J'ai connu la période pré et post-coloniale où la tbc faisait des ravages dans la population algérienne.
L'équipe Chaulet-Larbaoui et d'autres noms illustres, se mettra au travail, et grâce au système thérapeutique de la 1ère, 2ème et 3ème ligne et à la vulgarisation du traitement de cette maladie grave (dépistage précoce par la médecine scolaire et du travail, mise à disposition de microscope dans tous les centres médico-sociaux, vaccination obligatoire de tout nouveau-né), les taux d'infection vont chuter de manière drastique.
On pensait alors avoir vaincu la maladie et qu'on allait bientôt rejoindre le peleton de tête des pays développés en terme de prévalence.
Que s'est-il donc passé pour qu'aujourd'hui on recommence à mourir de tuberculose en Algérie en 2008, malgré des moyens sans aucune commune mesure avec ceux de la période post-indépendance (62-80) ?
Je sollicite un débat sur cette question qui nous concerne tous.
L'équipe Chaulet-Larbaoui et d'autres noms illustres, se mettra au travail, et grâce au système thérapeutique de la 1ère, 2ème et 3ème ligne et à la vulgarisation du traitement de cette maladie grave (dépistage précoce par la médecine scolaire et du travail, mise à disposition de microscope dans tous les centres médico-sociaux, vaccination obligatoire de tout nouveau-né), les taux d'infection vont chuter de manière drastique.
On pensait alors avoir vaincu la maladie et qu'on allait bientôt rejoindre le peleton de tête des pays développés en terme de prévalence.
Que s'est-il donc passé pour qu'aujourd'hui on recommence à mourir de tuberculose en Algérie en 2008, malgré des moyens sans aucune commune mesure avec ceux de la période post-indépendance (62-80) ?
Je sollicite un débat sur cette question qui nous concerne tous.
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