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Ces bandits qui font regner la terreur et qui raquettent les Algériens

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  • Ces bandits qui font regner la terreur et qui raquettent les Algériens

    Opération de la gendarmerie contre les exploitants illégaux
    Parasols payants et parkings sauvages sur les plages
    Par :Farid Belgacem
    Lu : (991 fois)
    Selon le commandant Maâlem Farès de Zéralda, cette opération se veut une descente dissuasive contre le commerce illicite dans les lieux de plaisance et de démontrer que la Gendarmerie nationale ne fait que traduire les décisions du wali d’Alger qui a tranché, l’année dernière, pour la gratuité des 47 plages autorisées à la baignade dans la capitale.

    Près de 700 articles et accessoires de plage ont été saisis par la Gendarmerie nationale de Zéralda, à Alger, et 10 personnes ont été entendues suite à une opération coup-de-poing menée lundi dernier et qui a duré de 9h à 14h au niveau de six plages autorisées à la baignade de la côte ouest algéroise. Il s’agit des plages de Palm-Beach, Azur-Plage, Sidi-Fredj, Sidi-Fredj Ouest, Sable d’Or et Champ-de-tirs de Zéralda. Un escadron entier, en plus des différentes unités de la compagnie, a été mobilisé pour la circonstance.
    Cette descente surprise, qui intervient à un moment de grande affluence, a permis la saisie de 150 chaises en plastique, 28 tables de la même matière, 192 parasols, 8 chaises longues en bois, 196 pieds de parasols destinés à accaparer et occuper les lieux pour les vendre plus cher, 33 piscines en plastique, 26 chambres à air, dont 6 de grand format et une pompe à air, ont été récupérés au cours de cette opération intervenue au milieu de la semaine en cours. Suite à quoi les “propriétaires” des biens saisis ont été entendus par la Gendarmerie nationale, et ce, en attendant qu’ils soient convoqués par la justice qui devra prononcer de lourdes pénalités vu l’ampleur des faits qui leur sont reprochés.
    Cette opération survient également et parallèlement aux sorties quotidiennes et routinières inscrites dans le cadre du plan Delphine, par ailleurs entré en vigueur depuis le 1er juin dernier à travers toutes les villes côtières du pays. “Le travail routinier chez nous, c’est du 24h/24. C’est sans répit. La sécurisation des personnes et des biens se fait régulièrement et on applique la loi dans toute sa rigueur. Quant à ce phénomène des indus occupants des plages et qui exercent des commerces illicites, il ne date pas d’aujourd’hui. Mais dès lors que le wali d’Alger a pris la décision l’année dernière sur la gratuité des 47 plages autorisées à la baignade dans le Grand-Alger, nous sommes passés à l’action pour mettre de l’ordre et réprimer ces activités interdites”, nous explique le commandant Maâlem Farès qui révèle, par ailleurs, que la côte ouest de la capitale est réputée pour sa forte concentration des estivants.
    À la question relative à la gestion des parkings au niveau des plages, il faut noter que, depuis quelque temps, certaines aires sont légalement exploitées et gérées par des privés, et ce, suite aux avis d’appels d’offres lancés il y a quelques années.
    Reste quelques aires de stationnement anarchiquement et illégalement exploitées ; cette question relève également de l’administration qui devra trancher pour permettre aux estivants d’avoir en face d’eux des vis-à-vis responsables et jouir d’une assurance quant à la sécurisation de leurs biens. Une chose est sûre : l’opération de lundi dernier n’est qu’une première pour des marchands qui imposaient leur diktat aux familles depuis belle lurette.

    FARID BELGACEM
    Dernière modification par laminedz, 02 juillet 2008, 10h49.

  • #2
    toute l'algerie marche comme ça, allez faire une course à alger en bagnole, vous verrez que c'est toute l'année, c'est racket organisé sous la barbe du policier et le commissariat à coté, et si par malheur vous ralez, on vous casse votre voiture, sinon votre figure
    alors les parasols et la plage, on peux s'en passer à la rigueur et ca ne dure qu'un mois !

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    • #3
      ses bandits et repris de justices sont partout il ont ont squater tout les trotoire du pays des plages et bientot nos maison avec la complicite des forces de securite portant ses dernier sont payer pour proteger l honette citoyen ses bandit sont vraiment intouchanbles en tunisie ou meme dans d autre pays des truc pareil qui sont atteinte a l autorite de l etat et a la dignite citoyenne ne se produisent pas pour gagner de l argent il faut travailler et produire et pas raqueter l honnete citoyen avec la complicite de l etat kelle honte et apres il nous parlent de relancer le tourisme bla bla bla

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      • #4
        Louer une table (non netoyée)en plastique avec parasol sur une plage à Zeralda coute 750.00da. Une vraie arnaque.
        Dans un pays des pays voisin, c'est le prix à payer pour louer une journée entière d'un appart. au bord de la mer et je sais de quoi je parle...
        Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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        • #5
          a ce rythme la , bientot ces bandits vont nous faire payer l'entrée de la plage...
          Ur yezmir yiwen ad yeffer itij s uyerbal

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          • #6
            il me semble que le gouvernement ne sait pas encore que l'analphabestisme fait ombre sur toute l'algerie. il lance des articles en arabe et en français et les affiches. ils doivent savoir que les gens ne savent pas lire une interdiction une note une pancarte une affiche.
            nous somme dans un pays de l'oralité il ne faut pas écrire et affiché il faut parler avec tambour comme ""el barrah d'antan"". il ne faut pas avoir honte de le faire.

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            • #7
              on paye 50 da pour garer sa voiture et faire une course celle ci peut ne pas exeder la demi heure a se rytme sa nous reviens 200 da et plus par jours et se qui reviens a plus de 7 brique par ans c est vraiment degoutant meme une assurance tout risque et toute option reviens moin que sa et on paye ses 50 da pour soit disant garder nos voiture contre qui ??, contre ses meme bandit qui nous raquettent alors la police kest kelle fait des centaine de millier de policier payer par le peuple meme pas foutu proteger nos voitures et meme nous proteger nous contre ses bandit et le plus degoutant c est qu il partagent la recette avec eux la police tedi alihoum el baye et houma yediou alina c est comme sa apres 50 ans d independance

              et les citoyen personne n e parle et ne reagit
              Dernière modification par laminedz, 02 juillet 2008, 15h54.

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              • #8
                Sans une prise de conseil des algériens, sans reveil citoyen on est mal barré.
                Il nous faut notre mai 68 pour que le pouvoir enfin se bouge et comprenne qu'il doit servir en premier l'interet du peuple.
                Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
                Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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                • #9
                  Mhdoche ,

                  je suis d accord avec toi. mais il faut aussi proposer des solutions.
                  je ne cautionne en rien ces actes, loin de lá. mais pour bcp il s agit de survie.
                  il faut prendre les problemes á la base . proposer des formations et donner des ouvertures des possibilités de travailler.
                  Je ne crois pas que la repression soit la solution.
                  En Indonesie, les vendeurs de plages ect... s engagent apr contrat á entretnir et nettoyer les plages. Ils sont officiels grace á un tee shirt. donc reconnaissables par les citoyens.
                  Pour les parkings, si les municipalités embauchent et organisent des lieux cela devrait pour se resoudre.

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                  • #10
                    ses bandit ki squatent tout les trotoire d algerie comme si cetait leur propriete sachez que d abord se sont pas des pauvre il faut etre tres fort et organiser en bande pour pouvoir tenir toute une rue sans que personne levent le doigts
                    mais le pire c est qu il donnent le mauvais exemple pour tous nos jeune chomeur ramasser des masses d argents sans rien foutre et par la force et en plus il passent tout leur temps a emmerder les femme et les filles

                    ses bandit vont pousser la polices a ne plus avoir a surveiller et faire leur travailles de proteger les citoyen ses bandit et indiq font leur travail a leur place et eux de leur bureau il ne bougent pas

                    vraiment apres 50 d independance le pouvoir deteste son peuple au point de le laisser se faire plumer raketer et se faire humilier tout les jours et partout par ses bande de repris de justice
                    dans chaque secteur et quartier ya un barron qui controle ses petit bandit et lui traite directement avec les autorite

                    oh peuple reveillez vous

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                    • #11
                      @Hellas

                      tu crois vraimant que faire mettre un t shirt à un jeune homme et lui donner un papier officiel pour surveiller les parkings ou nettoyer des plages en louant des parasols c'est hors de portée des decideurs en algerie ?

                      non, pas besoin d'aller jusqu'en indonesie pour comprendre que ces choses la sont voulues, entretenues, bien pensées, des tactiques du pouvoir, laisser pourir en apparence, mais il y'a toujours anguille sous roche, et la vraie raison, on peux tres bien la trouver en cherchant bien, parceque des choses beaucoup plus compliquées à surveiller, ils y arrivent quand ils LE DECIDENT !
                      Dernière modification par tizi oualou, 02 juillet 2008, 20h30.

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                      • #12
                        Tizi Oualou

                        Bien vu, s'ILS voulaient cela cesserait mais laisser faire ça les arrange.........
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #13
                          Tizi Oualou,

                          Je compatis á la revolte qui est dans chaque algérien. Mais je suis du genre utopiste.... j aime bien penser á croire que ...si on y met du sien on peut aboutir á qqchose de positif.
                          Les rouages et mecanismes de la politique de la nomenclatura ne sont pas á ma portée.

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