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ouyahia deterre les projets d'envergure

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  • ouyahia deterre les projets d'envergure

    slt ouyahia commence a rentré dans le vif dans le probleme rencontrer par les investisseurs en algerie, ont peut dire quil a pris le taureau par les cornes , ca c'est du bon boulot tous mes voeux pour toi ouyahia

    Le Chef du gouvernement aurait demandé à des représentations diplomatiques dont le pays a émis le souhait d’investir en Algérie de lui adresser un document dans lequel ils mettraient toutes leurs attentes et leurs problèmes rencontrés dans les différents contacts avec les institutions.
    Juillet 2006-juillet 2008 : deux ans se sont écoulés depuis que le président Bouteflika a reçu au Palais du peuple le responsable du groupe immobilier émirati Emaar sans que les projets annoncés en grande pompe d’une valeur de 25 milliards de dollars n’aient connu un début de concrétisation. À cette occasion, un plan de modernisation de la capitale avec la construction de tours d’affaires et de stations balnéaires a été présenté. Ces projets, qui allaient changer l’image lugubre d’Alger, ont suscité l’intérêt du chef de l’État d’autant qu’il s’agissait d’argent frais en plus de la création d’emplois dans une capitale qui étouffe de plus en plus sous le poids de la surpopulation et de la concentration de tous les services administratifs.
    Deux ans après, hormis un protocole d’accord qui porte sur trois projets excepté l’aménagement de la baie d’Alger qui demeurerait problématique, rien n’a été fait, au point où les Émiratis auraient même pensé à plier bagage et à partir ailleurs, là où les cieux sont plus cléments.
    L’ancien Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, dont l’image de marque restait pourtant favorable à l’investissement arabe n’a pas vraiment impulsé les investissements à la hauteur des engagements pris. Il se serait d’ailleurs bien défendu, selon des sources au fait du dossier, des retards pris dans la mise en œuvre des projets non seulement du groupe émirati, mais aussi de l’ensemble des opérateurs dont les souhaits exprimés étaient d’investir des capitaux non négligeable en Algérie, en évoquant des obstacles bureaucratiques ainsi que la survenue de questions beaucoup plus prioritaires.
    Après son retour aux affaires, Ahmed Ouyahia qui reconnaît d’ailleurs que “tout est prioritaire” en Algérie s’est attaqué au dossier de l’investissement étranger de manière générale et arabe de façon particulière. Selon les mêmes sources, le Chef du gouvernement aurait lui-même appelé des représentants diplomatiques arabes dont le pays a émis le souhait d’investir en Algérie en l’assurant de la prise en charge dans les plus brefs délais de leurs projets. Il leur aurait même demandé de lui adresser un document dans lequel ils mettraient toutes leurs attentes et leurs problèmes rencontrés dans les différents contacts avec les institutions.
    Ce n’est d’ailleurs pas un hasard de calendrier si le nouveau patron de l’Exécutif a reçu 24 heures après son installation un haut responsable du gouvernement émirati afin de discuter des projets d’investissement en suspens et à venir. Après la polémique entourant le niveau d’engagement émirati dans le pays, allant de 5 à 25 milliards de dollars, le président du conseil d’administration d’Emaar, M. Al-Abbar, avait réaffirmé au lendemain des assises du tourisme qui se sont déroulées en février dernier à Alger que les projets de son entreprise dépassaient le cadre immobilier mais concernaient également le secteur financier avec l’installation d’une banque à Alger.
    L’absence de réaction des Algériens par rapport à ce dossier a vite fait de croire que les projets d’Emaar n’avaient pas d’avenir en Algérie. Et des indiscrétions ont même fait état de “l’incompréhension”, voire des “inquiétudes” des responsables d’Emaar face à des “blocages” auxquels ils ne s’attendaient pas. Face à cette situation, ils auraient même pris comme option de saisir à nouveau et par écrit le président Bouteflika afin d’intervenir et fixer les échéances.
    Aujourd’hui, deux ans après, le bureau d’Emaar à Alger ne désespère pas de voir les engagements pris en juillet 2006 se concrétiser même si la question des investissements directs étrangers (IDE) ne semble pas avoir le consensus voulu aussi bien au sein du pouvoir que dans les cercles économiques du pays
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