Alger - L'Algérie n'a pas réussi à mettre à profit des rentrées pétrolières, induites par la hausse des cours mondiaux, pour booster ses réformes économiques, selon le constat de la Banque mondiale.
Dans son rapport sur le climat des affaires dans la région de l'Afrique du nord et du Moyen Orient, cité mercredi par le journal "Achourouq", l'Algérie est créditée de seulement 30 points sur 100 en matière de climat des affaires, ce qui reflète les pesanteurs de "la bureaucratie dans ce domaine et les entraves que rencontrent les investisseurs nationaux et étrangers".
Selon le rapport rendu public cette semaine, l'Algérie est aussi mal classée en matière de bonne gouvernance et qualité de l'administration, puisqu'elle n'a obtenu que 43 pts sur cent.
Une notation faible (27pts sur cent) lui est accordée également concernant la gouvernance par rapport à la contribution du secteur public, de même qu'en ce qui concerne les facilités commerciales et les méthodes de l'administration économique (58 pts sur cent).
Le rapport de la Banque mondiale incrimine, d'autre part, la faiblesse du commerce de l'Algérie avec les pays de la région, et de façon générale la modicité des échanges économiques régionaux et ce, en raison des mesures protectionnistes et des entraves à la fluidité du commerce entre les pays concernés.
Le Fonds Monétaire International (FMI), rappelle-t-on, avait, dans un précédent constat, déploré la faiblesse des échanges bilatéraux entre les pays de l'Afrique du Nord (moins de 3 pc de l'ensemble de leurs échanges avec l'extérieur) et considéré comme "anachronique" le maintien de la fermeture par l'Algérie de ses frontières avec le Maroc, au regard de la mondialisation des échanges que connaît le monde.
Dans son rapport sur le climat des affaires dans la région de l'Afrique du nord et du Moyen Orient, cité mercredi par le journal "Achourouq", l'Algérie est créditée de seulement 30 points sur 100 en matière de climat des affaires, ce qui reflète les pesanteurs de "la bureaucratie dans ce domaine et les entraves que rencontrent les investisseurs nationaux et étrangers".
Selon le rapport rendu public cette semaine, l'Algérie est aussi mal classée en matière de bonne gouvernance et qualité de l'administration, puisqu'elle n'a obtenu que 43 pts sur cent.
Une notation faible (27pts sur cent) lui est accordée également concernant la gouvernance par rapport à la contribution du secteur public, de même qu'en ce qui concerne les facilités commerciales et les méthodes de l'administration économique (58 pts sur cent).
Le rapport de la Banque mondiale incrimine, d'autre part, la faiblesse du commerce de l'Algérie avec les pays de la région, et de façon générale la modicité des échanges économiques régionaux et ce, en raison des mesures protectionnistes et des entraves à la fluidité du commerce entre les pays concernés.
Le Fonds Monétaire International (FMI), rappelle-t-on, avait, dans un précédent constat, déploré la faiblesse des échanges bilatéraux entre les pays de l'Afrique du Nord (moins de 3 pc de l'ensemble de leurs échanges avec l'extérieur) et considéré comme "anachronique" le maintien de la fermeture par l'Algérie de ses frontières avec le Maroc, au regard de la mondialisation des échanges que connaît le monde.
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