Le Roi Mohammed VI écrit à Ban Ki-moon, sur la situation au Sahara APA- Rabat (Maroc) Une délégation marocaine a remis jeudi au Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, un message du Roi Mohamed VI sur l’évolution de la question du Sahara, a-t-on appris de source officielle à Rabat.
La délégation chérifienne était composée notamment du chef de la diplomatie marocaine, Taieb Fassi Fihri et Mohamed Yassine Mansouri, Directeur général des Etudes et de la Documentation (renseignements généraux), a indiqué la presse marocaine.
Aucun détail n’a été fourni sur le contenu du message royal, qui intervient une semaine après la décision de maintenir en poste, le médiateur onusien au Sahara, le néerlandais Peter Van Walsun.
L’Algérie, l’Afrique du Sud et le front Polisario, avaient émis des réserves sur la question, après que M Van Walsun avait affirmé, en avril dernier, que l’option indépendantiste au Sahara était « irréaliste ».
La délégation de Rabat a, pour sa part, rappelé les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU sur « l’approfondissement des négociations, de manière substantielle sur la base du sens du compromis et du réalisme, principes sur lesquels a été construite l’initiative marocaine d’autonomie dans le cadre de la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale du Maroc », a ajouté la même source.
Le Maroc avait proposé en avril 2007 un plan d’autonomie au Sahara (250 000km 2) pour trouver une issue au conflit l’opposant au front séparatiste du Polisario depuis fin 1975, date du retrait du colonisateur espagnol. Le territoire se trouve, depuis, sous la souveraineté chérifienne, effective.
Le Polisario, basé en Algérie, réclame un référendum «d’autodétermination » jugé « inapplicable » par Rabat, qui se trouve désormais conforté dans sa proposition d’autonomie, considérée comme « unique solution envisageable » pour sortir de « l’impasse » qui dure depuis 33 ans.
Arrivées à leur quatrième round, en mars dernier, les négociations de Manhasset (à la banlieue New yorkaise) sous l’égide de l’ONU, achoppent sur les positions opposées des protagonistes.
Outre le Maroc et le Polisario, les pourparlers sur le Sahara, entamés depuis juin 2007, se tiennent en présence de l’Algérie et de la Mauritanie, en leur qualité d’observateurs.
apanews.ne
La délégation chérifienne était composée notamment du chef de la diplomatie marocaine, Taieb Fassi Fihri et Mohamed Yassine Mansouri, Directeur général des Etudes et de la Documentation (renseignements généraux), a indiqué la presse marocaine.
Aucun détail n’a été fourni sur le contenu du message royal, qui intervient une semaine après la décision de maintenir en poste, le médiateur onusien au Sahara, le néerlandais Peter Van Walsun.
L’Algérie, l’Afrique du Sud et le front Polisario, avaient émis des réserves sur la question, après que M Van Walsun avait affirmé, en avril dernier, que l’option indépendantiste au Sahara était « irréaliste ».
La délégation de Rabat a, pour sa part, rappelé les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU sur « l’approfondissement des négociations, de manière substantielle sur la base du sens du compromis et du réalisme, principes sur lesquels a été construite l’initiative marocaine d’autonomie dans le cadre de la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale du Maroc », a ajouté la même source.
Le Maroc avait proposé en avril 2007 un plan d’autonomie au Sahara (250 000km 2) pour trouver une issue au conflit l’opposant au front séparatiste du Polisario depuis fin 1975, date du retrait du colonisateur espagnol. Le territoire se trouve, depuis, sous la souveraineté chérifienne, effective.
Le Polisario, basé en Algérie, réclame un référendum «d’autodétermination » jugé « inapplicable » par Rabat, qui se trouve désormais conforté dans sa proposition d’autonomie, considérée comme « unique solution envisageable » pour sortir de « l’impasse » qui dure depuis 33 ans.
Arrivées à leur quatrième round, en mars dernier, les négociations de Manhasset (à la banlieue New yorkaise) sous l’égide de l’ONU, achoppent sur les positions opposées des protagonistes.
Outre le Maroc et le Polisario, les pourparlers sur le Sahara, entamés depuis juin 2007, se tiennent en présence de l’Algérie et de la Mauritanie, en leur qualité d’observateurs.
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