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Le constructeur automobile américain s'apprêterait également à supprimer des milliers d'emplois de cadres.
Restructuration à venir chez General Motors. Selon le quotidien économique américain The Wall Street Journal, le constructeur automobile s'apprêterait en effet à supprimer des milliers d'emplois de cadres et à étudier la cession voire l'arrêt de plusieurs marques. Toutes les marques du constructeur pourraient être concernées, à l'exception de Cadillac et Chevrolet. GM avait déjà annoncé qu'il envisageait de céder sa marque de 4X4 Hummer.
Une faillite n'est pas impossible
Objectif: revenir à la rentabilité en 2010, alors que les liquidités dont dispose GM fondent au rythme de 3 milliards de dollars par trimestre, selon le WSJ, et que la capitalisation boursière du groupe n'est plus que de 5,7 milliards de dollars. La semaine dernière, Merrill Lynch avait même affirmé qu'une faillite de General Motors n'était "pas impossible" si le marché automobile américain continuait à se détériorer.
Ce plan pourrait être entériné début août par un conseil d'administration du constructeur, qui mène actuellement, comme les deux autres membres des "Big Three" (Ford et Chrysler) un infléchissement de sa stratégie pour se recentrer sur les véhicules plus économes en carburant. Une stratégie qui risque de l'obliger à multiplier les rabais pour liquider ses stocks, et à fermer des usines.
Sources : challenges.fr.
Restructuration à venir chez General Motors. Selon le quotidien économique américain The Wall Street Journal, le constructeur automobile s'apprêterait en effet à supprimer des milliers d'emplois de cadres et à étudier la cession voire l'arrêt de plusieurs marques. Toutes les marques du constructeur pourraient être concernées, à l'exception de Cadillac et Chevrolet. GM avait déjà annoncé qu'il envisageait de céder sa marque de 4X4 Hummer.
Une faillite n'est pas impossible
Objectif: revenir à la rentabilité en 2010, alors que les liquidités dont dispose GM fondent au rythme de 3 milliards de dollars par trimestre, selon le WSJ, et que la capitalisation boursière du groupe n'est plus que de 5,7 milliards de dollars. La semaine dernière, Merrill Lynch avait même affirmé qu'une faillite de General Motors n'était "pas impossible" si le marché automobile américain continuait à se détériorer.
Ce plan pourrait être entériné début août par un conseil d'administration du constructeur, qui mène actuellement, comme les deux autres membres des "Big Three" (Ford et Chrysler) un infléchissement de sa stratégie pour se recentrer sur les véhicules plus économes en carburant. Une stratégie qui risque de l'obliger à multiplier les rabais pour liquider ses stocks, et à fermer des usines.
Sources : challenges.fr.