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Les forces combinées de sécurité ratissent, depuis cinq jours, la zone montagneuse de Ghzerwal surplombant les localités de Sahel Boubarak, Sidi Daoud et Baghlia, à 45 km à l’est de Boumerdès. Là, les forces locales de sécurité ont pressé davantage la manœuvre avant-hier en fin d’après-midi, en exploitant selon toute apparence les aveux soutirés à un terroriste récemment capturé au lieudit avoisinant de Aïn El Hamra. Hier matin, une colonne de l’ANP a fait mouvement en direction d’un massif forestier jouxtant le douar Ouled Abdellah où l’on soupçonnait la présence d’un groupuscule terroriste. La section de l’artillerie a, alors, de nouveau concentré ses frappes sur de nombreux endroits préalablement circonscrits.
On laisse entendre que les obus incendiaires des mortiers ont fait sauter, dans cette zone, des ateliers de fabrication d’engins meurtriers. D’autres troupes de l’armée avaient utilisé, quelques heures auparavant, des bulldozers pour le déminage des sentiers proches d’un autre massif surplombant les lieux dits Hamraoua et Oued Larbaâ. Sans faiblesse, les détachements locaux de l’ANP secondés par des troupes d’autres corps annexes de sécurité maintiennent leur pression sur ces coins de montagne, toujours considérés comme base de repli des hordes sanguinaires, entre autres celle dénommée El Ansar.
Et c’est à un commando de cette nébuleuse terroriste que les sources locales attribuent les deux dernières attaques à l’explosif ayant fait au total cinq blessés dans les rangs de l’ANP et de la Gendarmerie nationale, entre le 10 et 12 juillet 2008, à Sahel Boubarak et Aïn El Hamra. Ripostant à ces coups brutaux, les services locaux de sécurité ont neutralisé, juste après, trois terroristes dans la même contrée.
Par la Dépêche de Kabylie
On laisse entendre que les obus incendiaires des mortiers ont fait sauter, dans cette zone, des ateliers de fabrication d’engins meurtriers. D’autres troupes de l’armée avaient utilisé, quelques heures auparavant, des bulldozers pour le déminage des sentiers proches d’un autre massif surplombant les lieux dits Hamraoua et Oued Larbaâ. Sans faiblesse, les détachements locaux de l’ANP secondés par des troupes d’autres corps annexes de sécurité maintiennent leur pression sur ces coins de montagne, toujours considérés comme base de repli des hordes sanguinaires, entre autres celle dénommée El Ansar.
Et c’est à un commando de cette nébuleuse terroriste que les sources locales attribuent les deux dernières attaques à l’explosif ayant fait au total cinq blessés dans les rangs de l’ANP et de la Gendarmerie nationale, entre le 10 et 12 juillet 2008, à Sahel Boubarak et Aïn El Hamra. Ripostant à ces coups brutaux, les services locaux de sécurité ont neutralisé, juste après, trois terroristes dans la même contrée.
Par la Dépêche de Kabylie