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Les 1001 jardins qu'il faut avoir vus dans sa vie, voilà un titre qui rappelle les contes des 1001 nuits. Ce n'est pas moi qui le dis. C'est Michel Baridon, professeur émérite et membre du Conseil des parcs et jardins. Il fait ce parallèle dans la préface de ce livre imagé, coloré et fleuri de 960 pages.
Pourquoi tant de jardins? Quel millionnaire ou quel futur centenaire se fixerait un tel programme? demande-t-il.
Bien sûr, le lecteur ne pourra pas visiter tous ces jardins recensés à travers le monde. Mais les images et les descriptions permettent aux amateurs de les voir, de les imaginer dans leur totalité et - pourquoi pas - d'en deviner les parfums. En ce sens, tel le tapis volant que le prince Houssai avait ramené de Bisnasgar, ce livre permet de survoler des domaines, des réserves, des parcs et des jardins magnifiques.
Cet ouvrage collectif, dirigé par Rae Spencer-Jones, journaliste horticole, est surtout orienté vers l'Europe. Pas moins des deux tiers des jardins présentés se retrouvent sur le Vieux Continent. Les plus nombreux sont certainement ceux d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande. Ces véritables bijoux, touffus et foisonnants de couleurs, agrémentent les châteaux, les manoirs, les cottages et les parcs.
Les jardins français, vastes et symétriques, sont aussi bien représentés. Ceux de Versailles et de Vaux-le-Vicomte sont de véritables splendeurs.
On y retrouve aussi des jardins exotiques d'Amérique du Sud, de Chine, du Japon, d'Inde, du Maghreb, d'Afrique du Sud et d'Australie.
Y a-t-il des jardins du Québec?
Bien sûr! Le Jardin botanique de Montréal, le Parc régional du Bois de Belle-Rivière, à Montréal, Maison et jardins Chénier-Sauvé, à Saint-Eustache, le Parc du Bois-de-Coulonge, à Québec, Quatre-Vents, à La Malbaie et les Jardins de Métis, à Grand-Métis, en Gaspésie.
Fait intéressant pour les voyageurs, les jardins sont présentés par pays. Cela permet de planifier des visites lors de ses prochaines vacances.
Ce n'est pas le cas pour les autres ouvrages de la même collection, dont Les 1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie et Les 1001 tableaux qu'il faut avoir vus dans sa vie.
- AFP
Pourquoi tant de jardins? Quel millionnaire ou quel futur centenaire se fixerait un tel programme? demande-t-il.
Bien sûr, le lecteur ne pourra pas visiter tous ces jardins recensés à travers le monde. Mais les images et les descriptions permettent aux amateurs de les voir, de les imaginer dans leur totalité et - pourquoi pas - d'en deviner les parfums. En ce sens, tel le tapis volant que le prince Houssai avait ramené de Bisnasgar, ce livre permet de survoler des domaines, des réserves, des parcs et des jardins magnifiques.
Cet ouvrage collectif, dirigé par Rae Spencer-Jones, journaliste horticole, est surtout orienté vers l'Europe. Pas moins des deux tiers des jardins présentés se retrouvent sur le Vieux Continent. Les plus nombreux sont certainement ceux d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande. Ces véritables bijoux, touffus et foisonnants de couleurs, agrémentent les châteaux, les manoirs, les cottages et les parcs.
Les jardins français, vastes et symétriques, sont aussi bien représentés. Ceux de Versailles et de Vaux-le-Vicomte sont de véritables splendeurs.
On y retrouve aussi des jardins exotiques d'Amérique du Sud, de Chine, du Japon, d'Inde, du Maghreb, d'Afrique du Sud et d'Australie.
Y a-t-il des jardins du Québec?
Bien sûr! Le Jardin botanique de Montréal, le Parc régional du Bois de Belle-Rivière, à Montréal, Maison et jardins Chénier-Sauvé, à Saint-Eustache, le Parc du Bois-de-Coulonge, à Québec, Quatre-Vents, à La Malbaie et les Jardins de Métis, à Grand-Métis, en Gaspésie.
Fait intéressant pour les voyageurs, les jardins sont présentés par pays. Cela permet de planifier des visites lors de ses prochaines vacances.
Ce n'est pas le cas pour les autres ouvrages de la même collection, dont Les 1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie et Les 1001 tableaux qu'il faut avoir vus dans sa vie.
- AFP