Vivre comment et celons qui ?
Suivre le sentier creusé, marcher dans l’ombre de la caravane, se livrer à l’ordre des choses et se plier à la volonté « Qu’il soit ainsi ».
Du berceau au tombeau, notre vie est tracée : parcourt d’un combattant, ou trajet d’un juif errant, notre vie est encadrée.
Le seul espace libre, dans lequel nous avons vraiment touché le summum de la liberté est dans l’enfance. Car la vie ne se saveur qu’être totalement libre. Et même là, les gâtés l’emportent toujours. Dés notre échouement sur terre, les grands nous chargent et nous rabattent avec le même récital : tiens ton héritage et ton flambeau. C’est ton tour ! Ils nous lisent nos obligations avant nos droits.
Tu vois ce mec avec la kippa, ben il est ton ennemi. Bizarre, en Amérique aussi, ils disent ça de nous. Tu ne comprends pas le pourquoi de cette haine ! Et tu te dis, les grands sont vraiment fous. Tu guètes la venue de ton ennemi de l’extérieure. Alors, que tu découvres, qu’il est un des tiens. Tes oncles et tes tantes n’aiment pas ta mère et ta famille. Ton oncle profite depuis 1972 de la terre de tes grands-parents et ton père ne reçoit pas un sou. La sœur de ta grand-mère profite de l’exploitation des terres de ta grand-mère et qui ne reçoit que des miettes, qu’elle doit aussi se débattre avec sa belle-fille pour en moins garder un peu. Tu découvres que ton vrai ami, te jalouse et après une amitié de 10 ans et il est égoïste. Tu restes avec lui, comme un couple ou la seule chose qui les retient est le passé. Je vous épargne les délires des voisins.
Vivre. Personne n’est libre et nos vies alourdies par les devoirs et nous épuisent. A 18 ans, ils t’appellent. Quoi ! Tu dois passer le service militaire. Un univers stérile et ennuyeux. Ou je ne sais pourquoi, un ordre n’est pas discutable et rien n’est négociable. C’est votre devoir de défendre votre pays, contre l’ennemi. Et là aussi, on te sort l’histoire de l’ennemi caché derrière le buisson. Le meilleur si tu dis non, t’es un déserteur et l’ennemi de l’état.
De l’école et des devoirs obligés aux mille pages de géologies à réviser, tu te retrouves à 30 ans épuisé. Le plus dure est lorsque, tu tiens un job. Tous le monde se tourne vers toi : les parents qui te sortent un vieux cartons en te disant : voilà, ce que tu nous dois et ceci sont les factures de nos achats et nos dépenses pour toi. Du premier biberon au dernier stylo, qu’on t’a acheté pour signer ton premier chèque.
En fait, tu ne profites jamais de ta vie. Je vivais toujours avec mes parents, mes soeurs et mes frères. Je n’ai jamais eu une vie à moi. Il faut toujours uriner pour marquer mon territoire. L’emmerdant c’est de partager le malaise de chacun. Si tu veux écouter Aretha Franklin , chantait : Freedom, Freedom, Freedom. T’as tout de suite un qui te dit. Baisse un peu le son. Je venais juste d’entendre une vieille femme qui disait à un épicier : nos les arabes on a pas une vie. En plus, elle se débattait avec cet épicier sur 2DR (des miettes), elle jurait qu’elle ne les a pas prit et lui pensait un peu le contraire. Quand je pense à moi, j’ai passé ma vie à économiser et ces profs. Disons mes collègues, dés que la date du virement s’approche ils sont déjà devant la poste de bonheur. Je n’ouvre pas le sujet des retraités ; ils sont à plaindre. C’est des cas critiques et pathétiques.
Vivre et comment : suivons les coutumes et le rites de nos ancêtres. A 33 ans, on ne soule avec ce thème : t’es vieux, il faut que tu maries ! Tous mes amis et collègues de mon age ou moins, se sont mariés. Trouver une femme dans le même domaine et je les vois. Avec en compagnie de leur peluches et lui jouant le male pousse son petit dans une poussette. Beurk ! Rien qu’une vie monotone, ou les frontières se limites entre le travail et une petite appartement achetée ou louée. Est-ce ça le vie, je l’a trouve ennuyeuse. J’ai toujours joué mon rôle de l’idiot. Qui ne comprend pas les signes des jeunes femmes : collègues, cousine et parfois des élèves. Je supporte difficilement le célibat, mais je refuse de vivre une vie ordinaire en en vivant la vie par procuration.
Ou se trouve le plaisir : d’autres passent leurs vies à voyager, d’autre font des petits et des uns remplissent les comptes en banques et vivent comme des pachas.
Perso, je n’avais marre qu’on dicte comment vivre et que c’est ainsi. Ras-le-bol des rabats joies ou toujours ma conduite est toujours critiqué. J’aurai aimé qu’on implique la fameuse idée que à 18 ans, tu es libre. Car la vie se vis de cette age là, à 30 ans c’est trop tard, t’as que le temps de donner au fossoyeur les démentions de ta tombe.
Vivre est être libre, sans renier la morale et la bonne conduite. Et dire que Tim Burton excelle dans son domaine et vie surtout sa passion et crée son univers. Et moi je dois passer ma vie à expliquer aux gavroches une matière qu’aucun algérien ne respecte et de supporter leur sarcasmes devant les toiles du cubisme.
Suivre le sentier creusé, marcher dans l’ombre de la caravane, se livrer à l’ordre des choses et se plier à la volonté « Qu’il soit ainsi ».
Du berceau au tombeau, notre vie est tracée : parcourt d’un combattant, ou trajet d’un juif errant, notre vie est encadrée.
Le seul espace libre, dans lequel nous avons vraiment touché le summum de la liberté est dans l’enfance. Car la vie ne se saveur qu’être totalement libre. Et même là, les gâtés l’emportent toujours. Dés notre échouement sur terre, les grands nous chargent et nous rabattent avec le même récital : tiens ton héritage et ton flambeau. C’est ton tour ! Ils nous lisent nos obligations avant nos droits.
Tu vois ce mec avec la kippa, ben il est ton ennemi. Bizarre, en Amérique aussi, ils disent ça de nous. Tu ne comprends pas le pourquoi de cette haine ! Et tu te dis, les grands sont vraiment fous. Tu guètes la venue de ton ennemi de l’extérieure. Alors, que tu découvres, qu’il est un des tiens. Tes oncles et tes tantes n’aiment pas ta mère et ta famille. Ton oncle profite depuis 1972 de la terre de tes grands-parents et ton père ne reçoit pas un sou. La sœur de ta grand-mère profite de l’exploitation des terres de ta grand-mère et qui ne reçoit que des miettes, qu’elle doit aussi se débattre avec sa belle-fille pour en moins garder un peu. Tu découvres que ton vrai ami, te jalouse et après une amitié de 10 ans et il est égoïste. Tu restes avec lui, comme un couple ou la seule chose qui les retient est le passé. Je vous épargne les délires des voisins.
Vivre. Personne n’est libre et nos vies alourdies par les devoirs et nous épuisent. A 18 ans, ils t’appellent. Quoi ! Tu dois passer le service militaire. Un univers stérile et ennuyeux. Ou je ne sais pourquoi, un ordre n’est pas discutable et rien n’est négociable. C’est votre devoir de défendre votre pays, contre l’ennemi. Et là aussi, on te sort l’histoire de l’ennemi caché derrière le buisson. Le meilleur si tu dis non, t’es un déserteur et l’ennemi de l’état.
De l’école et des devoirs obligés aux mille pages de géologies à réviser, tu te retrouves à 30 ans épuisé. Le plus dure est lorsque, tu tiens un job. Tous le monde se tourne vers toi : les parents qui te sortent un vieux cartons en te disant : voilà, ce que tu nous dois et ceci sont les factures de nos achats et nos dépenses pour toi. Du premier biberon au dernier stylo, qu’on t’a acheté pour signer ton premier chèque.
En fait, tu ne profites jamais de ta vie. Je vivais toujours avec mes parents, mes soeurs et mes frères. Je n’ai jamais eu une vie à moi. Il faut toujours uriner pour marquer mon territoire. L’emmerdant c’est de partager le malaise de chacun. Si tu veux écouter Aretha Franklin , chantait : Freedom, Freedom, Freedom. T’as tout de suite un qui te dit. Baisse un peu le son. Je venais juste d’entendre une vieille femme qui disait à un épicier : nos les arabes on a pas une vie. En plus, elle se débattait avec cet épicier sur 2DR (des miettes), elle jurait qu’elle ne les a pas prit et lui pensait un peu le contraire. Quand je pense à moi, j’ai passé ma vie à économiser et ces profs. Disons mes collègues, dés que la date du virement s’approche ils sont déjà devant la poste de bonheur. Je n’ouvre pas le sujet des retraités ; ils sont à plaindre. C’est des cas critiques et pathétiques.
Vivre et comment : suivons les coutumes et le rites de nos ancêtres. A 33 ans, on ne soule avec ce thème : t’es vieux, il faut que tu maries ! Tous mes amis et collègues de mon age ou moins, se sont mariés. Trouver une femme dans le même domaine et je les vois. Avec en compagnie de leur peluches et lui jouant le male pousse son petit dans une poussette. Beurk ! Rien qu’une vie monotone, ou les frontières se limites entre le travail et une petite appartement achetée ou louée. Est-ce ça le vie, je l’a trouve ennuyeuse. J’ai toujours joué mon rôle de l’idiot. Qui ne comprend pas les signes des jeunes femmes : collègues, cousine et parfois des élèves. Je supporte difficilement le célibat, mais je refuse de vivre une vie ordinaire en en vivant la vie par procuration.
Ou se trouve le plaisir : d’autres passent leurs vies à voyager, d’autre font des petits et des uns remplissent les comptes en banques et vivent comme des pachas.
Perso, je n’avais marre qu’on dicte comment vivre et que c’est ainsi. Ras-le-bol des rabats joies ou toujours ma conduite est toujours critiqué. J’aurai aimé qu’on implique la fameuse idée que à 18 ans, tu es libre. Car la vie se vis de cette age là, à 30 ans c’est trop tard, t’as que le temps de donner au fossoyeur les démentions de ta tombe.
Vivre est être libre, sans renier la morale et la bonne conduite. Et dire que Tim Burton excelle dans son domaine et vie surtout sa passion et crée son univers. Et moi je dois passer ma vie à expliquer aux gavroches une matière qu’aucun algérien ne respecte et de supporter leur sarcasmes devant les toiles du cubisme.
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