Dans la nuit de mardi à mercredi derniers, des individus armés dont le nombre n’a pu être précisé, ont dressé un faux barrage, sur le tronçon de la RN 71 reliant l’hôpital au lieu-dit “l’embranchement”, à quelques kilomètres de la ville d’Ain El Hammam, cinquante kilomètres de Tizi Ouzou.
Un jeune homme de la région, marin de son état a eu la désagréables surpris de se retrouver nez à nez avec un groupe de personne armées de “Klach” qui l’ont sommé de s’arrêter. Profitant d’une moment d’inattention de ses agresseurs, occupés à la vérification de son identité, le jeune homme prit ses jambes à son cou, pour leur fausser compagnie.
Il se sauva, à travers champs, pour réapparaître quelques kilomètres plus loin et rejoindre les siens qui l’attendaient déjà depuis deux heures. C’est cette fuite qui lui vaudra de sauver sa vie car ses assaillants n’auraient pas tardé à le démasquer, en fouillant le véhicule où ils trouveront des indices qui ne laissent planer aucun doute sur l’identité de leur otage.
Par ailleurs, des sources sûres nous apprennent que quelques instants plus tard, ces individus, agissant à visage découvert, se sont dirigés vers les bars de la périphérie de la ville où ils auraient soutiré de l’argent à un patron et à plusieurs clients avant de s’évanouir dans la nature. C’est la seconde fois, en quelques mois, que des débits de boissons ont été ciblés par les racketteurs. La dernière “descente” en date, s’est déroulée le 24 février dernier lorsqu’un groupe armé s’est introduit dans un bar de Akkar pour se faire remettre une somme de vingt millions de centimes.
Deux mois plus tard, alors qu’une opération battait son plein, un homme armé avait été aperçu, rôdant autour d’une maison située à la lisière de la forêt de Boualgane, faisant face à la station d’essence. Cette dernière n’a pas été épargnée puisqu’elle a fait, elle aussi, l’objet d’un cambriolage en plein jour, quelques mois auparavant. Rappelons que l’opération de ratissage qui a ciblé tous les maquis de la région vient de prendre fin il y a une dizaine de jours.
Durant un mois, les militaires avaient passé au crible toutes les forêts se trouvant entre Ain El Hammam, Beni Yenni et au-delà. Quant au bilan officiel de l’opération personne ne peut nous en informer du moins, pour le moment.
Par la Dépêche de Kabylie
Un jeune homme de la région, marin de son état a eu la désagréables surpris de se retrouver nez à nez avec un groupe de personne armées de “Klach” qui l’ont sommé de s’arrêter. Profitant d’une moment d’inattention de ses agresseurs, occupés à la vérification de son identité, le jeune homme prit ses jambes à son cou, pour leur fausser compagnie.
Il se sauva, à travers champs, pour réapparaître quelques kilomètres plus loin et rejoindre les siens qui l’attendaient déjà depuis deux heures. C’est cette fuite qui lui vaudra de sauver sa vie car ses assaillants n’auraient pas tardé à le démasquer, en fouillant le véhicule où ils trouveront des indices qui ne laissent planer aucun doute sur l’identité de leur otage.
Par ailleurs, des sources sûres nous apprennent que quelques instants plus tard, ces individus, agissant à visage découvert, se sont dirigés vers les bars de la périphérie de la ville où ils auraient soutiré de l’argent à un patron et à plusieurs clients avant de s’évanouir dans la nature. C’est la seconde fois, en quelques mois, que des débits de boissons ont été ciblés par les racketteurs. La dernière “descente” en date, s’est déroulée le 24 février dernier lorsqu’un groupe armé s’est introduit dans un bar de Akkar pour se faire remettre une somme de vingt millions de centimes.
Deux mois plus tard, alors qu’une opération battait son plein, un homme armé avait été aperçu, rôdant autour d’une maison située à la lisière de la forêt de Boualgane, faisant face à la station d’essence. Cette dernière n’a pas été épargnée puisqu’elle a fait, elle aussi, l’objet d’un cambriolage en plein jour, quelques mois auparavant. Rappelons que l’opération de ratissage qui a ciblé tous les maquis de la région vient de prendre fin il y a une dizaine de jours.
Durant un mois, les militaires avaient passé au crible toutes les forêts se trouvant entre Ain El Hammam, Beni Yenni et au-delà. Quant au bilan officiel de l’opération personne ne peut nous en informer du moins, pour le moment.
Par la Dépêche de Kabylie
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