Nul ne pourra trop lui dire
où elle marchait
Seule perdue dans ses pensées
Elle souriait
La douceur du temps qui passe et qui enlace
Elle devinait
Les longs sanglots et les rivages
Qui s’éloignaient
L’azur avec grâce resplendissant comme un sourire
qui la portait
Un fétu de paille sur une branche
Elle était
Et pourtant dure comme le marbre
Elle résistait
Aussi limpide que l’horizon
un soir d’été
Son regard brillant s’éloignait
Pour mieux l’observer
En secret
De tant et tant de mots d’amour
Elle se chargeait
De tant et tant de beaux discours
Elle se parait
Rétention au long cours
Elle se berçait
De ses caresses dont on ne se lasse
Elle s’embrasait
Le soir quand il passait telle une luciole qui fait sa cour
Elle s’éveillait
Vibrant au fil du temps
Elle songeait
Que de douceur
Encore une heure
Et le bonheur sera sa voie
morjane
23/07/08
où elle marchait
Seule perdue dans ses pensées
Elle souriait
La douceur du temps qui passe et qui enlace
Elle devinait
Les longs sanglots et les rivages
Qui s’éloignaient
L’azur avec grâce resplendissant comme un sourire
qui la portait
Un fétu de paille sur une branche
Elle était
Et pourtant dure comme le marbre
Elle résistait
Aussi limpide que l’horizon
un soir d’été
Son regard brillant s’éloignait
Pour mieux l’observer
En secret
De tant et tant de mots d’amour
Elle se chargeait
De tant et tant de beaux discours
Elle se parait
Rétention au long cours
Elle se berçait
De ses caresses dont on ne se lasse
Elle s’embrasait
Le soir quand il passait telle une luciole qui fait sa cour
Elle s’éveillait
Vibrant au fil du temps
Elle songeait
Que de douceur
Encore une heure
Et le bonheur sera sa voie
morjane
23/07/08
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