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L'inorganisation du secteur agricole en Algérie

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  • L'inorganisation du secteur agricole en Algérie

    voila une preuve de la mal organisation de sécteur agrécole algérien

    l'agriculture en algérie souffre, ce n'est pas a cause que les fellahs ne travaillent pas mais parceque l'état est completement absent pour organiser ce secteur. 46 ans apres l'independance on ne sait pas encore gerer un probleme tres basique, merci a qui? ministere du commerce ou l'agriculture ou a Bouteflika?

    source soir d'algérie du 10-07-08

    L’été du tubercule. C’est vraiment le cas de le dire. La pomme de terre, comme l’année dernière, retient toute l’attention du gouvernement. Un conseil interministériel restreint lui a été consacré au courant de la semaine et décision a été prise d’en constituer un stock de 150 000 tonnes. L’Etat achète aux agriculteurs le surplus de production à un prix référentiel de 20 dinars le kilogramme.

    La décision est accueillie avec soulagement par les producteurs qui, dans certaines wilayas, à l’instar de Aïn- Defla, écoulent la pomme de terre à 10 dinars le kilogramme. La surproduction a généré logiquement une baisse vertigineuse des prix à la consommation. Les producteurs, qui estiment le prix de revient d’un kilogramme de pomme de terre à 25 dinars, se plaignent d’un manque à gagner. Aussi, se retournent-ils vers l’Etat auquel ils réclament des compensations. C’est le cas notamment des agriculteurs de la wilaya de Bouira qui sollicitent une compensation de 15 dinars par kilogramme. Ils souhaitent également que l’Etat leur achète le surplus de production non pas à 20 dinars le kilogramme, comme stipulé dans le cadre du Syrpalac, le nouveau système de régulation, mais à 25 dinars le kilogramme. Pour cerner cette problématique, nous nous sommes intéressés à cette démultiplication exceptionnelle du tubercule dans les wilayas de Bouira et de Aïn-Defla.
    AÏN DEFLA
    Un excédent de 2 millions de quintaux et quelques problèmes
    La récolte de pomme de terre a atteint un niveau jamais égalé cette année puisque, selon la Direction des services agricoles (DSA), on a enregistré un excédent de quelque 20 000 tonnes.
    Sur le marché de détail, les prix affichés ne dépassent pas les 20 DA, tandis que le kilogramme de pomme de terre est cédé à 10 DA sur pied. Si le consommateur ne cache pas son contentement, il n'en est pas de même du producteur. Le contre-coup de cette surproduction, entraînant une chute vertigineuse des prix, le place dans une situation des plus délicates et il est le seul à assumer le déficit qu'entraîne la mévente. Cependant, comment expliquer ce «phénomène» ? Selon la DSA, il y a eu d'abord la superficie ensemencée qui a été doublée et a atteint cette année le chiffre record de 16 000 ha (saison et arrière-saison), soit le double de ce qu'elle a été durant les trois dernières années. La disponibilité de l'eau, 40 à 50 millions de mètres cubes émanant du seul barrage de Sidi Ahmed Bentaïba (commune de Arrib), les nombreuses séances de sensibilisation et d'explication de l'itinéraire technique de production, organisées tant par les services de la DSA que par les laboratoires de produits phytosanitaires, les traitements incessants effectués de manière préventive contre le mildiou, la disponibilité des engrais, malgré une courte période de tension, induite par la mise en place d'une procédure de distribution des produits complexe avec à l'origine un texte du ministère de l'Industrie prônant une réglementation difficilement applicable sur le terrain, situation vite débloquée par la wilaya qui a pris les mesures appropriées, la participation des cadres des institutions telles que l’INPV (l'Institut national de la production végétale) et autre CNCC (Centre national de contrôle et de certification), l'activation des cellules de contrôle et de suivi installées au niveau de chaque daïra, tous ces facteurs réunis ont permis d'obtenir des rendements records avec une moyenne qui se situe dans une fourche allant de 15 à 20,50 tonnes à l'hectare avec des pics variant entre 40 et 50 tonnes à l'hectare, principalement dans la région de Djendel. La production est passée de 2,5 millions de quintaux les années précédentes à 4 millions cette année pour la pleine saison, ce qui équivaut, estime-t-on, à la production de toute une année par rapport à 2005 et 2006. A ceci il faudra ajouter la récolte d'arrière-saison qui va arriver sur le marché dans les prochains mois, sans oublier que durant le mois de Ramadan, en septembre, la demande va baisser et l'offre restera élevée. Cependant, la production étant là se posent un certain nombre de problèmes. D'abord celui du stockage de cette production. Les capacités de stockage sous froid s'avèrent très insuffisantes, la wilaya ne disposant que d'un espace de 150 000 m3, entièrement mobilisé pour une quantité maximale de 50 000 tonnes. Par ailleurs, comme nous sommes au début de l'été, c'est la récolte des fruits qui est déjà là, estimée à quelque 600 000 q et qu'il faut aussi penser à son stockage. Les producteurs se trouvent contraints alors de recourir à la location de chambres froides dans les wilayas voisines, Chlef, Tipasa, Mostaganem et Blida, ce qui laisse supposer que la répartition de «l'espace froid» soutenue par l'Etat n'a pas obéi à des paramètres logiques. Les autres producteurs, moins «solides», ont recours au stockage hors froid (lit des oueds, endroits relativement frais). Le second problème qui se pose aux producteurs est celui de la commercialisation des produits récoltés. Elle a connu trois étapes. Le prix de vente du kilogramme (en gros) a tourné dans une première période (arrachage précoce) autour de plus de 30 DA. En pleine période d'arrachage massif, ce prix a chuté passant à 22 puis 20 DA. Dans une troisième étape, la chute a continué puisque le prix a atteint les 17 et même 12 DA le kilogramme. Actuellement, il n'est que de 8 à 10 DA, soit 15 DA le kg au détail. Ces prix, tout le monde le certifie, sont loin de couvrir les coûts de production, entraînant même des pertes importantes. Cette situation interpelle les institutions pour la mise en place d'un système de régulation à même de mettre et le producteur et le consommateur à l'abri de ces aléas, qui se manifestent selon les périodes par des prix hors de portée du consommateur moyen ou le bradage du produit avec les déficits qui en découlent. Aussi il y a urgence à mettre un dispositif de régulation, ici et maintenant, pour protéger la filière, sous forme d'un soutien financer à la «production de régulation» avec un prix de référence garanti estimé à 17 DA le kg (le soutien serait donc de l'ordre de 7 DA puisque le prix de cession est de 10 DA). Ce soutien émanerait du Fonds national de régulation de la production agricole, comme cela a été décidé pour le lait et les céréales. Il semble que c'est la solution vers laquelle on s'achemine et la décision serait prise dans les tout prochains jours. Le mode opératoire, indique-t-on, nécessiterait alors la mise en place d'une cellule de wilaya qui sera chargée de cibler, de recenser, d'évaluer les quantités stockées et à qui il incombera la validation et l'octroi de la prime de régulation. Pour les établissements disposant de capacités de stockage sous froid, il serait proposé une indemnité de 1 DA par kilogramme et par mois pour la période allant de juillet à septembre au moins et pourquoi pas encourager l'investissement dans le secteur du stockage sous froid. A signaler aussi que la surproduction n'a pas concerné que la pomme de terre destinée à la consommation, mais aussi la pomme de terre de semence, puisqu'on dispose déjà d'un excédent de 30 000 tonnes, quantités habituellement écoulées dans d'autres régions du pays mais qui, elles aussi, possèdent leurs propres stocks, d’où une mévente et la nécessité d'un stockage sous froid plus prolongé, ce qui n'est pas sans se répercuter sur les prix de revient à la production. La situation est telle que la création de groupes d'intérêts, de coopératives s’avère nécessaire. Le rôle à jouer par ces groupements est de planifier et d'organiser les productions agricoles. Déjà, des mesures sont avancées, comme des restrictions sur l'eau d'irrigation surtout dans la zone est de la wilaya, les ressources en eau dans les barrages de Ghrib et DER DER allant en diminuant. Le quota alloué a pratiquement diminué de moitié passant de 75 millions à 43 millions de mètres cubes, avec toutefois priorité accordée à l'arboriculture fruitière qui s'étale sur 2 000 ha en irrigué. Dans ce secteur (Bir Ould Khelifa et Djelida) les producteurs de pomme de terre ont déjà été avisés que pour la campagne 2008/2009, ils ne pourront pas disposer d'eau d'irrigation afin qu’on ne se retrouve pas devant le fait accompli, sauf bien entendu pour ceux des producteurs qui disposent de leurs propres ressources hydriques.
    Dernière modification par Medgasen, 10 juillet 2008, 07h46.
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  • #2
    Qu'en-est-il de la production d'oignon (moins de 10 DA le kg au détail) de tomate (10 à 20 DA), la courgette (5 DA), l'ail (20 DA). Les objectifs de l'agriculture ne doivent plus se borner à la production mais aussi à résoudre les problèmes que rencontrent et les unités et les instances de production et le consommateur. Le développement, c'est aussi cela.
    Karim O.
    BOUIRA
    Les producteurs du tubercule réclament des compensations
    Au lendemain de la décision des pouvoirs publics de racheter auprès des producteurs quelque 150 000 tonnes de pommes de terre, un certain soulagement se lisait sur les visages des producteurs de Bouira, rassemblés mardi dernier au niveau de la Chambre d’agriculture.
    Cependant, certains d’entre eux, à l’image de M. Boudhane, membre de l’UNPA et producteur de pommes de terre, préfèrent temporiser et remettre l’euphorie suscitée par cette promesse de rachat de la pomme de terre excédentaire à plus tard et parler plutôt de la nécessité de compenser le manque à gagner. En effet, ce mardi, après plusieurs semaines d’un combat mené inlassablement par des centaines de producteurs de pommes de terre de la wilaya de Bouira pour la prise en charge de l’excédent qui a fait chuter les prix de la pomme de terre au-dessous de la barre de 10 dinars, le débat sur le manque à gagner a vite cédé le pas à la décision de l’Etat de racheter l’excédent. Pour certains producteurs, le prix de revient dans le meilleur des cas se situerait autour de 25 dinars, et si l’Etat a décidé d’acheter la marchandise au prix de 20 dinars le kilogramme, cela reste toujours en deçà du prix de revient qui est beaucoup plus élevé et que l’Etat se doit de compenser en prenant comme prix de référence 25 dinars. En outre, et selon le représentant de l’UNPA, plusieurs producteurs qui avaient le malheur de se retrouver dans des endroits peu favorables, avec des forages à sec, ont été obligés d’écouler leurs marchandises à perte avec moins de 10 dinars le kilogramme. Sur ce point, un appel est lancé au ministre de l’Agriculture afin de prendre en charge tous les producteurs de pommes de terre ayant été inscrits auprès de la Chambre d’agriculture de la wilaya pour la compensation. Signalons qu’au sujet de cette compensation, le directeur des services agricoles de la wilaya, M. Morsli Rachid, a déclaré avoir plaidé la cause de ces producteurs en demandant une compensation de 15 dinars le kilogramme en leur faveur. Pour rappel, selon M. Choudani Rabah, vice-président de l’association des producteurs de pommes de terre de Bouira, ils sont plus de 500 avec quelque 100 grands producteurs ayant cultivé des superficies dépassant 10 hectares chacune. Au total, ce sont quelque 2 500 hectares qui sont cultivés actuellement pour la pomme de terre de saison, une production totale avoisinant 800 000 quintaux. En 1999, la production de pommes de terre au niveau de la wilaya de Bouira ne dépassait pas 10 000 quintaux. Grâce à la politique du PNDA, la pomme de terre occupe désormais le troisième rang au niveau de la wilaya derrière la céréaliculture et l’oléiculture. Dans la wilaya de Bouira, quelque 19 chambres froides, ayant été acquises par les agriculteurs dans le cadre des aides de l’Etat, sont mobilisées pour la circonstance, mais leurs capacités totales ne dépassent pas 1 800 000 quintaux, soit 23 % de la production globale de la wilaya. Aussi, les producteurs sont-ils invités à envoyer leurs marchandises vers les wilayas de Béjaïa et Boumerdès où des chambres froides sont disponibles. Selon le DSA, à la faveur de l’accord passé entre les responsables du ministère de l’Agriculture et les représentants des producteurs de pommes de terre, l’Etat prendra en charge les frais de transport et de stockage.
    Y. Y.
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    • #3
      ce n'est pas nouveau tt celà , pkoi pensez vous que la pomme de terre a fait un tabac l'an dernier ? parcequ'il ya deux ans les agriculteurs ont mordu la poussiere ,elle ne valait pas 5 DA au champs ,des milliers de tonnes ne valaient meme pas la peine d'etre arrachés, l'année suivante c la penurie .; on commence a peine a comprendre que la loi du marché est une mauvaise blague que les responsables algeriens demunis de culture economique ont gobé, la liberalisation pour eux c'est la jungle ..

      pour ceux qui ne croyaient pas ce que bcp d'agriculteurs declaraient , que l'algerie n'a pas un probleme de production mais d'organistaion de son agriculture doivent se rendre a l'evidence maintenant , l'algerie est de loin le premier producteur de pomme de terre du monde arabe , et peu meme etre un grand exportateur de ce tubercule , pas seulement pour la pomme de terre mais pour bcp d'autres speculations, surtt pour les fruits ds les prochaines années , des milliers d'Ha sont plantés dans la desorganisation ,et tous sont dirigés vers le marché interne faute de canaux d'exportation...
      il faut reguler le marché interieur c'est vrai , mais il faut le faire professionellement , avec competence , il faut une agence puissante qui dispose d'(une logistique efficace , et souple , signant des conventions avec des stockeurs , et intervenant sur les marché d'une maniere legale et transaparente , car qu'est ce qui garanti que cette agncve n'influera pas sur les prix de gros pour l'interet de certains producteurs ou renvendeurs , donc il faut la doter de textes tres clairs.

      ensuite il faut commencer a travailler sur la creation d'une agence qui s'occupe de l'export, je crois qu'un consorsium vient d'etre créé ,à l'image de la board new zelandaise il doit etre le porte drapeau du fruit et legume algerien a l'etranger , mais encore une fois c'est la'ffaire de professionalisme ...

      pour revenir a la pomme de terre .. la wilaya d'elwed il ya a peine 10 ans elle ne connaissaiot pas que la pomme de terre poussaient sur ses terres, ceux qui reviennent de labas actuellement sont eberlués , pres de deux millions de tonnes y sont produites et la surface augmente , d'autres regions sont potentiellement productrices , bien que la fameuse wilaya 44 est la capitamle sans conteste de cette filiere , d'ailleur ce sont les 44 qui produisent la pomme de terre a biskra , a el wed , et ailleur .
      Dernière modification par jamaloup, 10 juillet 2008, 09h46.
      en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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      • #4
        extrait du soir d'algérie

        La «disparition» précipitée des entreprises publiques spécialisées dans le froid (Enafroid) ou celle dans l’importation à l’image de l’Ofla a provoqué un dérèglement total de la machine de la distribution en Algérie. Résultats : «Ceux qui importent sont ceux qui stockent et revendent.” L’Etat absent, l’empire du milieu a encore de beaux jours devant lui. Il continuera toujours à imposer son diktat.
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #5
          s'il faut attendre les preuves !!!
          non tout va bien

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          • #6
            Envoyé par Medgasen
            l'agriculture en algérie souffre, ce n'est pas a cause que les fellahs ne travaillent pas mais parceque l'état est completement absent pour organiser ce secteur. 46 ans apres l'independance on ne sait pas encore gerer un probleme tres basique, merci a qui? ministere du commerce ou l'agriculture ou a Bouteflika?
            Ah oui ? toujours pour vous le bouc émissaire idéal c'est l'Etat biensur.

            Si l'Etat est complètement absent alors comment explique-tu cette production exceptionnelle de pomme de terre et de beaucoup d'autres fruits et légumes ??

            Voilà si tu les ignores un apreçu de ce qu'a été fait par l'Etat, pour avoir cette production record :

            Selon la DSA,
            • il y a eu d'abord la superficie ensemencée qui a été doublée et a atteint cette année le chiffre record de 16 000 ha (saison et arrière-saison), soit le double de ce qu'elle a été durant les trois dernières années.
            • La disponibilité de l'eau, 40 à 50 millions de mètres cubes émanant du seul barrage de Sidi Ahmed Bentaïba (commune de Arrib),
            • les nombreuses séances de sensibilisation et d'explication de l'itinéraire technique de production, organisées tant par les services de la DSA que par les laboratoires de produits phytosanitaires,
            • les traitements incessants effectués de manière préventive contre le mildiou, la disponibilité des engrais, malgré une courte période de tension, induite par la mise en place d'une procédure de distribution des produits complexe avec à l'origine un texte du ministère de l'Industrie prônant une réglementation difficilement applicable sur le terrain, situation vite débloquée par la wilaya qui a pris les mesures appropriées,
            • la participation des cadres des institutions telles que l’INPV (l'Institut national de la production végétale) et autre CNCC (Centre national de contrôle et de certification),
            • l'activation des cellules de contrôle et de suivi installées au niveau de chaque daïra,
            tous ces facteurs réunis ont permis d'obtenir des rendements records avec une moyenne qui se situe dans une fourche allant de 15 à 20,50 tonnes à l'hectare avec des pics variant entre 40 et 50 tonnes à l'hectare,

            Donc l'Etat a fait son devoir de favoriser grandement la production et depuis l'avènement de Bouteflika sa politique agricole a été un franc succés malgrés les critiques de certains jaloux et incompétants, reste maintenant au secteur privé de bouger, de créer des sociétés de commercialisation et d'exportation des excédents de production.

            Donc on voit bien que le problème se situe surtout chez le secteur commercial privé qui tarde à réagir à saisir les opportunités et à commercialiser adéquatement la production.

            Et malgrés ça, dans un ultime éffort de l'Etat pour sauver les agriculteurs de l'absence criarde de l'ésprit d'initiative chez le secteur privé, l'Etat va acheter 150 000 tonnes de pomme de terre au double du prix du marché.

            Mais biensur, la majorité garde toujours la belle mentalité d'assistanat socialiste qui attendant tout de l'Etat et ne se remettent jamais en cause.

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            • #7
              ben je vois pas la contradiction, c'est la conséquence normale du niveau de compétence des gestionnaires.

              il faut des stratèges internationaux pour veiller aux produits agricoles de grande consommation ça va de la sécurité alimentaire du pays.

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              • #8
                Mendz
                Ah oui ? toujours pour vous le bouc émissaire idéal c'est l'Etat biensur.

                Si l'Etat est complètement absent alors comment explique-tu cette production exceptionnelle de pomme de terre et de beaucoup d'autres fruits et légumes ??

                Voilà si tu les ignores un apreçu de ce qu'a été fait par l'Etat, pour avoir cette production record :
                -------------------------
                oui, mais il faut aussi l'organisation du marché Mendz -c'est le sujet-, il ne faut pas faire le travail a moitie tu le sait j'espère.
                If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
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                • #9
                  ecoutez, quand il s'agit d'agriculture, il faut etre fou pour defendre l'Etat et les decideurs successifs dz, et meme s'ils donnent des milliards d'aides et de subvention, ils ont fait tant de conneries, de massacres, et de choses qui depassent l'entendement qu'il vaut mieux prier pour notre future famine ! au cas ou le petrole nous jouera de tours !

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                  • #10
                    les commerçants dépendent des décisions étatiques aussi si tu l'oublies.

                    je penses pas que le niveau des gestionnaires du secteur agricole soit pareil à ceux de la France ou la Belgique. pourtant c'est eux qu'il faut prendre pour exemple. leurs ministères sont des boites à intelligence.

                    bien sur nous on voit les pays de la famine en guerre et on dit qu'on est les premiers en Afrique dans tous les domaines et blablabla.

                    vas y que je te baratine normal les yeux ouverts

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