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Le risque terroriste demeure élevé en Algérie

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  • Le risque terroriste demeure élevé en Algérie

    Plus de 100 réseaux de soutien au terrorisme et une trentaine de terroristes ont été éliminés en Algérie par les services de sécurité durant le premier semestre de l’année 2008, a-t-on appris de sources sécuritaires crédibles. Cependant, même très sérieusement affaiblis en logistique et en hommes, les groupes terroristes récalcitrants demeurent violents. Se basant sur des données officielles, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, a, lors d’une intervention, déclaré que moins de 400 terroristes, dirigés par le tristement célèbre Abd El Malek Droukdel, l’émir national du Gspc, sont toujours terrés dans les maquis et demeurent activement recherchés. Des sources très au fait du traitement sécuritaire ont souligné qu’il s’agit, en fait, de terroristes dont l’identité a été établie et ayant fait l’objet d’une condamnation par contumace. Leur nombre a été précisé à 335 hors-la-loi, originaires, pour la majorité, du centre, de l’est et du sud-est du pays.

    Leur âge varie entre 15 et 55 ans. Certains de ces terroristes ont été identifiés comme étant d’ex-éléments du GIA ayant servi sous la coupe de Antar Zouabri. Les condamnations ont été principalement prononcées par les tribunaux de Boumerdès, Bouira, Tizi Ouzou, Batna, Biskra et Jijel. D’ailleurs, c’est au niveau de ces régions que le Gspc demeure toujours actif. Le ministre a également confirmé l’information selon laquelle cette organisation terroriste a procédé à la restructuration de ses rangs, tout en évitant l’idée d’une nouvelle cartographie. En homme averti, le ministre savait bien que les nouvelles données, ressemblent autant à celles établies par le GIA juste avant la neutralisation de Antar Zouabri et que le Gspc n’avait aucune stratégie nouvelle.

    Après la neutralisation du GIA, le Gspc, qui entretenait déjà des relations avec Al Qaîda, avait juste pris le contrôle des zones en rassemblant sous sa coupe, les dissidents des autres organisations terroristes autonomes. Si bien que même le nouveau découpage du Gspc est la copie exacte de celui adopté quelques années auparavant par le GIA sauf qu’il comprend quatre zones au lieu de huit, comme nous l’avons déjà rapporté dans nos précédentes publications. Son noyau dur demeure en Kabylie. Ce plan d’action déjà connu des services de sécurité ne semble pas réussir au Gspc, qui ne cesse de comptabiliser les échecs. Au centre et à l’est du pays plusieurs attentats ont été déjoués et des incursions ont été repoussées, notamment à Skikda, Jijel, Boumerdès et Tizi Ouzou. Les services de sécurité ont enregistré un recul notable des attentats tout en évitant de parler du dernier quart d’heure du Gspc. Cette résistance serait due au fait que le nombre de terroristes en activité serait beaucoup plus important que le nombre officiellement indiqué. Néanmoins, cela permettra aux forces de sécurité de mener des opérations d’investigation plus précises puisqu’elles tiennent compte des terroristes qui ne sont pas fichés. Il s’agit, notamment de ceux du centre et de l’est du pays.

    source : l'Expression

  • #2
    le risque terroriste existe dans d'autre pays , la Turquie, le Liban...........

    En Algérie il a une incidence sur les investissements et le tourisme; boycott du pays.
    Mr NOUBAT

    Commentaire


    • #3
      Le pire en algerie c'est que tout devient difficile voire impossible de nuancer entre les terroristes, les bandits, les voleurs, les coupures de routes, les kidnappeurs..........etc

      Allah yester les innocents

      Commentaire

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