Chaque soir, je pronnonce son nom
Le matin, je vois l´ombre de son corps
En montant, déscendant
Il me fait rappeller mon départ
Je nage dans larmes qu´il dit
Et les vagues turbulantes qui détruit
Les chemins qu´on a tracé, vers l´horizon lointain
D´eux on a eu une part
Regardant les déssins, qui creusaient le sable
Des noms écrits avec la main, qu´ont lu les pinguins
L´océan ou nagent les dophins
S´appelle la madrague
J´ai eu soif, j´ai eu faim
Je ne sens que son parfum
En nétoyant les chemins
Qu´on a marchait ensemble
25/07/2008 Nabila Yacia
Le matin, je vois l´ombre de son corps
En montant, déscendant
Il me fait rappeller mon départ
Je nage dans larmes qu´il dit
Et les vagues turbulantes qui détruit
Les chemins qu´on a tracé, vers l´horizon lointain
D´eux on a eu une part
Regardant les déssins, qui creusaient le sable
Des noms écrits avec la main, qu´ont lu les pinguins
L´océan ou nagent les dophins
S´appelle la madrague
J´ai eu soif, j´ai eu faim
Je ne sens que son parfum
En nétoyant les chemins
Qu´on a marchait ensemble
25/07/2008 Nabila Yacia