Tourne.. tourne
Déploie tes voiles
Muette, laisse parler
Ton corps éloquent
Apprivoise le plancher qui rebrousse ces babines
D’une caresse de tes ballerines
Tourne… tourne
Et virevolte-toi
*
Angelot
Petit soleil
Petite joue, petit œil
Sacré babil
Je t’embrasse partout
Petit bout de chou
J’aime serrer ta menotte et te voir dans le vide caracoler
Puis, finir juché sur mes épaules
Petit matelot et neveu craquant
*
J’ai ajouté un autre ourlet
A mes habits
Que paraissent les bords fondus et traînants
De mes émules
Dans l’ombre je me tapissais
Et sous la lumière, sous le dais
De leurs trônes
Mes convives
En plus de mes anneaux dorés offerts
Index et annulaire badinés et bagués
Lorgnent mes doigts effilés
Protégés par des dés, ma chair effraie
Crains leurs mains velues
Poiles hérissées, aiguisées
Et piquantes
Même mon ami oublie
Son aigrette et éloge le gris de ma tête
*
Mon âme déchue de ton arche
Exclue
Errante dans le néant
Un fruit entamé
Tombé de ton arbre palabre
Nu, pareil qu’une épée sans fourreaux
Jugé à l’exile et juré
A trouvé corps et raison
Sur l’autel de la loi de talion
Deuil pour deuil, et don pour don
Je veux que tu souffres autant
Que j’ai sus le faire
Cette quiétude assoiffée d’enfer
O Azazel O Lucifer
Ouvrez moi les portes des ombres
Le secret de la sorcellerie noir ou sortilège d’ivoire
Je veux le cime de tous les maux
Qu’elle crève sans espoir
Si elle ne sera à jamais à moi
Qu'elle aille au diable
Déploie tes voiles
Muette, laisse parler
Ton corps éloquent
Apprivoise le plancher qui rebrousse ces babines
D’une caresse de tes ballerines
Tourne… tourne
Et virevolte-toi
*
Angelot
Petit soleil
Petite joue, petit œil
Sacré babil
Je t’embrasse partout
Petit bout de chou
J’aime serrer ta menotte et te voir dans le vide caracoler
Puis, finir juché sur mes épaules
Petit matelot et neveu craquant
*
J’ai ajouté un autre ourlet
A mes habits
Que paraissent les bords fondus et traînants
De mes émules
Dans l’ombre je me tapissais
Et sous la lumière, sous le dais
De leurs trônes
Mes convives
En plus de mes anneaux dorés offerts
Index et annulaire badinés et bagués
Lorgnent mes doigts effilés
Protégés par des dés, ma chair effraie
Crains leurs mains velues
Poiles hérissées, aiguisées
Et piquantes
Même mon ami oublie
Son aigrette et éloge le gris de ma tête
*
Mon âme déchue de ton arche
Exclue
Errante dans le néant
Un fruit entamé
Tombé de ton arbre palabre
Nu, pareil qu’une épée sans fourreaux
Jugé à l’exile et juré
A trouvé corps et raison
Sur l’autel de la loi de talion
Deuil pour deuil, et don pour don
Je veux que tu souffres autant
Que j’ai sus le faire
Cette quiétude assoiffée d’enfer
O Azazel O Lucifer
Ouvrez moi les portes des ombres
Le secret de la sorcellerie noir ou sortilège d’ivoire
Je veux le cime de tous les maux
Qu’elle crève sans espoir
Si elle ne sera à jamais à moi
Qu'elle aille au diable
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