Cette demarche politique est lancée par trois grandes personnalités algériennes : Hocine Aït Ahmed, Mouloud Hamrouche et Abdelhamid Mehri.
Cette initiative est lancée en direction de la population à l’effet d’essayer de convaincre le maximum d’Algériens de la nécessité de se mobiliser pour imposer le changement, a indiqué, hier, le 1er secrétaire du FFS, Karim Tabou lors d’une conférence de presse tenue au siège du parti. «Au FFS, nous avons pu créer une symbiose avec des gens qui n’ont aucune relation avec le parti.
Ces trois personnalités ont lancé un appel à initiative et sont dans un processus de concertation permanent», a-t-il souligné à la presse et d’ajouter : «C’est une initiative appelée à se développer au sein de la population avec des acteurs sociaux qui veulent construire avec nous une alternative politique sérieuse. C’est une œuvre difficile, mais nous avons une conviction inébranlable dans la volonté des Algériens de provoquer le changement car, d’un autre côté, la société vit un désarroi terrible et une situation politique et économique très difficile.» «Il nous arrive de tenir des réunions de travail ensemble. Nous observons et analysons la situation avec beaucoup d’attention et nous comptons engager un travail concret sur le terrain», a-t-il repris.
Plus précis, M. Tabou a expliqué l’action de ces hommes politiques qui ont décidé, selon lui, de lancer un appel à initiative «qui vise à dire aux Algériens qu’il est possible de construire ensemble et que nous sommes arrivés à un point de non-retour car il est toujours possible de réunir des hommes et des femmes pour construire une unité nationale et l’avenir de notre pays».
En outre, le 1er secrétaire du FFS a annoncé la création d’un conseil de médiation au sein de son parti. «C’est une forme de cour de justice au sein du parti qui remplace les commissions de discipline à l’échelle de la commune et de la wilaya pour être efficace dans l’examen des dossiers.» Une autre nouvelle commission de contrôle de finance a récemment été créée au niveau du parti pour la gestion des finances qui doit, selon lui, obéir à des règles strictes et être conforme à la comptabilité nationale. «Elle rendra publics systématiquement ses rapports financiers transmis aux instances concernées.»
M. Tabou a également évoqué l’étude en cours des demandes d’adhésion au FFS, transmises par 11 démissionnaires du RCD. Il a conclu par un exposé de la situation du pays sur tous les plans. Sur le plan économique et social, «le pays donne l’image d’un pays en panne de perspectives. Sur le plan social, je pense que la situation est intenable». Il a appelé à la transition car «il y a urgence d’engager le pays dans une vraie réforme et une transition politique et économique qui induit systématiquement une réforme sociale qui doit passer inévitablement par le retour à la démocratie qui doit se faire dans un processus sérieux et capable d’engager toutes les forces politiques nationales».
- InfoSoir
Cette initiative est lancée en direction de la population à l’effet d’essayer de convaincre le maximum d’Algériens de la nécessité de se mobiliser pour imposer le changement, a indiqué, hier, le 1er secrétaire du FFS, Karim Tabou lors d’une conférence de presse tenue au siège du parti. «Au FFS, nous avons pu créer une symbiose avec des gens qui n’ont aucune relation avec le parti.
Ces trois personnalités ont lancé un appel à initiative et sont dans un processus de concertation permanent», a-t-il souligné à la presse et d’ajouter : «C’est une initiative appelée à se développer au sein de la population avec des acteurs sociaux qui veulent construire avec nous une alternative politique sérieuse. C’est une œuvre difficile, mais nous avons une conviction inébranlable dans la volonté des Algériens de provoquer le changement car, d’un autre côté, la société vit un désarroi terrible et une situation politique et économique très difficile.» «Il nous arrive de tenir des réunions de travail ensemble. Nous observons et analysons la situation avec beaucoup d’attention et nous comptons engager un travail concret sur le terrain», a-t-il repris.
Plus précis, M. Tabou a expliqué l’action de ces hommes politiques qui ont décidé, selon lui, de lancer un appel à initiative «qui vise à dire aux Algériens qu’il est possible de construire ensemble et que nous sommes arrivés à un point de non-retour car il est toujours possible de réunir des hommes et des femmes pour construire une unité nationale et l’avenir de notre pays».
En outre, le 1er secrétaire du FFS a annoncé la création d’un conseil de médiation au sein de son parti. «C’est une forme de cour de justice au sein du parti qui remplace les commissions de discipline à l’échelle de la commune et de la wilaya pour être efficace dans l’examen des dossiers.» Une autre nouvelle commission de contrôle de finance a récemment été créée au niveau du parti pour la gestion des finances qui doit, selon lui, obéir à des règles strictes et être conforme à la comptabilité nationale. «Elle rendra publics systématiquement ses rapports financiers transmis aux instances concernées.»
M. Tabou a également évoqué l’étude en cours des demandes d’adhésion au FFS, transmises par 11 démissionnaires du RCD. Il a conclu par un exposé de la situation du pays sur tous les plans. Sur le plan économique et social, «le pays donne l’image d’un pays en panne de perspectives. Sur le plan social, je pense que la situation est intenable». Il a appelé à la transition car «il y a urgence d’engager le pays dans une vraie réforme et une transition politique et économique qui induit systématiquement une réforme sociale qui doit passer inévitablement par le retour à la démocratie qui doit se faire dans un processus sérieux et capable d’engager toutes les forces politiques nationales».
- InfoSoir
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