De loin, j’ai entendu ton soupir,
Et aperçu tes pressantes prières
Un cri mêlé à une forme de délire
D’une douce mélancolie saisonnière.
Elle m’incite à venir te dire
Les mots qui fondent ma verrière
Tu n’es qu’une histoire à relire
Elle se lit telle une douce mélodie printanière.
Transformant ces facettes en zéphire
Et sortant de la tristesse, une joie plénière.
Il faut croire au bonheur né de la tristesse
Avec la joie, elle est une paire gémellaire
Elle nous permet de découvrir l’ivresse
Sans elle, comment reconnaître sa paire ?
Elle nous apprend à agir avec tact et sagesse
Et tempérer nos ardeurs primaires
Signe de notre naïve jeunesse
Qui a su dépasser les couacs préliminaires
Se sont ces amères faiblesses
Qui bâtiront notre avenir prospère.
Je l’espère pour toi plein de dévotion
Loin de tout rêve et de toute chimère
Le rêve est certes une délicate ascension
Vers les lointains cieux de l’imaginaire
Il mérite toutefois concrétisation
Dans le monde réel fait d’ordinaire
Son corollaire est mieux nanti d’adoration
Fais en ton allié et ton corollaire
Qui te guidera vers la bonne solution
Et t’ouvrira les portes du bonheur sur terre.
Tristesse et joie, amour et amitié,
Les uns gémellaires, les autres, simplement frères,
Les premiers sont faciles à unifier,
Même si ce n’est pas l’avis des confrères
Alors que les seconds sont bonifiés
A travers les époques et les ères
Ils sont tantôt bénis et amplifiés
Et tantôt jetés dans les océans et les mers.
Ils peuvent nous bercer et parfois nous pétrifier
Source de passions et de contes millénaires.
L’amour est un sentiment souvent glorifié
Il nous cause toutefois des insomnies réfractaires
On lui accorde des intentions nobles et purifiés
Ne peuvent le capter et le sentir que les dignitaires
On le traîne parfois dans la boue pour le crucifier
Comme s’il était un poison ou un venin de vipère
On le confond avec des comportements injustifiés
D’humains qui ont défiés ses substances et repères
Toi par contre, tu as su l’admirer et le fortifier
Même dans tes moments les plus solitaires.
Tu as créé un pont de cordialité entre lui et l’amitié
Une vision que de simples esprits ne peuvent parfaire
Une ascension spirituelle digne des plus initiés,
Un rêve innocent transformé en version oculaire
Sa vue nous emballe sans jamais être rassasiés
De le sentir, de le vivre et de le voir en claire.
L’amitié est pour toi un magistral cerisier
Il offre de belles couleurs et de belles saveurs
Puisses tu donc accepter mon amour et mes amitiés
Elles émanent d’un frère attentif à tes déclarations spectaculaires.
Kamal, le 11.06.2008.
Et aperçu tes pressantes prières
Un cri mêlé à une forme de délire
D’une douce mélancolie saisonnière.
Elle m’incite à venir te dire
Les mots qui fondent ma verrière
Tu n’es qu’une histoire à relire
Elle se lit telle une douce mélodie printanière.
Transformant ces facettes en zéphire
Et sortant de la tristesse, une joie plénière.
Il faut croire au bonheur né de la tristesse
Avec la joie, elle est une paire gémellaire
Elle nous permet de découvrir l’ivresse
Sans elle, comment reconnaître sa paire ?
Elle nous apprend à agir avec tact et sagesse
Et tempérer nos ardeurs primaires
Signe de notre naïve jeunesse
Qui a su dépasser les couacs préliminaires
Se sont ces amères faiblesses
Qui bâtiront notre avenir prospère.
Je l’espère pour toi plein de dévotion
Loin de tout rêve et de toute chimère
Le rêve est certes une délicate ascension
Vers les lointains cieux de l’imaginaire
Il mérite toutefois concrétisation
Dans le monde réel fait d’ordinaire
Son corollaire est mieux nanti d’adoration
Fais en ton allié et ton corollaire
Qui te guidera vers la bonne solution
Et t’ouvrira les portes du bonheur sur terre.
Tristesse et joie, amour et amitié,
Les uns gémellaires, les autres, simplement frères,
Les premiers sont faciles à unifier,
Même si ce n’est pas l’avis des confrères
Alors que les seconds sont bonifiés
A travers les époques et les ères
Ils sont tantôt bénis et amplifiés
Et tantôt jetés dans les océans et les mers.
Ils peuvent nous bercer et parfois nous pétrifier
Source de passions et de contes millénaires.
L’amour est un sentiment souvent glorifié
Il nous cause toutefois des insomnies réfractaires
On lui accorde des intentions nobles et purifiés
Ne peuvent le capter et le sentir que les dignitaires
On le traîne parfois dans la boue pour le crucifier
Comme s’il était un poison ou un venin de vipère
On le confond avec des comportements injustifiés
D’humains qui ont défiés ses substances et repères
Toi par contre, tu as su l’admirer et le fortifier
Même dans tes moments les plus solitaires.
Tu as créé un pont de cordialité entre lui et l’amitié
Une vision que de simples esprits ne peuvent parfaire
Une ascension spirituelle digne des plus initiés,
Un rêve innocent transformé en version oculaire
Sa vue nous emballe sans jamais être rassasiés
De le sentir, de le vivre et de le voir en claire.
L’amitié est pour toi un magistral cerisier
Il offre de belles couleurs et de belles saveurs
Puisses tu donc accepter mon amour et mes amitiés
Elles émanent d’un frère attentif à tes déclarations spectaculaires.
Kamal, le 11.06.2008.
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