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Le régime des mollahs, de plus en plus isolé dans le monde musulman, s’est retourné vers l’Algérie pour sollicider son soutien dans son dossier nucléaire. Le choix de ce pays ne relève pas du hasard.
L’ingérence des mollahs en Irak, leurs livraisons d’armes aux différents groupes armés qui ensanglantent l’Irak, leur ingérence en Palestine qui empêche le Fatah de ramener le calme, leur guerre privée contre Israël via le Hezbollah, ont réellement isolé les mollahs.
Cela fait des mois que les Etats Arabes craignent de recevoir les représentants des mollahs car ces derniers utilisent les conférences de presse pour faire des déclarations embarrassantes pour leurs hôtes. Ainsi, en janvier dernier, l’Algérie avait refusé de donner un aspect officiel à une escale d’Ahmadienjad à Alger.
Et par la suite, l’Algérie avait déclaré sa volonté de garder sa neutralité dans les affaires iraniennes. Entre temps, le régime des mollahs qui est activement impliqué dans les affaires terroristes au Maghreb et qui soutient l’ex-GSPC algérien (Al Qaeda Maghreb) a fait parler la poudre. Tous les observateurs s’accordent pour affirmer leurs inquiétudes sur le retour du terrorisme au Maghreb.
Téhéran a désormais le moyen de se faire écouter et exiger moins de neutralité de la part de l’Algérie. Selon la presse Algérienne, les deux pays affichent des points de vue communs sur les questions régionales et internationales, en Irak, en Afghanistan, au Liban et en Palestine, tout en restant en désaccord sur la question nucléaire. C’est fort intéressant. Les mollahs ne demandent pas à l’Algérie de soutenir le programme nucléaire iranien au risque de se mettre en porte-à-faux avec ses partenaires américains ou Français, mais ils lui demandent de diminuer l’unité du monde Arabe. C’est habile.
Sous prétexte de rechercher le ralliement de l’Algérie sur le droit à l’enrichissement nucléaire, les mollahs ont rendu visite à l’Algérie pour s’assurer du soutien de ce pays dans les futurs combats qu’ils auront à livrer contre les Arabes du Moyen-Orient. L’un de ces combats sera d’empêcher le Liban de juger les assassins de Hariri parmi lesquels se trouvent des membres des Pasdaran et du Hezbollah.
iran-resist
L’ingérence des mollahs en Irak, leurs livraisons d’armes aux différents groupes armés qui ensanglantent l’Irak, leur ingérence en Palestine qui empêche le Fatah de ramener le calme, leur guerre privée contre Israël via le Hezbollah, ont réellement isolé les mollahs.
Cela fait des mois que les Etats Arabes craignent de recevoir les représentants des mollahs car ces derniers utilisent les conférences de presse pour faire des déclarations embarrassantes pour leurs hôtes. Ainsi, en janvier dernier, l’Algérie avait refusé de donner un aspect officiel à une escale d’Ahmadienjad à Alger.
Et par la suite, l’Algérie avait déclaré sa volonté de garder sa neutralité dans les affaires iraniennes. Entre temps, le régime des mollahs qui est activement impliqué dans les affaires terroristes au Maghreb et qui soutient l’ex-GSPC algérien (Al Qaeda Maghreb) a fait parler la poudre. Tous les observateurs s’accordent pour affirmer leurs inquiétudes sur le retour du terrorisme au Maghreb.
Téhéran a désormais le moyen de se faire écouter et exiger moins de neutralité de la part de l’Algérie. Selon la presse Algérienne, les deux pays affichent des points de vue communs sur les questions régionales et internationales, en Irak, en Afghanistan, au Liban et en Palestine, tout en restant en désaccord sur la question nucléaire. C’est fort intéressant. Les mollahs ne demandent pas à l’Algérie de soutenir le programme nucléaire iranien au risque de se mettre en porte-à-faux avec ses partenaires américains ou Français, mais ils lui demandent de diminuer l’unité du monde Arabe. C’est habile.
Sous prétexte de rechercher le ralliement de l’Algérie sur le droit à l’enrichissement nucléaire, les mollahs ont rendu visite à l’Algérie pour s’assurer du soutien de ce pays dans les futurs combats qu’ils auront à livrer contre les Arabes du Moyen-Orient. L’un de ces combats sera d’empêcher le Liban de juger les assassins de Hariri parmi lesquels se trouvent des membres des Pasdaran et du Hezbollah.
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