'esclavagisme pratiqué par des ésclaves.
      alors que l'ong fassent ester en justice ces sans papiers pour le crime de se laisser débouiller. tout etre humain doit exiger un contrat de travail devant un representant de la justice. c'est le juge français qui doit veiller a ce que ce contrat soit rediger et respecter par les deux parties. si le constructeur tombe dans une faillite ou une impossibilité de payer le juge doit trouver une solution. Notre president doit retourner vers ces citoyens qui sont entrain d'etre saigné a blanc par des nouveau esclaves qui s'enrichissent sur le dos des veritables hommes et femmes de l'art et metier. un minimumù de respect c'est tout ce qu'on demande

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      • #4
        Quand je pense que cet accord de 1968 pourrait être dénoncé Ceux qui ont signé cette accord n'avait pas le pouvoir de le faire, c'était des putschistes qui n'avaient pas de légimité car non élus par le peuple. Un bon avocat et leur accord il est nul. S'il y a des avocats sur FA, il pourrait se pencher là dessus.
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #5
          zwina, si tu n'etais pas une groupie d'Ouyahia, le bébé à moustache du RENDOU, je rigolerais volontiers avec toi sur notre systeme non democratique !

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