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Lors des célébrations de la fête nationale ou du Festival de feux d’artifices, s’échelonnant sur plusieurs semaines, les émanations qui s’échappent des explosifs inquiètent certains citoyens.
Les personnes souffrant de maladies respiratoires craignent de ressentir les effets de l’échappement de ces particules fines en suspension. Doit-on s’inquiéter de ce taux anormalement élevé de polluants dans l’air suite à ces spectacles haut en couleur?
Les employés d’un centre de surveillance, situé non loin du lieu de la mise à feu, procédèrent à l’enregistrement d’un taux dix fois plus élevé de pollution atmosphérique, dans l’heure suivant le lancement de feux d’artifices. Montréal accueille chaque année les représentants de dix pays qui offrent chacun au public une prestation pyrotechnique dont la durée atteint parfois trente minutes. La Direction de la santé publique de Montréal désire entreprendre une étude sur les effets nocifs de l’inhalation de ces particules, suite au déroulement de nombreux feux d’artifices hebdomadaires en un même lieu.
Le souffre, le baryum, le magnésium , le chlore et le sulfure constituent les éléments entrant dans la fabrication des pièces pyrotechniques. Ces substances ne demeurent dans les airs au dessus du quartier où l’on effectue les observations qu’une heure ou deux. Depuis 2002, à Montréal, le maître de cérémonie précise avant le début du spectacle que la fumée pourrait incommoder les gens aux prises avec des difficultés respiratoires. Les habitants du quartier riverain témoigne d’une forte odeur de souffre et de la présence d’un brouillard de particules lors de ces feux.
Doit-on s’inquiéter de ce taux anormalement élevé de polluants dans l’air suite à ces spectacles haut en couleur? La beauté du spectacle et les bénéfices économiques qui s’ensuivent relégueront-ils aux oubliettes les risques inhérents à ces activités récréatives? Dans l’attente des résultats de l’étude projetée, les spectateurs prendront garde de demeurer trop longtemps aux abords de l’emplacement des feux.
Source: Cyberpresse
Les personnes souffrant de maladies respiratoires craignent de ressentir les effets de l’échappement de ces particules fines en suspension. Doit-on s’inquiéter de ce taux anormalement élevé de polluants dans l’air suite à ces spectacles haut en couleur?
Les employés d’un centre de surveillance, situé non loin du lieu de la mise à feu, procédèrent à l’enregistrement d’un taux dix fois plus élevé de pollution atmosphérique, dans l’heure suivant le lancement de feux d’artifices. Montréal accueille chaque année les représentants de dix pays qui offrent chacun au public une prestation pyrotechnique dont la durée atteint parfois trente minutes. La Direction de la santé publique de Montréal désire entreprendre une étude sur les effets nocifs de l’inhalation de ces particules, suite au déroulement de nombreux feux d’artifices hebdomadaires en un même lieu.
Le souffre, le baryum, le magnésium , le chlore et le sulfure constituent les éléments entrant dans la fabrication des pièces pyrotechniques. Ces substances ne demeurent dans les airs au dessus du quartier où l’on effectue les observations qu’une heure ou deux. Depuis 2002, à Montréal, le maître de cérémonie précise avant le début du spectacle que la fumée pourrait incommoder les gens aux prises avec des difficultés respiratoires. Les habitants du quartier riverain témoigne d’une forte odeur de souffre et de la présence d’un brouillard de particules lors de ces feux.
Doit-on s’inquiéter de ce taux anormalement élevé de polluants dans l’air suite à ces spectacles haut en couleur? La beauté du spectacle et les bénéfices économiques qui s’ensuivent relégueront-ils aux oubliettes les risques inhérents à ces activités récréatives? Dans l’attente des résultats de l’étude projetée, les spectateurs prendront garde de demeurer trop longtemps aux abords de l’emplacement des feux.
Source: Cyberpresse