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Chavez voit le pétrole aller jusqu'à 300 $

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  • Chavez voit le pétrole aller jusqu'à 300 $

    Le président vénézuélien Hugo Chavez a déclaré dimanche que le prix du baril de pétrole pourrait atteindre 300 dollars si la compagnie américaine Exxon Mobil parviendrai à faire geler des avoirs appartenant à la compagnie pétrolière publique vénézuélienne PDVSA.

    "S'ils (Exxon) nous gèlent (les actifs), il n'y aura plus de pétrole pour les Etats-Unis et le prix du baril atteindra 300 dollars", a déclaré Chavez à l'occasion d'une rencontre avec les dirigeants des pays d'Amérique centrale et des Caraïbes dans le cadre d'un partenariat énergétique baptisé Petrocaribe.

    Chavez a toutefois prévenu que les prix du pétrole allaient être affectés par une "bulle spéculative", dont l'éclatement pourrait faire redescendre les cours à 70 dollars le baril.

  • #2
    PETROLE/Le prix se stabilise autour de 144 dollars le baril, forte volatilité

    Londres (AWP/AFX) - Le pétrole se stabilisait autour de 144 dollars le baril lundi en fin d'après-midi, le léger regain du dollar ayant incité les investisseurs à se délester de leur pétrole, bien que le marché reste fébrile en raison de la grève dans la compagnie brésilienne Petrobras.


    Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent s'échangeait à 143,98 dollars, en baisse de 59 cents par rapport à la clôture de vendredi soir, sur l'InterContinental Exchange de Londres.


    A la même heure, le baril de "light sweet crude" s'échangeait en baisse de 29 cents, à 144,79 dollars sur le Nymex.


    En baisse d'un dollar dans la matinée, les cours du pétrole ont retrouvé du tonus à la mi-journée avant de retomber sous leur niveau de clôture en fin d'après-midi.


    D'un côté, un léger regain du dollar, retombé lundi matin jusqu'à 1,5842 dollar contre un euro, a incité les investisseurs à prendre des bénéfices: le raffermissement du dollar érode le pouvoir d'achat des investisseurs munis d'autres devises.


    De l'autre, le marché restait à l'affût des nouvelles lourdes de menaces pour la production d'or noir.


    "Les prix sont fermes, car le risque d'interruptions de la production représente une menace importante dans le monde", notaient les analystes de la banque Barclays Capital.


    Au Brésil, une grève de cinq jours a débuté lundi sur plusieurs plateformes du groupe Petrobras, au large de l'Etat de Rio de Janeiro, mais ne semblait pas avoir un impact sérieux sur la production de ces gisements, ont indiqué les syndicats et les autorités.


    Ce mouvement concerne les 42 plateformes de la baie de Campos dans l'océan atlantique en face de Rio de Janeiro d'où provient plus de 80% de la production journalière de 1,8 million de barils.


    "Apportant d'autres menaces au marché pétrolier, le vénézuélien (Hugo) Chavez voit le pétrole aller jusqu'à 300 dollars si ExxonMobil obtenait les injonctions de justice de geler les avoirs détenus par la compagnie nationale vénézuélienne PDVSA", ajoutait Barclays Capital.


    La compagnie pétrolière nationale du Venezuela PDVSA avait remporté en mars une première manche auprès de la justice britannique dans le bras de fer qui l'oppose au géant pétrolier américain ExxonMobil, en obtenant la levée du gel d'une partie de ses actifs.


    "Cependant, Hugo Chavez pense que Exxon est susceptible de mener d'autres actions contre son pays", ajoutaient les analystes de Barclays.

    Le contentieux entre l'Iran et la communauté internationale au sujet du programme d'enrichissement d'uranium mené par Téhéran continue également à soutenir les prix.


    Le diplomate en chef de l'UE Javier Solana retrouvera le négociateur iranien sur le nucléaire, Saïd Jalili, pour des discussions samedi 19 juillet à Genève, a confirmé lundi sa porte-parole Cristina Gallach.


    Vendredi, les cours du pétrole ont atteint des niveaux jamais vus de 147,50 dollars le baril et le "light sweet crude" à 147,27 dollars. De nombreux analystes estiment que le franchissement du nouveau seuil critique de 150 dollars pourrait être une affaire de jours.


    afx/ft

    (AWP/14 juillet 2008 18h36)

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    • #3
      dans ce cas, autant commencer par aller acheter un lopin de terre et cultiver ses propres legumes ! quand à la bagnole, autant jeter la votre à la casse

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      • #4
        dans ce cas, autant commencer par aller acheter un lopin de terre et cultiver ses propres legumes ! quand à la bagnole, autant jeter la votre à la casse
        c'est ce que je me disais moi aussi,

        pour la voiture un chameau c mieux, je viens de lire un article sur le métro; que des promesses.

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        • #5
          @penthésilée
          du coup, de ce pas, je vais aller chercher à le lire !

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