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Air Algérie et Sonatrach en savent quelque chose
Les compagnies nationales Air Algérie et Sonatrach ont connu le départ d’un nombre important de leurs cadres vers des entreprises privées nationales ou étrangères.
L’apparition de la défunte compagnie de transport aérien de voyageurs «Khalifa Airways» à la fin des années 1990 et les salaires alléchants qu’elle proposait n'a, rappelons-le, pas laissé indifférents les pilotes et autres cadres de la compagnie publique Air Algérie.
Une bonne partie de ces derniers n’a pas tardé à rejoindre la « nouvelle société», mettant Air Algérie dans une situation embarrassante. Sonatrach n’a pas échappé au phénomène de départ de ses cadres vers des sociétés étrangères exerçant dans le domaine des hydrocarbures aussi bien en Algérie qu’à l’étranger.
Les responsables de ces deux grandes compagnies nationales ont été contraints de s’adapter à la nouvelle réalité en introduisant des augmentations conséquentes des salaires à même de garantir une «immunité» pour mettre un terme au départ des cadres. Ce qui est certain, c’est que la «saignée» a été évitée de justesse par les deux entreprises.
D’autres sociétés sont appelées à mettre un «dispositif de prévention» avant qu'il ne soit trop tard, si elles veulent se préserver.
- InfoSoir
Les compagnies nationales Air Algérie et Sonatrach ont connu le départ d’un nombre important de leurs cadres vers des entreprises privées nationales ou étrangères.
L’apparition de la défunte compagnie de transport aérien de voyageurs «Khalifa Airways» à la fin des années 1990 et les salaires alléchants qu’elle proposait n'a, rappelons-le, pas laissé indifférents les pilotes et autres cadres de la compagnie publique Air Algérie.
Une bonne partie de ces derniers n’a pas tardé à rejoindre la « nouvelle société», mettant Air Algérie dans une situation embarrassante. Sonatrach n’a pas échappé au phénomène de départ de ses cadres vers des sociétés étrangères exerçant dans le domaine des hydrocarbures aussi bien en Algérie qu’à l’étranger.
Les responsables de ces deux grandes compagnies nationales ont été contraints de s’adapter à la nouvelle réalité en introduisant des augmentations conséquentes des salaires à même de garantir une «immunité» pour mettre un terme au départ des cadres. Ce qui est certain, c’est que la «saignée» a été évitée de justesse par les deux entreprises.
D’autres sociétés sont appelées à mettre un «dispositif de prévention» avant qu'il ne soit trop tard, si elles veulent se préserver.
- InfoSoir
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