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Cinq banques publiques financent, en Project Financing, à hauteur de 70%, le projet de construction d’un complexe d’ammoniac et d’urée à Arzew (Oran). La joint-venture Sorfert, créée par Sonatrach et Orascom Construction, a signée hier, à l’hôtel Hilton à Alger, avec les cinq banques publiques BEA, comme chef de file, la BNA, la Cnep-Banque, la BDL et le CPA, la clôture financière du projet. La ligne de crédit débloquée est évaluée à 1,1 milliard d’euros. Le financement de projets se différencie d’autres méthodes de financement (notamment le financement “corporate”) par le fait que les apports de fonds seront majoritairement rémunérés par les cash-flows générés par le projet lui-même. Le complexe d’ammoniac et d’urée devrait entrer en production durant le 2e semestre de l’année 2010. Les travaux ont été déjà entamés, souligne le représentant d’Orascom Construction. L’usine, d’un coût d’investissement de 1,56 milliard d’euros, produira à terme, explique le directeur crédit aux grandes entreprises au niveau de la Banque extérieure d’Algérie (BEA), 2 200 tonnes/jour d’ammoniac et 3 450 tonnes/jour d’urée.
En fait, le complexe en question est situé dans la zone industrielle d’Arzew et alimenté par le gaz naturel à hauteur de 2 milliards de mètres cubes par an. Il est composé de trois unités : deux pour la production d’ammoniac d’une capacité de 2 000 tonnes par jour chacun, et un troisième exclusivement consacré à la production d’urée d’une capacité journalière de 3 450 tonnes. Pour rappel, la conception, le développement et la construction clé en main du complexe ont été confiés au groupe allemand UHDE qui a décroché le contrat de 120 milliards de dinars (environ 1,28 milliard d’euros). La compagnie allemande UHDE est réputée leader dans son domaine en matière de technologie servant à la production de fertilisants. Le complexe d’ammoniac et d’urée à Arzew est considéré comme un des plus importants projets lancés par l’Algérie dans un souci de développer son industrie pétrochimique et de mettre en valeur la richesse de ses ressources énergétiques.
source : Liberté
En fait, le complexe en question est situé dans la zone industrielle d’Arzew et alimenté par le gaz naturel à hauteur de 2 milliards de mètres cubes par an. Il est composé de trois unités : deux pour la production d’ammoniac d’une capacité de 2 000 tonnes par jour chacun, et un troisième exclusivement consacré à la production d’urée d’une capacité journalière de 3 450 tonnes. Pour rappel, la conception, le développement et la construction clé en main du complexe ont été confiés au groupe allemand UHDE qui a décroché le contrat de 120 milliards de dinars (environ 1,28 milliard d’euros). La compagnie allemande UHDE est réputée leader dans son domaine en matière de technologie servant à la production de fertilisants. Le complexe d’ammoniac et d’urée à Arzew est considéré comme un des plus importants projets lancés par l’Algérie dans un souci de développer son industrie pétrochimique et de mettre en valeur la richesse de ses ressources énergétiques.
source : Liberté