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Lors du traditionnel point de presse organisé en marge de la visite présidentielle à Bouira, le ministre de l’Intérieur, M. Noureddine Yazid Zerhouni, a, encore une fois, rappelé toute la détermination de l’Etat à venir à bout du terrorisme qu’il combat sans relâche. D’ailleurs, sa présence à Lakhdaria, où il a tenu le point de presse dans le nouveau siège de daïra qu’il a inauguré, est un soutien de l’Etat à la population et aux autorités locales qui font face aux terroristes.
Au sujet de l’attentat de mercredi dernier, M. Zerhouni a rappelé que l’attentat kamikaze a fait dix blessés parmi les militaires, dont un se trouve dans un état grave mais hors de danger après trois jours d’hospitalisation, alors que pour le terroriste, auteur de cette action suicide, le ministre a déclaré que les services de sécurité n’ont trouvé que sa tête et qu’il est toujours en cours d’identification.
En outre et toujours dans le volet sécuritaire, le ministre, répondant à la question d’une consœur sur la tension que vit Berriane actuellement ainsi que sur le phénomène des kidnappings surtout en Kabylie, dira que l’Etat a pris ses devants en décidant de renforcer les communes et les autres localités reculées par des sûretés urbaines et des brigades de gendarmerie pour instaurer la sécurité dans nos villes, mais aussi pour lutter contre le crime organisé, entre autres le kidnapping de personnes dont les auteurs sont, dans la majorité des cas, des terroristes.
Au sujet de ces kidnappings, le ministre dira que des équipes sont formées spécialement sur de nouvelles techniques afin de faire face à ce phénomène. Par ailleurs, sur la question de la restitution des fusils de chasse saisis au début des années 1990, et dont Bouira détient le record avec plus de 9 000 fusils, le ministre de l’Intérieur a, encore une fois, déclaré que la situation qui prévaut actuellement ne permet pas la restitution de ces armes à leurs propriétaires, en rappelant que tant qu’il y a des terroristes en activité, les citoyens détenteurs de fusils de chasse peuvent être la cible de ces terroristes.
En d’autres termes, le ministre dira que la saisie de ces armes au début des années 1990 a été une mesure de protection des citoyens contre les terroristes et que le jour où l’Etat viendrait à bout du terrorisme, les propriétaires de ces fusils pourraient récupérer leurs armes ou réclamer des indemnisations.
Y. Y. (Le Soir d'Algérie)
Au sujet de l’attentat de mercredi dernier, M. Zerhouni a rappelé que l’attentat kamikaze a fait dix blessés parmi les militaires, dont un se trouve dans un état grave mais hors de danger après trois jours d’hospitalisation, alors que pour le terroriste, auteur de cette action suicide, le ministre a déclaré que les services de sécurité n’ont trouvé que sa tête et qu’il est toujours en cours d’identification.
En outre et toujours dans le volet sécuritaire, le ministre, répondant à la question d’une consœur sur la tension que vit Berriane actuellement ainsi que sur le phénomène des kidnappings surtout en Kabylie, dira que l’Etat a pris ses devants en décidant de renforcer les communes et les autres localités reculées par des sûretés urbaines et des brigades de gendarmerie pour instaurer la sécurité dans nos villes, mais aussi pour lutter contre le crime organisé, entre autres le kidnapping de personnes dont les auteurs sont, dans la majorité des cas, des terroristes.
Au sujet de ces kidnappings, le ministre dira que des équipes sont formées spécialement sur de nouvelles techniques afin de faire face à ce phénomène. Par ailleurs, sur la question de la restitution des fusils de chasse saisis au début des années 1990, et dont Bouira détient le record avec plus de 9 000 fusils, le ministre de l’Intérieur a, encore une fois, déclaré que la situation qui prévaut actuellement ne permet pas la restitution de ces armes à leurs propriétaires, en rappelant que tant qu’il y a des terroristes en activité, les citoyens détenteurs de fusils de chasse peuvent être la cible de ces terroristes.
En d’autres termes, le ministre dira que la saisie de ces armes au début des années 1990 a été une mesure de protection des citoyens contre les terroristes et que le jour où l’Etat viendrait à bout du terrorisme, les propriétaires de ces fusils pourraient récupérer leurs armes ou réclamer des indemnisations.
Y. Y. (Le Soir d'Algérie)