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Vers un echec des négociations à l'OMC ?

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  • Vers un echec des négociations à l'OMC ?

    Echec des négociations à l'OMC
    Alors que l'on espérait un accord ces derniers jours, les discussions n'ont pas abouti. L'Inde et les Etats-Unis n'ont pu se mettre d'accord. L'Union européenne a affiché ses divisions.

    Un compromis entre l'Inde et les Etats-Unis n'a pu être trouvé.
    Il n'y a pas eu d'accord à Genève sur les négociations de l'OMC, l'organisation mondiale du commerce (OMC) dans le cadre de ce qu'on appelle le cycle ("round") de Doha. Ces derniers jours, on a pourtant crû à un accord suite à des propositions du secrétaire général de l'OMC Pascal Lamy qui ont divisé le camp des opposants, les pays en développements.

    Mais au cours des dernières heures, de nouvelles tensions sont apparues. Un compromis entre l'Inde et les Etats-Unis n'a pu être trouvé. Delhi s'est opposé au compromis proposé sur la clause de sauvegarde, une protection tarifaire souhaitée par les pays en développement en cas de flambée des importations de produits agricole. L'Inde souhaite abaisser son niveau, tandis que les Etats-Unis redoutent qu'elle en fasse un outil de protectionnisme.

    Washington a toutefois indiqué après l'nanonce de l'échec de cette négociation que les Etats-Unis restaient mobilisés pour le succès du cycle de Doha. Ce qui impliquerait une reprise des négociations.

    Du côté chinois, on réclamait une forte réduction, voire une suppression, des subventions américaine sur le coton. Ce à quoi Washington répondait en déplorant le fait que la Chine soit revenue sur des engagements pris vendredi dernier.

    Mais les oppositions ne se sont pas cantonnées pas à l'habituelle fracture entre pays du Nord et du Sud. De petits pays exportateurs comme l'Uruguay et le Paraguay, ont également attaqué l'Inde sur la question de la clause de sauvegarde. Ils ont accusé Delhi de vouloir protéger son marché alors que les marchés émergents sont le principal débouché pour leurs exportations agricoles.

    Enfin, même le camp européen s'est fissuré. Neuf pays de l'Union européenne parmi les plus opposés aux propositions de Pascal Lamy se sont réunis lundi soir à Genève pour établir une position commune alors qu'il revient en principe à la Commission européenne de négocier au nom des 27 pays membres. Il s'agit de l'Italie, de la France, de l'Irlande, de la Pologne, de la Hongrie, de la Grèce, du Portugal, de la Lituanie et de Chypre.



    latribune.fr

  • #2
    L'excellent site Dedefensa.org, dont je recommande la lecture pour échapper à la tentation de s'applatir devant l'OTAN et la conspiration globaliste et dédié à l'analyse des mécanismes qui conduisent à la déroute de "l'Empire" et de la Globalisation annonce de sérieux changement avec le retour du politique dans la gestion des économies... Enfin !

    Allez, encore un effort et ça va tomber...

    Source : Dedefensa.org

    La globalisation en déroute devant les nécessités politiques



    L’échec des négociations du “Doha Round” de l’OMC, à Genève, poursuit la déroute du processus de globalisation. Au-delà des gémissements convenus des pleureuses devant la dépouille du processus devant accélérer la prospérité du monde, – on mesure de quelle prospérité il s’agit devant le spectacle du monde d’aujourd’hui, d’ores et déjà enfant de la globalisation, – il s’agit surtout d’évaluer une fois de plus la puissance du retour du facteur politique dans les rapports économiques. A Genève, l’échec s’est fixé sur l’affrontement entre les USA d’une part, l’Inde (rejointe par la Chine) d’autre part. Il est inutile de chercher des significations structurelles se référant aux habituels “blocs” puisque, à cette occasion, l’Inde s’est trouvé en opposition avec les pays d’Amérique du Sud qui sont d’habitude à ses côtés. Cette négociation a montré surtout le désordre du monde économique et l’affirmation grandissante des facteurs politiques dans la décision économique.

    L’Inde a maintenu une position de protection de son agriculture pour des raisons politiques, – c’est-à-dire pour des raisons politiques de protection d’un groupe économique vital pour son équilibre politique. C’est ce que décrit Carl Mortished le 29 juillet dans le Times:

    «In Geneva, Kamal Nath, the Indian Trade Minister, was gritting his teeth, doing his best to justify a wrecking operation that has earned him brickbats from all round. He has brought to an end a seven-year struggle for a global trade agreement that would open borders and reduce subsidies and he knows it. However, he was not looking at his negotiating partners, the Brazilian, American, European and Argentinean ministers. He had his eyes fixed on Delhi, where the Indian Reserve Bank Governor was raising interest rates and signalling an economic slowdown.

    »Mr Nath’s problem was the wretched farmers, not the East Anglian sugar barons or the American cotton kings, so often the butt of abuse. There is another group of farmers who wallow in subsidies, wreck government budgets and who demand high tariff walls to keep out imports of cheaper food. These are India’s peasantry and their political power is being felt on a global scale. Mr Nath could not afford to ignore them: India’s rural population numbers 600 million, the last BJP Government was brought down for ignoring them and this Congress Party Government is unlikely to make that mistake. The Indian farmers’ demand for protection against import surges was the main obstacle to the tariff-cutting deal that failed in Geneva.»


    Le même argument a conduit la Chine à soutenir la position de l’Inde, puisque la Chine veut, elle aussi, protéger ses agriculteurs. Comme dans le cas de l’Inde, il s’agit bien d’une question politique: tout faire pour éviter que s'installe une situation où la colère de la paysannerie pourrait mettre en péril l’équilibre politique, voire la structure même de cet énorme pays.

    «China, too, is ruled by the economics of the farm, not factories of Guangdong. According to Standard Chartered, the cost of food, which absorbs more than a third of income, is beginning to hit spending. Food is crowding out consumer goods, exposing the risk that China’s factories will struggle to find domestic buyers to replace insolvent Americans.

    »There are no Brics, the world is coupled; exports represent 40 per cent of Chinese GDP and it is clear that politicians in Beijing and Delhi fear a slowdown that will shut down factories, reduce the safety valve of migration to the cities, transforming the rural migrant into a potential constituent of a mob.

    »It is political fear that ended the trade talks in Switzerland, fear of the countryside rampant.»


    Aujourd’hui, les batailles de la globalisation qui se terminent en déroute pour la globalisation ne se livrent pas fondamentalement selon des arguments économiques. L’économie est là essentiellement comme un révélateur de la situation politique, et elle est utilisée à partir de là comme un outil pour intervenir dans cette situation politique. Il faut conclure que la globalisation du monde, qui est un courant déstructurant créant une instabilité proclamée comme créatrice (le “chaos créateur” des hyper libéraux), a surtout pour effet inattendu de susciter indirectement la peur des pouvoirs politiques devant les conditions sociales qui peuvent résulter des nouvelles situations ainsi créées. Il n’est même pas nécessaire d’en arriver au stade de la révolte pour cela, la peur de la révolte suffit.

    C’est un autre effet pervers de la globalisation d’ailleurs: l’affaiblissement général des pouvoirs politiques, jugé bénéfique pour l'économie globalisée à cause de la réduction des tendances nationalistes, accroit la fragilité de ces pouvoirs, et, par conséquent, leur vulnérabilité aux tensions sociales avec leurs effets politiques. La faiblesse du pouvoir politique, qui le fait céder à la menace sociale avant que cette menace ne se manifeste, marque paradoxalement la revanche de l’argument politique sur la pression de l’économie globalisée. La peur politique du pouvoir politique affaibli ne cesse de prendre le dessus. («It is small wonder that India and China are championing the cause of peasants, because governments in both countries fear the wrath of rural communities suffering from rising fuel and food prices and the cost of credit.»
    Quand le Titanic coule, le seul comportement rationnel consiste à s'en éloigner.
    Anonyme du 20ième siècle.

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    • #3
      Etonné que cette actualité ait suscité peu de reactions..Mois d'août peut être

      .Wakila y a eu une Debza entre Inde et USA lors des dernieres negociations OMC



      je vais me pencher sur ça

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      • #4
        bjr Sioux

        Si tu as des documents, des détails à nous faire partager concernant la position de l'Inde, des intérêts US, etc, merci de nous les faire partager.

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        • #5
          De grès ou de force, ils vont coopérer ensemble et trouver des compromis petit à petit, où ça sera là leur fin à tous, et leurs empires tombront pour laisser la place à de nouveaux pôles qui sauront tirer le meilleur de la globalisation, et accepter les sacrifices qui vont avec.
          On ne peut pas avoir le beure et l'argent du beure.
          La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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          • #6
            Geass, je ne crois pas que la Globalisation ait été conçue ou mise en route pour d'autres que les occcidentaux. Son objectif occulte était de convertir les montagnes de dollars accumulées par les banquiers, financiers, fonds occidentaux en valeurs un peu plus tangible.

            Or aujourd'hui un grand nombre de ces "investisseurs" sont ruinés ou dans de grosses difficultés. Ils ne sont plus en position de jouer les accapareurs de ressources.

            Cependant, ne t'imagine pas que les occidentaux vont tolérer, que la Globalisation continue sans eux , que des investisseurs venus d'ailleurs s'emparent de ce qui reste de "valeur tangibles" chez eux ou que par le jeu de la loi du plus riche, les gisements de ressources naturelles soient, par exemple en Afrique, ou en Amérique latine privatisés au profit des chinois ou des fonds privés (ou nationaux) des pays du Golfe.

            La Globalisation c'est un "truc", une magouille présentée par un beau baratin, destinée à faire reprendre aux occidentaux le contrôle des ressources afin de continuer à les dilapider pour fabriquer des gadjets et faire du profit, et rien d'autre. Si tu t'intéresses régulièrement à l'actualité, tu auras sans doute vu que les promoteurs de la Globalisation sont les premiers à la dénoncer lorsqu'elle tourne à leur désavantage. Parce que "ça n'est pas comme ça que ça devait se passer"
            Dernière modification par jardinier, 01 août 2008, 13h08.
            Quand le Titanic coule, le seul comportement rationnel consiste à s'en éloigner.
            Anonyme du 20ième siècle.

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            • #7
              De grès ou de force, ils vont coopérer ensemble et trouver des compromis petit à petit, où ça sera là leur fin à tous

              @Geass

              ta phrase est pleine d'enigmes, grès ou de force, cooperer, compromis, fin de tous...
              Il n'y a pas à zigzaguer, il y'a une guerre economique à couteaux tirés depuis l'emergence de la chine et l'inde, SI ils n'arrivent pas à s'entendre ils ne tomberont pas tous, c'est pas un match amical en foot pour finir en nul, c'est la continuation de cette guerre par d'autres moyens...
              rabbi yestar

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              • #8
                Tout à fait d'accord Tizi. En plus, il y en a qui sont très mauvais joueurs. Du type "si je perds, je renverse la table".

                La "main invisible du marché" est devenue particulièrement visible ces derniers temps et elle est armée.

                D'où l'hyper-activité à propos du Tibet et le silence à propos de la Palestine, de l'Afghanistan et de l'Irak, pour ne citer que ces pays.
                Quand le Titanic coule, le seul comportement rationnel consiste à s'en éloigner.
                Anonyme du 20ième siècle.

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                • #9
                  Oui il y a une guerre économique et il y en a toujours eu.
                  La globalisation a commencé avec l'Empire Romain et est revenu avec la domination US du monde.

                  La globalisation dans un premier temps servait les interets des riches plus que celles des pauvres. Mais avec le développement de cette globalisation, les pauvres ont maintenant des moyens de pression pour faire plier les riches.

                  Des pays comme l'inde ou la Chine en ont profité pour doper leur croissance, et d'autres les talonnent de près, comme le brésil, ou les pays du golf.
                  Tous ont maintenant leur mot à dire, et la tendance ne s'inversera pas.
                  Les riches perdent le monopole sur la richesse et le pouvoir, et vont devoir faire dans le compromis pour sauver la mise.

                  Ils comprendront, que leur véritable interet et dans un travail de groupe et non pas chacun de leur côté.
                  Qu'ils le veuillent ou non, réglementé ou pas, les échanges seront de plus en plus libres, et ceux qui n'accepteront pas de jouer le jeu, se verront damer le pion par les nouveaux acteurs qui montent.

                  Les US se recrovillent sur eux mêmes avec une politique protectioniste, mais ils ne peuvent plus se le permettre, ils vont subir boycot sur boycot, et ça ne sera plus seulement l'UE qui leur imposera des restrictions mais toue la planète. Et il en ira de même pour tout ceux qui croient pouvoir aller contre le système.

                  Grâce à la globalisation le monde arabe rentrera par la grande porte dans les capitaux occidentaux, et une fois encore on pourra se prévaloir d'être puissants et mener une politique basé sur des faits et non plus sur des slogans.
                  La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                  • #10
                    Envoyé par geass
                    Grâce à la globalisation le monde arabe rentrera par la grande porte dans les capitaux occidentaux, et une fois encore on pourra se prévaloir d'être puissants et mener une politique basé sur des faits et non plus sur des slogans.
                    Je crois que tu te fais des illusions. Il n'y a pas plus tricheur que les occidentaux. Ils trouveront un truc pour échapper aux prises de contrôle.

                    Le principal domaine est celui des média. Le jour où je verrai le contrôle des média français passer dans des mains arabes je réviserai mon jugement parce que des tentatives pour contrôler des radios, des télévisions, des journaux, il y en a déjà eu et souvent avec des offres très intéressantes mais l'Europe (et plus spécialement la France) préfère garder le contrôle de ses médias parce que c'est la seule façon pour le lobby sioniste de continuer à vendre ses salades.

                    C'est aussi la voie par laquelle passent tous les autres contrôles.


                    Ceci dit, il y a déjà des contrôles indirects (contrôle par les contrats donc le chômage) de certains pays européens par des capitaux arabes, mais ces contrôles sont destinés à couvrir les activités frauduleuses de quelques individus corrompus.

                    D'ailleurs (et là j'aborde un autre sujet), je me demande si le jeu du Prince Bandar n'est pas destiné à aboutir à une irakisation de l'Arabie Saoudite, prélude à son contrôle. Bandar serait alors le Maliki local.
                    Dernière modification par jardinier, 01 août 2008, 13h30.
                    Quand le Titanic coule, le seul comportement rationnel consiste à s'en éloigner.
                    Anonyme du 20ième siècle.

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                    • #11
                      A roubelard, roubelard et demi
                      S'ils croient nous berner, nous pouvons en faire tout autant.

                      Des gens compétents sont en train d'émerger dans le monde arabe. Et nous arriveront à rentrer dans les capitaux de ces pays.

                      Mr Sarkozy est ouvert à de telles options pour peu que nos pays ne rentrent pas en force et d'un coups.

                      Ce qu'il faut faire, c'est prendre des parts à hauteur de 10% dans plusieurs sociétés, et attendre patiemment que les opportunités apparaissent.

                      Là les gens viendront d'eux mêmes nous proposer d'acheter plus de parts, si on ne se montre pas trop offensif.
                      Il ne faut pas les brusquer

                      Les emiratis l'ont compris. Ils achètent tout ce qui dégringole, les super building à Manhattan, ils rentrent dans les capitaux des bourses européennes. Ils achètent les droits pour construire une sorbonne et un louvre chez eux.
                      Bref ils se vendent et se préparent pour un plus grand plan d'achat.

                      Les Private Equities nous permettrons d'assoir notre position dans le monde. Et nous jouerons à jeu égal avec les occidentaux. On verra qui sait mieux jouer au Poker avec des bonnes mains de chaque côté
                      La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                      • #12
                        Envoyé par geass
                        Mr Sarkozy est ouvert à de telles options pour peu que nos pays ne rentrent pas en force et d'un coups.
                        Euh... ça prouve simplement qu'il ne trouve plus d'argent ailleurs et que ses amis sionistes n'ont pas envie de vrisquer leur argent dans ces valeurs en péril.

                        Tout ce qu'il tente de fourguer sera vendu pour un euro symbolique demain s'il ne trouve pas un pigeon pour l'acheter avant.

                        Il y a de meilleurs investissement à faire dans des pays jeunes et dynamiques, en Corée, en Chine, en Argentine, en Australie, au Brésil et au Venezuela.

                        L'avenir est là-bas. Pourquoi crois-tu que personne n'achète plus en Occident. Parce que l'économie occidentale n'a que les murs de ses sociétés en déficit à vendre. Ses financiers ont préféré investir ailleurs (voir plus haut).

                        Il vaut mieux les concurrencer dans les pays où ils ont décidé d'investir et les laisser mourir de leur belle mort. Voilà une façon de faire la guerre...

                        Et c'est d'autant plus vrai que les pays du sud préfèrent des investisseurs apolitiques venus de pays "pairs" du sud à des investissement impérialistes auxquels il faut adapter sa culture et sa société.
                        Dernière modification par jardinier, 01 août 2008, 14h23.
                        Quand le Titanic coule, le seul comportement rationnel consiste à s'en éloigner.
                        Anonyme du 20ième siècle.

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                        • #13
                          Euh... ça prouve simplement qu'il ne trouve plus d'argent ailleurs et que ses amis sionistes n'ont pas envie de vrisquer leur argent dans ces valeurs en péril.
                          Oui et?
                          C'est à nous de saisir ces opportunités. A trop réfléchir sur ce qu'attendent les autres, on oublie ce que l'on attend nous mêmes. Nous on veut faire de l'argent, eux ils ont besoin de nous, nous on investi, nous on fait du lobying, eux ils acceptent de grès ou de force ce qu'on demande.

                          L'impérialisme New Age, c'est nous qui le ferons, c'est eux qui regarderons faire.

                          Retrousse toi les manches, et ça marchera. Reste planter là, et un autre prendra ta place.
                          La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                          • #14
                            Geass, réfléchis un peu... Une entreprise c'est d'abord des gens. Si ces entreprises étaient rentables on ne les vendrait pas.

                            Ce que je veux dire c'est qu'acheter des entreprises françaises bourrées de salariés vieillissants, exigeants en droits et qui ont oublié de se remettre à niveau n'est pas une bonne affaire. On risque juste de se retrouver à payer des indemnités de licenciement et des avantages divers garantis par le droit social aux français (et inexistants au Maroc par exemple).

                            Tu as envie que le pognon de ton pays finissent dans les diverses caisses françaises sans te rapporter autre chose que la satisfaction d'avoir assuré une retraite heureuse à des salariés français déjà bigrement nantis par rapport à ceux de ton pays ?
                            Quand le Titanic coule, le seul comportement rationnel consiste à s'en éloigner.
                            Anonyme du 20ième siècle.

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