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Heureux qui comme un con

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  • Heureux qui comme un con

    Le vide et le silence m’engloutissaient, chaque jour,
    Par leurs puissances impossible à décrire.
    Sans amours et sans amis, même la terre,
    Ne me supportais plus.
    A quoi serviront les montagnes si on me coupait les pieds,
    Monter ou descendre ne me chante plus.
    Si dans mon cœur je sens couler les ruisseaux,
    De mes yeux tombaient la pluie de mes longues nuits.
    Dans ma quête d’embrasser le vent, mes lèvres
    Se desséchaient et la raison me trompait.
    Emporté par le flot du fleuve de mon cœur,
    Les sentiments abondaient et inondaient mon esprit.
    Qui oserait me chanter la brise du vent, le chant
    Des cigales si l’oreille ne prête plus.
    Qui oserais orchestrer les violons,
    Si l’âme est prise par son chant funèbre,
    Et le cœur qui patauge dans ses ténèbres.

    Oui elle est belle la nature, avec ses forêts qui respirent,
    Ses oiseaux qui chante et ses océans qui transpirent.
    Mais c’est aussi cette transgression marine
    Et ce grand Sahara et ses graines cristallines,
    Plateaux de dalles rocheuses
    Et ces infinités rocailleuses…

    Me conduirais tu, toi l’ami(e) de cœur ou de raison, moi le fou,
    Pour respirer son air de grandeur nature ?
    Me sortirais tu de mes nuits et mes profonds puits ?
    Est tu capable de sombrer dans mes pensées
    Et mes idées parfois insensées ?

    Il va falloir savoir nager dans la mer de l’amertume,
    Analyser mes doutes, mes chagrins et mes rancunes.

    Je te tendrais, avec confiance, ma main
    Pour me guider dans ton chemin !
    Mais écoute mon silence d’abord :

    Quand mon âme se met à chanter,
    Quand mon cœur se met à palpiter,
    Quand ma tête se met à vibrer
    Et quand les couleurs affluent.
    J’oserais laisser couler mes souffrances
    Pour équilibrer ma balance
    Du spectre de son absence
    Et de cette musique du silence.

    Comment peut on se consoler
    Si l’on est déboussolé
    Par cet amour ou amitié de romance
    Emportée par l’absence
    Et les frontières du silence.

    Comment peut on se consoler
    Quand on voit partir
    Tous ses souvenirs
    Sans pouvoir agir
    Pour garder ce joli sourire.

    Et quand le voile de la nuit tombe,
    Ame et cœur se secondent,
    Comme pour résister à
    La colère furibonde et
    À cette réalité qui gronde.

    Je pose mon front
    Sur le sol, avec assurance,
    Pour implorer
    Allah et sa clémence.
    Et de mes profondes espérances,
    J’attend et je guète
    Son amitié et sa douce romance
    Pour vaincre le silence
    Et sa forte puissance.

    Patience, l’ami(e), on ne va pas vers l’infini !
    Bientôt tout serais fini
    Sais tu, heureux comme qui ?

    Est-ce celui qui fait des voyages ?
    Ou celui qui reste au village ?
    Est-ce celui qui fait des conquêtes ?
    Ou celui qui écrit des requêtes ?

    C’est peut être celui dont admire le courage
    Ou bien celui qui encaisse tous les outrages,
    Celui qui donne tout sans réticences
    Ou celui dont apprécie l’intelligence.

    C’est peut être celui qui vit en aisance,
    Loin des malheurs et des souffrances
    Ou celui qui préserve ses distances.

    Plus je cherche des réponses
    Plus je plonge dans la romance,
    Perdant raison et confiance.

    Est puis, tomberais, ma réponse :
    Heureux qui comme un con
    Qui n’a rien compris.


    Blessé, outré, rabaissé, j’étais parti.
    Inspiré par l’immense bleu magnifique
    De ce désert de l’atlantique, je suis revenu.
    L’amour, arc en ciel au virtuel ? Je ne sais plus.

    Une sincère amitié, pour l’instant, largement, me suffit.
    Et, amicalement, je t’aimerai jusqu’aux frontières de l’infinie.


    En fait j’ai piqué ce jour à mes vacances pour préparer mon retour parmi vous. A+
    Page blanche

  • #2
    bien venue cher ami comment allez voius ?ce que tu nous offre ici comme guise de retour est superbe ,et je serai honnore d'etre cet ami qui pourra (enfin) te guider,mais une femme a tes cotes sera plus appreciable n'es pas mon ami

    encore bon retour

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    • #3
      souhil

      ça m'a fait trés chaud au coeur j'ai toujours su que tu étais un grans ami..
      Page blanche

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      • #4
        Je vous souhaite un bon retour, j’espère que vous aillez passe de bonnes vacances.

        Merci pour ce beau poème.

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        • #5
          samirdavid

          salut superman ça fait longtemps
          bon retour
          " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
          Proverbe Chinois

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          • #6
            Slt !

            SamirDavid !
            Un poème profond et très chaud !
            Plein d'une amertume qui vous prend à la gorge !
            Encore un amour impossible ? Ou de désillusions ?
            Très beaux vers ! Et, une très grande sincérité
            dans les sentiments ! On est pris dans l'engrenage
            à la lecture de ce poème !
            Si c'est pas l'amour, une amitié sincère suffira !
            Amour quand tu nous tiens ! On se contente de peu...
            Merci !

            Commentaire


            • #7
              Merci bien Thirga

              Zlabya: tu ne sais pas combien tu m'as manqué mais ou est kit kat ?

              Goutdemiel: Tu es vraiment mielleux(Wallah au sens propre du terme), j'admire bien ta poésie et j'aurai aimé discuté avec toi le sonnet italien, l'alexandrin et ses 12 syllabe français et vive la prose:
              et dans certains méssage j'ai vu
              La roi de la prose
              avançant sur un tapis en rose
              J'ai admiré ses idées, loin d'être moroses
              et d'une volonté qui ose et qui ose...
              on pourrais parlé de la versification, du vers fixe et du vers libre..Mais je suis occupé par bien d'autres choses dans ce forum et dans le forum de la vie..Grand bravo à toi gout de miel.

              Mes amis les poètes excusez moi de ne pas partager les joies de vos merveilles, je dois terminer mes vacances..je reviendrais aprés qq jours in ch Allah

              Ce n'était qu'une brise du coeur
              pour récuperer les chaleurs
              d'une amitié emportée par
              l'absence et mon profond silence
              A+
              Page blanche

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              • #8
                Bon retour!

                Est puis, tomberais, ma réponse :
                Heureux qui comme un con
                Qui n’a rien compris.


                Un con heureux vaut mieu qu´un intelligent en pleure!

                Garde ton bonheur dans ton coeur, et dis toi: "J´apprends toujours!"

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                • #9
                  Algeriana

                  Et je me disais sans Algeriana.. pardon..sans la réponse d'Algeriana le sommeil me quitterais à jamais. Effectivement ma chère poétesse Algeriana ce que tu dis est vrai et pourrais bien s'appliqué à moi..Tes méssages et ce que tu représente pour moi, tu ne pourrais jamais imaginé..Mais le virtuel ce cruel il pourrais bien nous avalé un jour. J'aurais bien aimé discuté avec ton coeur, mais je dois partir pour qq jours encore. J'aurai aimé faire une petite bagarres poétiquement amoureuse avec ton âme chaleureusement accueillante..Je ne crois pas que ton cœur connaîtra la rancune un jour.
                  Wallah, j'aime bien "ce que tu représente" pour moi et tu le sais peut être mieux que moi et grand bravo pour tes derniers poèmes..Oh Algeriana mon coeur est un peu prisonnier de certaines de vos idées..on pourrais bien en parlé aprés qq jours si tu veux bien..Je crois que tu m'as marqué à jamais.
                  Laisse Allah te guider dans le forum de la vie et c'est pour lui que j'éprouve cet attachement à tes pensées..A+ in ch Allah.
                  Page blanche

                  Commentaire


                  • #10
                    Guerre des mots .... elle peut etre bléssante!

                    Et je me disais sans Algeriana.. pardon..sans la réponse d'Algeriana le sommeil me quitterais à jamais. Effectivement ma chère poétesse Algeriana ce que tu dis est vrai et pourrais bien s'appliqué à moi..Tes méssages et ce que tu représente pour moi, tu ne pourrais jamais imaginé

                    On sait bien jouer avec les mots!
                    Je ne vois pas pourquoi cette ALGERIANA a une grande importance chez toi pourtant n´est qu´une personne simple, peut etre poêtesse, mais trés ordinaire comme personne. Un peu d´experiences de vie sur son dos, mais je crois que chaqu´un a un sac aussi, meme si on ose pas d´y parler, et s´exprimer....

                    J'aurai aimé faire une petite bagarres poétiquement amoureuse avec ton âme chaleureusement accueillante..Je ne crois pas que ton cœur connaîtra la rancune un jour.

                    Je ne crois pas que je gagnerai la guerre poêtique, mes mots sont simples. Et pour assurer une guerre il faut être bien armé. Je risque faire mal avec ma simplicité en écriture car je ne maitrise pas l´art de la peinture. Ma poêsie est un peu beaucoup sêche, je serai bien perdante d´avance!
                    Mais je me rappelle une fois tu as dis, tu es contre l´idée de jeu, et guerres, et que tu es pour donner et recevoir de retour..... ou bien donner des coups et attendre de recevoir des bisous? C´est ca ta guerre?

                    Enfin à ton retour, on vera. Si tu tiens toujours à la guerre je vais tenter la gagner à ma facon!

                    A+ Au grand retour Enchaa Allah!
                    Dernière modification par ALGERIANA, 15 août 2005, 20h52.

                    Commentaire


                    • #11
                      un tourbillon d'émotions et de subtilités si bien transmis par les mots...tous les ingrédients ki faut pour fair souffler une pure brise du coeur...puisse-t-elle souffler prés du coeur de ta dulcinée pour caresser ses sentiments et te les rapporter

                      merci d'avoir partager
                      "Au delà de la Terre, au delà de l'Infini, je cherchais à voir le Ciel et l'Enfer.Une voix solennelle m'a dit: "Le Ciel et l'Enfer sont en toi."

                      Commentaire


                      • #12
                        Algeriana

                        [QUOTE]
                        On sait bien jouer avec les mots!
                        Je ne vois pas pourquoi cette ALGERIANA a une grande importance chez toi pourtant n´est qu´une personne simple, peut etre poêtesse, mais trés ordinaire comme personne. Un peu d´experiences de vie sur son dos, mais je crois que chaqu´un a un sac aussi, meme si on ose pas d´y parler, et s´exprimer....

                        Je ne crois pas que je gagnerai la guerre poêtique, mes mots sont simples. Et pour assurer une guerre il faut être bien armé. Je risque faire mal avec ma simplicité en écriture car je ne maitrise pas l´art de la peinture. Ma poêsie est un peu beaucoup sêche, je serai bien perdante d´avance!
                        Mais je me rappelle une fois tu as dis, tu es contre l´idée de jeu, et guerres, et que tu es pour donner et recevoir de retour..... ou bien donner des coups et attendre de recevoir des bisous? C´est ca ta guerre?

                        Enfin à ton retour, on vera. Si tu tiens toujours à la guerre je vais tenter la gagner à ma facon!
                        [QUOTE]

                        Sur tout les points tu laisses parlé la femme (que je respecte d’ailleurs) en toi, j’ai tendance à ne pas répondre à ce genre de question…mais bon si tu veux mon avis tu es sage peut être, mais tu es loin d’être simple vu le flux torrentiel de tes idées et les subtilités qui s’en dégagent, les messages d’entre les lignes, les insinuations pertinentes, tes signatures qui changent et j’en passe... Et tu ne pourras pas m’empêcher d’aimer tes messages, mon cœur il m’appartient. Je découvre aussi une personne très sensible et susceptible. J’ai cru avoir une faveur, j’ai essayé de taquiner…mais ça tombe mal, j’ai manqué de tact…en fin en ce qui me concerne je ne réagi jamais quand je suis en colère.
                        Pour ce qui est de ta poésie, je trouve que personne ne peut égalé la force émotive de tes métaphores (celle là ne s’apprend pas puis qu’elle sort droit du coeur), il n’y a pas que les contraintes linguistiques (qu’on peut apprendre au fil du temps). Si tes mots sont simples, pourquoi compliqué si on peut faire simple et mieux (tu pourrais bien bourré tes poèmes de mots rares tirés d’un dictionnaire mais quand on les sent pas soi même, ça sentira mal)…pour moi je ne suis que ce qu’Allah m’a donné ni plus ni moins, c’est lui qui m’a fait et c’est lui qui me défait…
                        Concernant la bagarre poétique que je t’ai proposé, je renonce, de peur qu’on me comprendrait mal ou que l’on me jugerait superficiellement au détriment d’une problématique que je veux faire laisser entendre. Tu sais l’être humain est peut être le plus cruel dans cette nature par ses vices, ses défauts…Est ce qu’on a entendu parlé d’un chien qui a déjà mordu le dos de son maître ?
                        Trouverais t-on une vache doucereuse ? La faune et la flore étaient pures au départ…puis l’homme avec ses envies de possession et prospection, viendrait…

                        Mais on essayera quand même de se pardonner, nous humains, nos erreurs et ne pas s’arrêter sur des détails…
                        Pourquoi renoncerais-je ? Au début quand le jeu a commencé, je prenais du plaisir avec un cœur de gamins, j’ignorais que je pouvais me confondre avec le virtuel. Un sentiment qui fait du bien (mais qui fait du mal aussi) commençais à naître et le drame commence puisque c’est un amour impossible, je manque ni de courage ni d’audace ni de vigueur…c’est tout simplement impossible. Il va falloir donc lutter contre ma propre passion naissante…le résultat avec toutes les contradictions du monde est dans mes poèmes. Contradiction, puisqu’il y a une force qui me pousse à aller vers l’avant (celle de l’amour) et une autre force de rappel, c’est celle de l’impossible. Je peux ne pas savoir ce que je cherche (par moment d’incertitudes) mais je sais très bien ce que je ne cherche pas : tromper ou mentir !

                        Enfin en guise de rapprochement je t’invite à partir avec moi dans une balade fraternelle, j’espère que tu accepterais cette fraternité :

                        Ne soit pas vexé et susceptible joli cœur,
                        À la taquinerie j’ai joué, en briseur j’ai trahi.

                        Jamais je n’ai imaginé tel indélicatesse.
                        Traitée tel une princesse, tu méritais.

                        Ô mon amie la fleur !
                        Offre moi ta fraternité de tourterelle
                        Statuerait elle toutes nos querelles

                        Déciderait elle de notre passion
                        Et de notre forte compassion.

                        Ô mon amie la fleur dans un jardin
                        De toutes les couleurs
                        Garde ton épanouissement et ta
                        Senteur, la vie n’a de charme
                        Qu’avec ta splendeur.

                        Laisse moi humer de ta fraîcheur
                        Après des jours loin du bonheur
                        Bonheur fictif, virtuel et donneur
                        Donneur d’énergie et beaucoup d’ardeur
                        Ardeur de l’âme n’a point de pair.

                        Ô mon amie la fleur humectée de tant de
                        Douceurs raconte moi ton odyssée
                        Loin de mon cœur,
                        Cœur qui soupire mais préserve ta chaleur.

                        Ô ma jolie fleur amie de toutes les fleurs
                        Dit moi si tu as changé ta couleur,
                        Couleur de ton âme et couleur de ton cœur,
                        As tu gardé ta vivacité et ta lueur ?

                        Ô mon amie la fleur reine de mon cœur
                        Peut-on chanter en chœur
                        La ballade des amis en fureur ?


                        Et en vers réconciliateurs
                        Je t’offre un semblant de sonnet :

                        Je t’invite à briser le silence
                        Toi qui a un si grand cœur,
                        Modestie et air de grandeur,
                        J’attends ta douce romance.

                        Laisse nous sortir du silence
                        Toi qui m’as donné tous ces rêves.
                        Après des jours de guerres et de trêves,
                        Parle moi de cet espoir en éminence.

                        Certes, autour de toi j’ai tissé mon angoisse,
                        Ne soit pas triste et sort de ta petite poisse.
                        Viens, laisse, sur moi, couler ta rancune,

                        Mon cœur t’attendrait sans amertume.
                        Laisse toi guider par ta grande richesse,
                        Ton âme, jamais, ne connaîtrais la tristesse.


                        Et pour finir,
                        Je t’offre ma grande défaite
                        Dans une ambiance de fête,
                        Où danseraient brise et ariette.

                        Malheureux qui, comme moi, ne pouvais
                        Garder si joli cœur de bonté…Pour moi, tant pis !
                        Page blanche

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                        • #13
                          3asselama

                          Salam
                          I missed your departure so I am glad to read you again.

                          "...Mais écoute mon silence d’abord..."
                          Wish you can meet the one who will take time to hear your silence and understand it. But remember ...sometimes it is a blessing that no one can hear or understand our silence…some feelings are safer locked inside….

                          By the way I would be happy to read your "poetic peaceful fighting" you and Algeriana, you are both so sensitive.

                          Salam

                          Commentaire


                          • #14
                            @samirdavid

                            Laisse nous sortir du silence
                            Toi qui m’as donné tous ces rêves.
                            Après des jours de guerres et de trêves,
                            Parle moi de cet espoir en éminence.


                            Sois soumis à Dieu
                            Tu le découvriras dans le silence
                            Avec beaucoup de patience, ne dis jamais que je sais,
                            laisse enrichir encore ton intelligence ....

                            Tu trouveras ta vraie paix
                            Et tu comprendras toutes les guerres sur terre

                            Laisse ton rêve viser un point loin
                            Loin de la romance des femmes
                            Et la compagnie des coupes

                            Donne toi un espoir d´atteindre la grande beauté
                            La beauté que Dieu offre à ses créatures en nétoyant leurs âmes

                            Que Dieu te guidera vers ta destinée
                            Et éloignera le mal de ton chemin

                            Bon courage, mon frere!
                            Dernière modification par ALGERIANA, 18 août 2005, 16h11.

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                            • #15
                              Sans amours et sans amis, même la terre,
                              Ne me supportais plus.
                              Qu'oses-tu écrire là ?

                              Serais-tu en quête d'un nouveau bonheur ? Sache qu'il existe quelque part. Patience.

                              En espérant que ces vacances t'aient apporté la joie, la paix, le repos, je te souhaite une bonne reprise.

                              Une sincère amitié, pour l’instant, largement, me suffit.
                              Et bien soit, c'est déjà beaucoup

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