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Vers un accord de coopération dans le nucléaire civil avec les Russes
L'Algérie est en passe de conclure un accord de coopération avec les Russes dans le domaine du nucléaire civil, a annoncé aujourd'hui Chakib Khellil, ministre de l'Energie et des Mines, sur les ondes de la Chaînes III.
Il a par ailleurs déclaré concernant le projet de la réalisation d'une centrale électro-nucléaire qu'aucun pays avec qui l'Algérie a déjà conclu un accord dans ce domaine -allusion faite aux Etats-Unis, la France et la Chine, n'aura la primauté et qu'un «appel d'offre international sera lancé».
Le pays qui offrira «des avantages stratégiques pour l'Algérie» sera retenu, a-t-il noté.
L'Algérie recherche un apport dans le domaine de la formation des ressources humaines, car, a-t-il dit, «une centrale de 1 000 MW a besoin de la mobilisation de 1 000 employés pour son fonctionnement».
Abordant le volet financier, le ministre a affirmé qu'«une centrale électro-nucléaire coûte trois fois plus cher qu'une centrale électrique à gaz de 1 200 MW», il est pour cela nécessaire de mobiliser d'abord une enveloppe financière importante.
Il a tenu à préciser que l'Etat ne pourra pas prendre en charge le financement de ce projet à 100 %. et «contribuera partiellement au financement de ce projet.»
M. Khellil a indiqué que la loi sur le nucléaire civil, qui sera promulguée en 2009, sera présentée devant le conseil du gouvernement, après étude par les départements ministériels concernés.
Dans ce sillage, il est prévu la mise ne place d'une agence de sûreté et de sécurité de l'activité nucléaire en Algérie.
Samia Amine (TSA)
Il a par ailleurs déclaré concernant le projet de la réalisation d'une centrale électro-nucléaire qu'aucun pays avec qui l'Algérie a déjà conclu un accord dans ce domaine -allusion faite aux Etats-Unis, la France et la Chine, n'aura la primauté et qu'un «appel d'offre international sera lancé».
Le pays qui offrira «des avantages stratégiques pour l'Algérie» sera retenu, a-t-il noté.
L'Algérie recherche un apport dans le domaine de la formation des ressources humaines, car, a-t-il dit, «une centrale de 1 000 MW a besoin de la mobilisation de 1 000 employés pour son fonctionnement».
Abordant le volet financier, le ministre a affirmé qu'«une centrale électro-nucléaire coûte trois fois plus cher qu'une centrale électrique à gaz de 1 200 MW», il est pour cela nécessaire de mobiliser d'abord une enveloppe financière importante.
Il a tenu à préciser que l'Etat ne pourra pas prendre en charge le financement de ce projet à 100 %. et «contribuera partiellement au financement de ce projet.»
M. Khellil a indiqué que la loi sur le nucléaire civil, qui sera promulguée en 2009, sera présentée devant le conseil du gouvernement, après étude par les départements ministériels concernés.
Dans ce sillage, il est prévu la mise ne place d'une agence de sûreté et de sécurité de l'activité nucléaire en Algérie.
Samia Amine (TSA)