S. N. (30 ans) est une de ces belles de nuit à qui la vie n’a pas souri. Jeunesse ratée, études difficilement poussées jusqu’au moyen. En revanche, la nature est allée de son mieux pour la doter d’un physique qui ne laisse pas les hommes indifférents. Et comme la société avec ses us et coutumes est très regardante, la jeune femme fait, pour vivre, des escapades nocturnes jusqu’au jour où elle rencontre F. M. (40 ans), qui lui assure la protection. Dans le milieu, cela est nécessaire. Elle se retrouve comme entraîneuse dans l’un des cabarets de la côte ouest, et toutes les nuits jusqu’aux premières heures du matin, elle fait rêver les noctambules sous l’œil vigilant du proxénète.
Cependant, et c’est humain, les incartades de la pin-up commencent à agacer le gars. Les remises à l’ordre ne suffisent pas à la dissuader des aventures que son homme ne supporte plus. Elle est portée absente le 10 juillet au niveau de l’établissement qui l’employait. Et c’est ce jour même que les services de la police judiciaire, relevant de la sûreté de wilaya, font une macabre découverte dans un buisson situé au bord de la route menant de Staouéli à Zéralda ; le corps enterré d’une femme âgée d’environ trente ans portant des traces de violence à la tête. L’enquête est tout de suite ordonnée et les investigations auprès des connaissances de la victime permettent aux enquêteurs d’émettre des doutes sur l’une de ses proches fréquentations, en l’occurrence F. M., d’autant plus que le signalement donné du véhicule à bord duquel a été vue pour la dernière fois S. N. correspond à celui appartenant à F. M. Quarante-huit heures après, une souricière est tendue aux alentours du domicile de ce dernier qui, durant l’interrogatoire, passera sans difficulté à table. “Je lui ai donné un coup à la tête avec un gourdin. Elle ne m’écoutait plus et faisait selon son bon vouloir”, a-t-il avoué aux policiers. L’arme du crime a été retrouvée. Le mis en cause a été présenté devant le procureur de la République par la Gendarmerie nationale territorialement compétente.
source : Liberté
Cependant, et c’est humain, les incartades de la pin-up commencent à agacer le gars. Les remises à l’ordre ne suffisent pas à la dissuader des aventures que son homme ne supporte plus. Elle est portée absente le 10 juillet au niveau de l’établissement qui l’employait. Et c’est ce jour même que les services de la police judiciaire, relevant de la sûreté de wilaya, font une macabre découverte dans un buisson situé au bord de la route menant de Staouéli à Zéralda ; le corps enterré d’une femme âgée d’environ trente ans portant des traces de violence à la tête. L’enquête est tout de suite ordonnée et les investigations auprès des connaissances de la victime permettent aux enquêteurs d’émettre des doutes sur l’une de ses proches fréquentations, en l’occurrence F. M., d’autant plus que le signalement donné du véhicule à bord duquel a été vue pour la dernière fois S. N. correspond à celui appartenant à F. M. Quarante-huit heures après, une souricière est tendue aux alentours du domicile de ce dernier qui, durant l’interrogatoire, passera sans difficulté à table. “Je lui ai donné un coup à la tête avec un gourdin. Elle ne m’écoutait plus et faisait selon son bon vouloir”, a-t-il avoué aux policiers. L’arme du crime a été retrouvée. Le mis en cause a été présenté devant le procureur de la République par la Gendarmerie nationale territorialement compétente.
source : Liberté
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