Tweet
Le premier festival international de la bande dessinée se déroulera en octobre prochain à Alger.
Cette manifestation artistique et culturelle s’assigne plusieurs objectifs essentiels, entre autres, lancer à Alger un festival de la BD qui soit annuel, en devenant une tradition régionalement et mondialement reconnue. Faire de la Fida un lieu de rencontre interactif entre les plus larges courants professionnels de la BD de la Méditerranée et des quatre coins de la planète et d’autre part, toutes les potentialités nationales et locales en la matière. Ainsi, il a été convenu avec l’association culturelle patrimoine, organisatrice des Journées internationales du film d’animation d’Alger, d’engager un partenariat afin d’amplifier et de parfaire les potentialités d'animation de ce premier Festival international de la bande dessinée. En outre, les organisateurs espèrent que les meilleures œuvres nationales et internationales qui y concourent soient récompensées par des prix conséquents et que leur contenu soit légitiment porté à la connaissance de larges publics par différents supports de communication tant nationaux qu’étrangers.
De même, faire de la Fida une source d'inspiration active pour de larges couches de jeunes et de professionnels intéressés par les arts graphiques et cinétiques. "L’espoir est ainsi permis de voir entre autres se créer une section d'enseignement de la bande dessinée au niveau de l’Ecole supérieure des Beaux Arts d’Alger, comme de voir aussi s’ouvrir une section dépôt et réserve des la bande dessinée au niveau du Musée national des Beaux-Arts d’Alger", lit-on dans le communiqué de presse.
Pour les jeunes et les professionnels des arts graphiques et cinétiques, les rythmes et les lieux de la Fida deviennent de la liberté et de la solidarité comme de la confiance en soi et en l’autre dans l’échange interculturel. Afin d’apporter sa contribution originale et vivante à la relance des industries culturelles de notre société dans les domaines de l’édition du livre et de la presse, de l’audiovisuel, du numérique, comme du lancement d’un vrai salon d’affaires nécessaires à long terme de ce secteur d’activité, c’est du moins les ambitions des initiateurs de ce projet.
En marge du festival, seront organisés des conférences et des débats portant sur la bande dessinée.
Cette première édition aura comme invité d’honneur l’Inde. Ce pays sera également l’organisateur d’une fête durant le festival en question intitulée Diwali ou "la fête de la lumière" dont l'origine civilisationnelle remonte à des milliers d’années et où un repas indien sera offert à tous les participants. Le festival comptera également une exposition sur les mangas et une exposition rétrospective sur l’art de la BD algérienne, ses dessinateurs, ses scénaristes, leurs héros.
Des visites touristiques seront organisées sur des lieux civilisationnels fondateurs, à savoir La Casbah d’Alger, la Citadelle, Notre Dame d’Afrique, l’Amirauté, Tamentfoust, Tipaza…
Par la Nouvelle République
Cette manifestation artistique et culturelle s’assigne plusieurs objectifs essentiels, entre autres, lancer à Alger un festival de la BD qui soit annuel, en devenant une tradition régionalement et mondialement reconnue. Faire de la Fida un lieu de rencontre interactif entre les plus larges courants professionnels de la BD de la Méditerranée et des quatre coins de la planète et d’autre part, toutes les potentialités nationales et locales en la matière. Ainsi, il a été convenu avec l’association culturelle patrimoine, organisatrice des Journées internationales du film d’animation d’Alger, d’engager un partenariat afin d’amplifier et de parfaire les potentialités d'animation de ce premier Festival international de la bande dessinée. En outre, les organisateurs espèrent que les meilleures œuvres nationales et internationales qui y concourent soient récompensées par des prix conséquents et que leur contenu soit légitiment porté à la connaissance de larges publics par différents supports de communication tant nationaux qu’étrangers.
De même, faire de la Fida une source d'inspiration active pour de larges couches de jeunes et de professionnels intéressés par les arts graphiques et cinétiques. "L’espoir est ainsi permis de voir entre autres se créer une section d'enseignement de la bande dessinée au niveau de l’Ecole supérieure des Beaux Arts d’Alger, comme de voir aussi s’ouvrir une section dépôt et réserve des la bande dessinée au niveau du Musée national des Beaux-Arts d’Alger", lit-on dans le communiqué de presse.
Pour les jeunes et les professionnels des arts graphiques et cinétiques, les rythmes et les lieux de la Fida deviennent de la liberté et de la solidarité comme de la confiance en soi et en l’autre dans l’échange interculturel. Afin d’apporter sa contribution originale et vivante à la relance des industries culturelles de notre société dans les domaines de l’édition du livre et de la presse, de l’audiovisuel, du numérique, comme du lancement d’un vrai salon d’affaires nécessaires à long terme de ce secteur d’activité, c’est du moins les ambitions des initiateurs de ce projet.
En marge du festival, seront organisés des conférences et des débats portant sur la bande dessinée.
Cette première édition aura comme invité d’honneur l’Inde. Ce pays sera également l’organisateur d’une fête durant le festival en question intitulée Diwali ou "la fête de la lumière" dont l'origine civilisationnelle remonte à des milliers d’années et où un repas indien sera offert à tous les participants. Le festival comptera également une exposition sur les mangas et une exposition rétrospective sur l’art de la BD algérienne, ses dessinateurs, ses scénaristes, leurs héros.
Des visites touristiques seront organisées sur des lieux civilisationnels fondateurs, à savoir La Casbah d’Alger, la Citadelle, Notre Dame d’Afrique, l’Amirauté, Tamentfoust, Tipaza…
Par la Nouvelle République
Commentaire