A lire l'actualité, on a l'impression d'être au bord d'une banqueroute plus terrible que la crise de1929 qui date d"un peu moins de 80 ans
j'ai lu cet article qui donne des sueurs chaudes ' lol'
La faillite de Freddie Mac et Fannie Mae peut faire exploser le système dollar
Ambrose Evans Pritchard, le chroniqueur financier du quotidien conservateur Daily Telegraph sonne le tocsin pour le système bancaire international.
Selon lui, « l’économie globale a atteint un point de danger maximal ». « On a le sentiment d’être à l’été 1931 », dit-il, en s’attardant sur la débâcle des géants du crédit hypothécaire américain, Freddie Mac et Fannie Mae. Personne, prétend-il, n’a de solution à la crise. Il se prononce ensuite contre l’idée d’abandonner trop vite une politique de crédit trop facile : « Une inversion des tendances impliquerait une inflation de la dette à une échelle si vaste qu’elle conduirait, si trop abrupte, à menacer la démocratie ».
La chute de la banque hypothécaire californienne IndyMac, dit-il, « engrangera un dixième des avoirs de la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) » (certains parlent même de 15%).
De l’intérieur du système de la finance britannique, Evans Pritchard constate avec lucidité que Freddie Mac et Fannie Mae s’avèrent être un problème d’ampleur planétaire. D’où les inquiétudes croissantes, partout dans le monde, sur leur avenir.
En effet, des institutions de crédit non américaines possèdent pas moins de 1500 milliards de titres émis par Freddie et Fannie, soit trois fois plus qu’en 2001 et un cinquième du total. Comme le note le New York Times dans sa section Business d’aujourd’hui : « Les ennuis de Fannie et Freddie provoquent de graves inquiétudes à l’étranger ».
Les principaux détenteurs de titres à l’étranger sont (en milliards de dollars) :
j'ai lu cet article qui donne des sueurs chaudes ' lol'
La faillite de Freddie Mac et Fannie Mae peut faire exploser le système dollar
Ambrose Evans Pritchard, le chroniqueur financier du quotidien conservateur Daily Telegraph sonne le tocsin pour le système bancaire international.
Selon lui, « l’économie globale a atteint un point de danger maximal ». « On a le sentiment d’être à l’été 1931 », dit-il, en s’attardant sur la débâcle des géants du crédit hypothécaire américain, Freddie Mac et Fannie Mae. Personne, prétend-il, n’a de solution à la crise. Il se prononce ensuite contre l’idée d’abandonner trop vite une politique de crédit trop facile : « Une inversion des tendances impliquerait une inflation de la dette à une échelle si vaste qu’elle conduirait, si trop abrupte, à menacer la démocratie ».
La chute de la banque hypothécaire californienne IndyMac, dit-il, « engrangera un dixième des avoirs de la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) » (certains parlent même de 15%).
De l’intérieur du système de la finance britannique, Evans Pritchard constate avec lucidité que Freddie Mac et Fannie Mae s’avèrent être un problème d’ampleur planétaire. D’où les inquiétudes croissantes, partout dans le monde, sur leur avenir.
En effet, des institutions de crédit non américaines possèdent pas moins de 1500 milliards de titres émis par Freddie et Fannie, soit trois fois plus qu’en 2001 et un cinquième du total. Comme le note le New York Times dans sa section Business d’aujourd’hui : « Les ennuis de Fannie et Freddie provoquent de graves inquiétudes à l’étranger ».
Les principaux détenteurs de titres à l’étranger sont (en milliards de dollars) :
- La Chine (376) ;
- Le Japon (228) ;
- La Russie (75)
- Le Luxembourg (39) ;
- La Belgique (33) ;
- L’Angleterre (28)
- Les Pays-Bas (23)
- Taiwan (21)