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Mon frère avec son ami discutait sur leurs femmes respectives après quelques années. Le ménage et les enfants la femme se laisse aller au point ou
Un jour raconta t’il a mon frère j’étais convié avec ma femme a un mariage d’un proche. Comme tu sais le protocole des femmes et leurs nervosité j’ai préféré dit il la revoir au mariage que plutôt l’accompagner car souvent on se chamaillait et le degré monte et j’aime pas me voir nerveu.
Comme je te le disait j’arrive au mariage nous avons pris nous les hommes le dîner en compagnie du marie puis après c’était le la folie. La musique battait son plein et comme tous les marié j’ai prie une chaise au coin une cigarette dans une main et le café dans un autre je plongeait dans l’ambiance sans y participer. Alors au font je remarque une bombe elle était d’une beauté magnifique et de temps en temps nos regards se croisent et de temps en temps elle se souriait. J’ai fait le tours de la salle avec mes yeux pour chercher ma femme elle n’y était pas, alors je me suis dit sûrement elle est en cuisine entrain de donner un coup de main aux femmes de la mariée.
Sincèrement rajoute t’il cette femme m’enflammait avec ce sourire et puis tu sais frère comme on dit le pêché est toujours bnine, c’est une femme qui me l’avait avoué une fois.
Sans hésitation je lui faisait un coup d’œil, mon cœur allait s’arrêter et on dirait que j’ai reculé vers mes 18 ans. C’était sensationnel. Elle souriait et me fit le même coup d’œil. Alors là j’ai perdu les pédale car il faut la voire et dans ce cafouillage je risquais gros. Mais j’avais perdu tout contrôle et je lui fis un signe de tête pour se détacher. Elle comprit et je la vis aller vers le couloire. J’écrase ma cigarette je retient mon souffle et je m’excuse devant mon compagnon pour lui dire je vais aller prendre l’air. Elle était la dans le couloir me donnant le dos je l’accroche par le bras en le poussant vers l’extérieur. Je te le jure kader j’étais devenu fou. Dehors il faisait sombre a peine je voyais son visage, et elle me demandait si elle plaisait j’ai répondu comme un con oui est comment. Des que j’au voulu me précipiter elle me prononça mon nom. Je l’avoue elle m’a gelé. Je lui demande alors comment elle me connaissait, elle répondit comme ça sans rien rajouter. En la regardant de prés imagines qui c’était. C’était ma femme. Je me sentait en même temps heureux et en même temps un peu trahit. Mais ça m’avait fait plaisir.
Un jour raconta t’il a mon frère j’étais convié avec ma femme a un mariage d’un proche. Comme tu sais le protocole des femmes et leurs nervosité j’ai préféré dit il la revoir au mariage que plutôt l’accompagner car souvent on se chamaillait et le degré monte et j’aime pas me voir nerveu.
Comme je te le disait j’arrive au mariage nous avons pris nous les hommes le dîner en compagnie du marie puis après c’était le la folie. La musique battait son plein et comme tous les marié j’ai prie une chaise au coin une cigarette dans une main et le café dans un autre je plongeait dans l’ambiance sans y participer. Alors au font je remarque une bombe elle était d’une beauté magnifique et de temps en temps nos regards se croisent et de temps en temps elle se souriait. J’ai fait le tours de la salle avec mes yeux pour chercher ma femme elle n’y était pas, alors je me suis dit sûrement elle est en cuisine entrain de donner un coup de main aux femmes de la mariée.
Sincèrement rajoute t’il cette femme m’enflammait avec ce sourire et puis tu sais frère comme on dit le pêché est toujours bnine, c’est une femme qui me l’avait avoué une fois.
Sans hésitation je lui faisait un coup d’œil, mon cœur allait s’arrêter et on dirait que j’ai reculé vers mes 18 ans. C’était sensationnel. Elle souriait et me fit le même coup d’œil. Alors là j’ai perdu les pédale car il faut la voire et dans ce cafouillage je risquais gros. Mais j’avais perdu tout contrôle et je lui fis un signe de tête pour se détacher. Elle comprit et je la vis aller vers le couloire. J’écrase ma cigarette je retient mon souffle et je m’excuse devant mon compagnon pour lui dire je vais aller prendre l’air. Elle était la dans le couloir me donnant le dos je l’accroche par le bras en le poussant vers l’extérieur. Je te le jure kader j’étais devenu fou. Dehors il faisait sombre a peine je voyais son visage, et elle me demandait si elle plaisait j’ai répondu comme un con oui est comment. Des que j’au voulu me précipiter elle me prononça mon nom. Je l’avoue elle m’a gelé. Je lui demande alors comment elle me connaissait, elle répondit comme ça sans rien rajouter. En la regardant de prés imagines qui c’était. C’était ma femme. Je me sentait en même temps heureux et en même temps un peu trahit. Mais ça m’avait fait plaisir.
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