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Éducation nationale, Le classement par wilaya, c’est fini !

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  • Éducation nationale, Le classement par wilaya, c’est fini !

    Le ministre de l’Éducation nationale vient de prendre la décision de ne plus communiquer le classement des résultats des examens (6e, BEM et bac) par wilaya, comme il l’a fait durant les années précédentes.

    En effet, Boubekeur Benbouzid a estimé que le fait que son département révèle à chaque fois les résultats négatifs de certaines régions du pays influe sur le moral des élèves, du corps enseignant et des parents d’élèves.
    Du coup, le ministère de l’Éducation nationale a préféré classer ces résultats “confidentiels”, c’est-à-dire pour l’unique besoin interne de son département et des 48 wilayas et des Directions de l’éducation.


    - Liberté

  • #2
    Bonjour
    Dommage. Dans d'autres pays, les résultats sont publics par régions, départements sous départements, communes, circanscriptions, écoles, classes, ... L'interet principal c'est de rendre claire les meilleurs, pour que cela crée une émulation chez les autres, direction "vers le haut". La non transparence cache la médiocrité et tend vers le nivellement vers le bas.
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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    • #3
      Dommage. Dans d'autres pays, les résultats sont publics par régions, départements sous départements, communes, circanscriptions, écoles, classes, ...
      C'est pas du tout pour les raisons invoquées! Mais cet hypocrite de Benbouzid ne veut pas que l'épisode de Djelfa se renouvelle! Thats all folks!
      Dernière modification par hben, 01 juillet 2008, 20h55.
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Les raisons qu'il invoque sont bidons.Comme sa gestion d'ailleurs.Une cata.

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        • #5
          c'est surtt pour cacher la marginalisation de certaine zones du pays, vraiment il prend les algériens pour des cons.

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          • #6
            Mais pourquoi on fait le classement?

            c'est pour detecter les zones faibles et fournir plus d'effort et d'aide, mais si on continue à faire les mm erreurs avec les mm professeurs, les mm directeurs d'établissement, c'est normal que les résultats soient toujours les même.

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            • #7
              Bonsoir,

              Mais cet hypocrite de Benbouzid ne veut pas que l'épisode de Djelfa se renouvelle! Thats all folks!
              Quoi ? Qu'est-ce qu'elle a Djelfa ?

              Avant le taux de réussite au bac à Djelfa était parmi les derniers ! L'année dernière, elle était classée parmi les premières wilaya (par magie ) ! CA a fait plus de tort au bacheliers 2007 que de bien (même pour ceux qui ont vraiment travaillé); certains n'osent même pas dire que j'ai le bac 2007 !

              A mon avis il faut laisser le classement ! Ca pousse les wilaya à faire plus d'effort dans le domaine de l'éducation ...

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              • #8
                L'année dernière, elle était classée parmi les premières wilaya (par magie )
                Hello Zaki!
                Ce n'est pas Djelfa ou une quelconque Wilaya, c'est l'état de l'école algérienne en général!... Cette dernière ne peut être que le reflet de l'état de la nation, qui est tout, sauf florissant!... Aujourd'hui, ce n'est plus l'école, ni la formation des futures générations qui est le soucis majeur de nos gouvernants!!!
                Pourquoi faire??? Ce qui compte, c'est le prix du baril qu'il faut exporter et celui du fusil qu'il faut importer!.. Le reste tout le reste c'est du (hachak) pipi de chat!!...
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                • #9
                  Education

                  Il faut que ce ministre, avec son ministère, comprenne une fois pour toutes qu'il doit cesser de se servir de nos enfants pour tester toutes les conneries qu'il surnomment "réformes" alors que le ministère de l'éducation nationale est réformé depuis 1976.
                  Le désastre de l'Algérie est parti de l'école ! Alors de grâce, monsieur le ministre, cessez d'utiliser nos enfants comme des cobayes de laboratoires !
                  Si tu ne veux pas ton frère comme frère, tu mérites d'avoir ton ennemi pour seigneur.

                  Commentaire


                  • #10
                    Il faut virer Benbouzid!

                    c'est honteux de ne pas continuer à publier le classement par wilaya. dans tt les pays on fait le classement des établissements pour chaque villes, les tx de réussites suivent la même logique de résultat. C'est à travers ces classements qu'on peut faire le bilan de la politique de l'Etat en matière d'éducation ce qui permet de jauger les investissement et les éfforts consentis pour corriger les écarts.

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                    • #11
                      On est les cobayes du pays maintenant!!!!!!!!!!!!!!!!! :18:

                      il a pas autre chose à faire lui c'pa possible quand même:!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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                      • #12
                        Les CEM menacés d’asphyxie

                        La rentrée scolaire 2008-2009 est-elle, d’ores et déjà, compromise pour le cycle de l’enseignement moyen ? Les indices révélés par les résultats des examens de 6e année fondamentale (AF), 5e année primaire (AP) et de 4e année moyenne (AM) montrent que le cycle moyen connaîtra une rentrée scolaire inédite.
                        02 Juillet 2008, El Watan


                        Ainsi, les établissements du CEM, au nombre de 4500, devront accueillir en tout près de 3 333 000 élèves. Ceux-ci arrivent du cycle primaire avec 785 942 élèves de 6e AF – passés d’office – et les 568 981 de 5e AP, dont le taux de réussite a atteint les 97,5%.

                        A elle seule, la 1re AM va voir, donc, son effectif plus que doubler en raison de la jonction des classes de 6e AF et de 5e AP, mesure dictée par l’application de la réforme du système éducatif.

                        La donne aggravera le sureffectif en la couplant avec les résultats du passage en 1re année secondaire (AS) et ceux du BEM. Avec un taux de passage en 1re AS qui est de 68%, et celui du BEM avec 49%, un grand nombre d’élèves de 4e AM vont être rappelés pour l’année scolaire prochaine. C’est dire que les CEM vont devoir être un véritable réceptacle pour absorber cette marée de scolarisés.

                        Le 29 juin 2008, le ministre de l’Education nationale donne le ton : la prochaine rentrée scolaire sera « particulièrement difficile », au regard du nombre important d’élèves attendus – au cycle moyen.

                        Il a mis sur le qui-vive les directeurs de l’éducation pour garantir toutes les conditions matérielles et humaines pour accueillir ce nombre important d’élèves des deux systèmes confondus (ancien et nouveau). Le ministre a, également, exprimé ses appréhensions face au risque de la non-réception intégrale de ce nombre d’élèves dans les 410 CEM programmés.

                        M. Benbouzid a déjà mis sur pied ce qui s’apparente à un plan Orsec : « Nous aurons à notre disposition 5000 salles de classe destinées aux élèves de la première année moyenne.

                        Nous allons également demander au gouvernement de recruter et de former dès maintenant des enseignants pour la prise en charge de l’arrivée de deux cohortes 6e AF et 5e AP. » Son département prévoit, également, de recourir aux nouveaux lycées comme solution provisoire en attendant l’achèvement des CEM en chantier.

                        Mais la tension exceptionnelle que devra subir le cycle moyen inquiète également le partenaire social et les parents d’élèves. Le Syndicat national des travailleurs de l’éducation (SNTE) a appelé hier à Alger le ministre de l’Education nationale à accorder le rachat à partir de 9/20 pour le passage en 1re AS.

                        Le responsable du SNTE, Abdelkrim Boudjenah, a fondé sa revendication sur les erreurs relevées dans les épreuves de mathématiques et d’histoire-géographie de l’examen du BEM.

                        « Le problème posé en mathématiques était compliqué, long et inaccessible pour 95% des candidats. Il n’était pas fondé sur le guide distribué aux enseignants. » La mesure de rachat, pour lui, va atténuer la tension sur les CEM.

                        Le conférencier invite le ministre de l’Education nationale à prendre en charge « ce problème majeur » qui, a-t-il dit, lèse beaucoup d’élèves en raison de la décision de renoncement au système de rachat sous prétexte de « hisser » le niveau de l’enseignement, réitérant son appel et celui des parents d’élèves au ministre en vue de « corriger » les erreurs relevées dans les épreuves de ces matières.

                        « Comment peut-on exclure un élève qui a obtenu une moyenne supérieure à 13/20 pendant l’année scolaire et une note de 9,95 au BEM », s’est interrogé le secrétaire général du SNTE. Il est à souligner que la note de passage en 1re AS est calculée sur addition de la moyenne générale des trois trimestres et de la note du BEM, le tout divisé par deux.

                        Ainsi, de brillants élèves vont devoir refaire la 4e AM à cause d’un petit faux pas au BEM. Tout compte fait, le SG du SNTE prévoit une surcharge des classes au CEM entre 45 et 52 élèves par classe.

                        Concernant le faible niveau de réussite au BEM, M. Boudjenah a affirmé que ce résultat reflétait « la difficulté » rencontrée par les élèves à l’examen en raison de la non-conformité des sujets de la plupart des épreuves avec les programmes enseignés pendant l’année, relevée dans les rapports des enseignants correcteurs.

                        Le responsable s’est, en outre, interrogé sur « la crédibilité » du BEM, ainsi que sur le motif d’une évaluation de l’élève sur la base d’une ou deux journées d’épreuves et non pas sur la base des résultats obtenus tout au long de l’année scolaire. Il a indiqué que la Coordination nationale des syndicats autonomes de la Fonction publique se réunira jeudi 3 juillet.

                        Mustapha Rachidiou
                        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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