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Le président américain George Bush et le Premier ministre irakien, Nouri al Maliki, se sont mis entendus pour que leur accord sur le statut des troupes américaines fixe une échéance pour le retrait des soldats stationnés en Irak, a annoncé vendredi la Maison blanche. Jamais l'administration américaine n'avait encore accepté un perspective qui se rapproche autant d'un calendrier de retrait, même si aucune date n'est évoquée.
Washington évoque maintenant des "objectifs" dépendant de "l'amélioration soutenue de la situation sur le terrain et non d'une date de retrait arbitraire". Les autorités américaines et irakiennes négocient le futur accord sur le statut des forces étrangères, qui fournira une base légale à la présence des militaires américains après l'expiration à la fin de l'année du mandat de l'Onu en vigueur.
La Maison blanche a fait savoir que Bush et Maliki, qui se sont entretenus jeudi par vidéoconférence, s'étaient "mis d'accord sur une voie commune destinée à conclure ces négociations dès que possible".
"En matière de coopération sécuritaire, le président et le Premier ministre ont reconnu que l'amélioration de la situation permettait aux accords en cours de négociation d'inclure une échéance générale pour remplir des objectifs - tels que la gestion par les Irakiens de la sécurité de leurs villes et de leurs provinces, et une nouvelle réduction du nombre d'unités de combat américaines en Irak", indique la présidence.
Bush refuse catégoriquement tout calendrier de retrait précis, qui aiderait selon lui l'insurrection à renverser le gouvernement irakien.
L'administration américaine a pris soin vendredi d'éviter le terme de "calendrier", régulièrement employé par les détracteurs de l'engagement américain en Irak.
De même, le porte-parole du gouvernement irakien, Ali al Dabbagh, a souligné que Bush et Maliki s'étaient attachés à "délimiter une échéance pour le transfert complet de la sécurité aux forces irakiennes, afin de préparer la réduction des effectifs américains et leur retrait d'Irak".
source : Reuters
Washington évoque maintenant des "objectifs" dépendant de "l'amélioration soutenue de la situation sur le terrain et non d'une date de retrait arbitraire". Les autorités américaines et irakiennes négocient le futur accord sur le statut des forces étrangères, qui fournira une base légale à la présence des militaires américains après l'expiration à la fin de l'année du mandat de l'Onu en vigueur.
La Maison blanche a fait savoir que Bush et Maliki, qui se sont entretenus jeudi par vidéoconférence, s'étaient "mis d'accord sur une voie commune destinée à conclure ces négociations dès que possible".
"En matière de coopération sécuritaire, le président et le Premier ministre ont reconnu que l'amélioration de la situation permettait aux accords en cours de négociation d'inclure une échéance générale pour remplir des objectifs - tels que la gestion par les Irakiens de la sécurité de leurs villes et de leurs provinces, et une nouvelle réduction du nombre d'unités de combat américaines en Irak", indique la présidence.
Bush refuse catégoriquement tout calendrier de retrait précis, qui aiderait selon lui l'insurrection à renverser le gouvernement irakien.
L'administration américaine a pris soin vendredi d'éviter le terme de "calendrier", régulièrement employé par les détracteurs de l'engagement américain en Irak.
De même, le porte-parole du gouvernement irakien, Ali al Dabbagh, a souligné que Bush et Maliki s'étaient attachés à "délimiter une échéance pour le transfert complet de la sécurité aux forces irakiennes, afin de préparer la réduction des effectifs américains et leur retrait d'Irak".
source : Reuters