Aux pages mortes de notre amour en détresse
Je dédie des mots avides de
Voltiges dans le néant et le vide,
Des mots pesants
Qui pourraient déchaîner ton monde d’altesse…
S’inoculer comme un magique poison dans tes veines
Et faire vibrer ton cœur qui, depuis notre rupture
Lointaine, souffre de sa solitude et peine !
….
A l’amour pendu sous la dernière fine pluie,
Pluie qui ne s’est
Abattue sur moi comme ça faisait dans le temps !
J’écris des mots…
Sous l’impulsion de l’esprit tordu et de l’amour fou,
Rien que pour toi,
Pour que tu viennes quelques temps, à l’entracte des
Absences, poussé par la force de ’’tu me manques’’…
Et l’impuissance des alouettes à te remplacer !
A la lumière du réverbère de la rue qui ne s’est jamais
Eteinte, je chiffonne des mots pour notre errance.
Je m’en plains tellement que tu t’effaces encore
De mes yeux rêveurs et mon cœur coureur !
T’ai-je manqué une seule seconde dans cet univers
Qui gronde, t’ai-je piqué une goutte de larme une fois
Où tout était parfait, du temps de notre connivence ?
Ça me manque en tout cas de respirer l’haleine
D’un cœur fondu et caresser des mains aux armes rendues.
J’ai la tête à fredonner encore notre premier refrain et l’image
De ton visage au départ du dernier train !
Le quai était vide et la nuit balayait
Mon espoir livide
De revoir ton beau visage nu,
Nu comme la nature,
Beau sans rature,
Ardent sans rupture !
Combien me manquerais-tu encore ?
Que fais-tu : je me le demande,
À quoi penses-tu Fatma, si seulement
Je pourrais en avoir le cœur net ?
Samir 01/08/2008
Je dédie des mots avides de
Voltiges dans le néant et le vide,
Des mots pesants
Qui pourraient déchaîner ton monde d’altesse…
S’inoculer comme un magique poison dans tes veines
Et faire vibrer ton cœur qui, depuis notre rupture
Lointaine, souffre de sa solitude et peine !
….
A l’amour pendu sous la dernière fine pluie,
Pluie qui ne s’est
Abattue sur moi comme ça faisait dans le temps !
J’écris des mots…
Sous l’impulsion de l’esprit tordu et de l’amour fou,
Rien que pour toi,
Pour que tu viennes quelques temps, à l’entracte des
Absences, poussé par la force de ’’tu me manques’’…
Et l’impuissance des alouettes à te remplacer !
A la lumière du réverbère de la rue qui ne s’est jamais
Eteinte, je chiffonne des mots pour notre errance.
Je m’en plains tellement que tu t’effaces encore
De mes yeux rêveurs et mon cœur coureur !
T’ai-je manqué une seule seconde dans cet univers
Qui gronde, t’ai-je piqué une goutte de larme une fois
Où tout était parfait, du temps de notre connivence ?
Ça me manque en tout cas de respirer l’haleine
D’un cœur fondu et caresser des mains aux armes rendues.
J’ai la tête à fredonner encore notre premier refrain et l’image
De ton visage au départ du dernier train !
Le quai était vide et la nuit balayait
Mon espoir livide
De revoir ton beau visage nu,
Nu comme la nature,
Beau sans rature,
Ardent sans rupture !
Combien me manquerais-tu encore ?
Que fais-tu : je me le demande,
À quoi penses-tu Fatma, si seulement
Je pourrais en avoir le cœur net ?
Samir 01/08/2008
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