Synthèse de Badiaa Amarni
Abdallah Al Attiyah, ministre de l’Energie du Qatar, pays membre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), a déclaré que cette dernière «devrait peut-être ajuster à la baisse sa production si la demande ralentit».
Dans une déclaration à l’AFP, il a précisé que les discussions sur l’offre et la demande seront abordées lors de la réunion de septembre prochain. «Si la demande ralentit, nous discuterons du besoin d’ajuster l’offre à la baisse», a-t-il soutenu. «Bien sûr, il est trop tôt pour juger», a-t-il précisé.
A rappeler que la réunion de l’OPEP se tiendra le 9 septembre prochain à Vienne en Autriche.
De son côté, le ministre iranien du Pétrole, Gholam Hossein Nozari, a affiché hier son souhait de voir les pays membres du cartel pétrolier «contrôler avec plus de rigueur leur production en perspective notamment d’une poursuite de la baisse des prix». Selon lui, «si la chute des prix se poursuit, l’OPEP devra faire preuve de plus de vigilance dans le contrôle des quotas puisque certains pays dépassent largement le seuil de production fixé officiellement». Cette question de contrôle des quotas sera un des sujets sérieux qui seront mis sur la table à
l’occasion de la réunion de Vienne, a tenu encore à faire savoir le ministre iranien du Pétrole.
Faut-il rappeler que les prix du pétrole, après une envolée spectaculaire atteignant un record de plus de 147 dollars au 11 juillet dernier, commencent à connaître une baisse puisqu’il a perdu environ 20 dollars.
Le ministre algérien de l’Energie et des Mines a toujours soutenu que cette flambée des prix du brut est due à des problèmes géostratégiques et à la dépréciation de la valeur du dollar et non à l’offre et la demande.
Cette même vision est partagée avec l’Iran qui soutient que le prix élevé du pétrole «résulte avant tout d’une spéculation sur les marchés internationaux et de la chute du dollar sur le marché des changes». Par contre, les pays consommateurs estiment que cette augmentation est due à une insuffisance de l’offre par rapport à la demande.
Abdallah Al Attiyah, ministre de l’Energie du Qatar, pays membre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), a déclaré que cette dernière «devrait peut-être ajuster à la baisse sa production si la demande ralentit».
Dans une déclaration à l’AFP, il a précisé que les discussions sur l’offre et la demande seront abordées lors de la réunion de septembre prochain. «Si la demande ralentit, nous discuterons du besoin d’ajuster l’offre à la baisse», a-t-il soutenu. «Bien sûr, il est trop tôt pour juger», a-t-il précisé.
A rappeler que la réunion de l’OPEP se tiendra le 9 septembre prochain à Vienne en Autriche.
De son côté, le ministre iranien du Pétrole, Gholam Hossein Nozari, a affiché hier son souhait de voir les pays membres du cartel pétrolier «contrôler avec plus de rigueur leur production en perspective notamment d’une poursuite de la baisse des prix». Selon lui, «si la chute des prix se poursuit, l’OPEP devra faire preuve de plus de vigilance dans le contrôle des quotas puisque certains pays dépassent largement le seuil de production fixé officiellement». Cette question de contrôle des quotas sera un des sujets sérieux qui seront mis sur la table à
l’occasion de la réunion de Vienne, a tenu encore à faire savoir le ministre iranien du Pétrole.
Faut-il rappeler que les prix du pétrole, après une envolée spectaculaire atteignant un record de plus de 147 dollars au 11 juillet dernier, commencent à connaître une baisse puisqu’il a perdu environ 20 dollars.
Le ministre algérien de l’Energie et des Mines a toujours soutenu que cette flambée des prix du brut est due à des problèmes géostratégiques et à la dépréciation de la valeur du dollar et non à l’offre et la demande.
Cette même vision est partagée avec l’Iran qui soutient que le prix élevé du pétrole «résulte avant tout d’une spéculation sur les marchés internationaux et de la chute du dollar sur le marché des changes». Par contre, les pays consommateurs estiment que cette augmentation est due à une insuffisance de l’offre par rapport à la demande.
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