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Le directeur général de la Sûreté nationale, M. Ali Tounsi, a procédé hier à l’inauguration de plusieurs infrastructures à Alger. L’objectif recherché à travers la réalisation de ces infrastructures est de renforcer le dispositif sécuritaire déjà en vigueur dans les centres urbains. La particularité de ces nouvelles infrastructures de la Sûreté nationale est qu’elles sont implantées très près des bidonvilles. Finalité : contrôler et neutraliser les populations qui y résident en attendant de trouver une solution définitive. Les habitations des périmètres dotés de centres de Sûreté urbaine viennent, en effet, d’être pourvues d’eau, d’électricité et d’autres installations. Les services de la Sûreté nationale, en concertation avec les autorités locales, ont opté pour cette méthode afin de freiner l’expansion des bidonvilles,véritables générateurs de maux sociaux, dont le crime organisé.
Dans la circonscription de Bachdjerrah, qui bénéficie depuis hier de nouvelles structures policières, on fait état de l’existence de plus de 300 baraques abritant environ 8 000 citoyens. Un responsable de l’urbanisme a indiqué que «réussir l’opération de relogement de cette catégorie sociale passe inévitablement par leur stabilisation et leur identification. C’est le meilleur moyen d’éviter de nouvelles arrivées dans les différentes centres de transit».
Le premier responsable de la Sûreté nationale avait entamé sa sortie sur le terrain par l’inauguration d’un stand de tir à l’arme au niveau de l’unité républicaine de Sûreté située dans la commune de Kouba. Pour le chargé de communication de la DGSN, M. Kaoua, «cet édifice est le seul existant jusqu’à maintenant dans la capitale. Il permettra un apprentissage réussi aux policiers dans l’exercice de tir».
Dans la wilaya de Blida, où il s’est rendu dans la matinée, Ali Tounsi a présidé, à l’école d’application de la Sûreté nationale de Soumaa, la cérémonie de sortie de plusieurs promotions d’officiers de police et d’agents de l’ordre public, baptisées au nom du martyr du devoir, Hamidet Charef, un ancien agent de l’ordre public, décédé le 25 octobre 1992 dans un accrochage avec un groupe terroriste à Mostaganem.
Dans son allocution, M. Tounsi a rappelé la nature de la formation dispensée aux promotions sortantes en mettant en valeur les efforts déployés par l’encadrement. M. Tounsi a également salué la contribution des différents corps dans le cycle de formation des officiers : l’ANP, la Gendarmerie nationale, la justice, l’enseignement supérieur et la Protection civile. Pour le DG de la Sûreté nationale, «la formation de qualité dont ont bénéficié les promotions sortantes permettra à nos éléments d’accomplir leur noble mission qui consiste à protéger les citoyens et leurs biens, et à assurer l’ordre public dans le strict respect de la loi».
M. Ali Tounsi a rappelé, par ailleurs, au cours du point de presse qu’il a tenu à l’école d’application de Soumaa, que «la DGSN œuvre à l’application du programme du président de la République et du gouvernement en matière de couverture sécuritaire en dotant l’ensemble des régions du pays en structures de police». «Nous ne faisons que respecter nos engagements vis-à-vis des citoyens pour assurer leur sécurité partout où ils se trouvent», a-t-il souligné.
Par la Tribune
Dans la circonscription de Bachdjerrah, qui bénéficie depuis hier de nouvelles structures policières, on fait état de l’existence de plus de 300 baraques abritant environ 8 000 citoyens. Un responsable de l’urbanisme a indiqué que «réussir l’opération de relogement de cette catégorie sociale passe inévitablement par leur stabilisation et leur identification. C’est le meilleur moyen d’éviter de nouvelles arrivées dans les différentes centres de transit».
Le premier responsable de la Sûreté nationale avait entamé sa sortie sur le terrain par l’inauguration d’un stand de tir à l’arme au niveau de l’unité républicaine de Sûreté située dans la commune de Kouba. Pour le chargé de communication de la DGSN, M. Kaoua, «cet édifice est le seul existant jusqu’à maintenant dans la capitale. Il permettra un apprentissage réussi aux policiers dans l’exercice de tir».
Dans la wilaya de Blida, où il s’est rendu dans la matinée, Ali Tounsi a présidé, à l’école d’application de la Sûreté nationale de Soumaa, la cérémonie de sortie de plusieurs promotions d’officiers de police et d’agents de l’ordre public, baptisées au nom du martyr du devoir, Hamidet Charef, un ancien agent de l’ordre public, décédé le 25 octobre 1992 dans un accrochage avec un groupe terroriste à Mostaganem.
Dans son allocution, M. Tounsi a rappelé la nature de la formation dispensée aux promotions sortantes en mettant en valeur les efforts déployés par l’encadrement. M. Tounsi a également salué la contribution des différents corps dans le cycle de formation des officiers : l’ANP, la Gendarmerie nationale, la justice, l’enseignement supérieur et la Protection civile. Pour le DG de la Sûreté nationale, «la formation de qualité dont ont bénéficié les promotions sortantes permettra à nos éléments d’accomplir leur noble mission qui consiste à protéger les citoyens et leurs biens, et à assurer l’ordre public dans le strict respect de la loi».
M. Ali Tounsi a rappelé, par ailleurs, au cours du point de presse qu’il a tenu à l’école d’application de Soumaa, que «la DGSN œuvre à l’application du programme du président de la République et du gouvernement en matière de couverture sécuritaire en dotant l’ensemble des régions du pays en structures de police». «Nous ne faisons que respecter nos engagements vis-à-vis des citoyens pour assurer leur sécurité partout où ils se trouvent», a-t-il souligné.
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