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Selon son bilan semestriel publié récemment en Algérie, le groupe français Lafarge, qui a repris la cimenterie Orascom de M’sila, a réalisé un important bénéfice.
D’ailleurs, ses responsables ont fait part de leur satisfaction devant ces résultats, estimant que l’investissement dans les pays émergents est plus que porteur. Ces marchés sont effectivement les plus potentiellement porteurs actuellement.
C’est en tout cas la conviction des géants industriels mondiaux, notamment français, qui comptent ne pas rater l’occasion d’y investir encore davantage, en Algérie entre autres. Bruno Lafont, PDG de Lafarge, premier cimentier mondial, estime que, malgré les incidents techniques survenus dans les nouvelles usines de l’Egyptien Orascom Ciment en Algérie, rachetées l’an passé par Lafarge, « notre stratégie dans les pays émergents porte ses fruits ». Selon ce responsable, « les marchés émergents ont affiché au premier semestre une croissance de 7% de leurs chiffres d’affaires et représenté 67% des résultats de l’activité Ciment du groupe ». « Avec Orascom, nous avons un vrai booster », s’est réjoui le P-DG de Lafarge dont le groupe compte bien poursuivre ses investissements dans notre pays. « Un marché porteur » non seulement pour Lafarge mais aussi pour France Telecom.
L’opérateur de téléphonie mobile qui vient, lui aussi, de publier des résultats satisfaisants compte s’implanter, tôt ou tard, sur le marché algérien. Présent en France, en Espagne et en Grande-Bretagne, le géant français du mobile, qui enregistre un certain recul de ses ventes en Europe, compte bien se rattraper dans d’autres marchés, notamment algérien. Ses dirigeants qui ont accompagné le président français lors de sa dernière visite en Algérie, se disent prêts à investir dans notre pays avec la possibilité de rentrer dans la concurrence pour le rachat d’Algérie Telecom.
Par ailleurs, c’est un autre grand groupe financier qui fait les yeux doux au marché national. S’inscrivant dans la même démarche que les grandes entreprises du CAC 40, Groupama enchaîne les opérations de taille moyenne. L’assureur vert compte beaucoup sur notre marché. Son objectif : figurer dans le « Top 10 » européen à l’horizon de 2012. D’autres entreprises françaises de moyenne envergure n’hésitent pas, elles non plus, à inscrire dans leur agenda un éventuel investissement en Algérie.
Ainsi, le groupe laitier Gervais Pellissier y évoque des projets en cours. La Société des Eaux de Marseille va gérer, elle, l’eau et l’assainissement à Constantine. Le groupe « Chèque Déjeuner », numéro trois mondial de l’émission de titres et cartes de services compte également s’implanter en Algérie. Autant d’entreprises de l’Hexagone qui ont l’intention de s’installer dans un marché algérien de plus en plus convoité par des sociétés de pays comme l’Allemagne et l’Espagne.
Tahar A.O.
La Voix de L’Oranie
D’ailleurs, ses responsables ont fait part de leur satisfaction devant ces résultats, estimant que l’investissement dans les pays émergents est plus que porteur. Ces marchés sont effectivement les plus potentiellement porteurs actuellement.
C’est en tout cas la conviction des géants industriels mondiaux, notamment français, qui comptent ne pas rater l’occasion d’y investir encore davantage, en Algérie entre autres. Bruno Lafont, PDG de Lafarge, premier cimentier mondial, estime que, malgré les incidents techniques survenus dans les nouvelles usines de l’Egyptien Orascom Ciment en Algérie, rachetées l’an passé par Lafarge, « notre stratégie dans les pays émergents porte ses fruits ». Selon ce responsable, « les marchés émergents ont affiché au premier semestre une croissance de 7% de leurs chiffres d’affaires et représenté 67% des résultats de l’activité Ciment du groupe ». « Avec Orascom, nous avons un vrai booster », s’est réjoui le P-DG de Lafarge dont le groupe compte bien poursuivre ses investissements dans notre pays. « Un marché porteur » non seulement pour Lafarge mais aussi pour France Telecom.
L’opérateur de téléphonie mobile qui vient, lui aussi, de publier des résultats satisfaisants compte s’implanter, tôt ou tard, sur le marché algérien. Présent en France, en Espagne et en Grande-Bretagne, le géant français du mobile, qui enregistre un certain recul de ses ventes en Europe, compte bien se rattraper dans d’autres marchés, notamment algérien. Ses dirigeants qui ont accompagné le président français lors de sa dernière visite en Algérie, se disent prêts à investir dans notre pays avec la possibilité de rentrer dans la concurrence pour le rachat d’Algérie Telecom.
Par ailleurs, c’est un autre grand groupe financier qui fait les yeux doux au marché national. S’inscrivant dans la même démarche que les grandes entreprises du CAC 40, Groupama enchaîne les opérations de taille moyenne. L’assureur vert compte beaucoup sur notre marché. Son objectif : figurer dans le « Top 10 » européen à l’horizon de 2012. D’autres entreprises françaises de moyenne envergure n’hésitent pas, elles non plus, à inscrire dans leur agenda un éventuel investissement en Algérie.
Ainsi, le groupe laitier Gervais Pellissier y évoque des projets en cours. La Société des Eaux de Marseille va gérer, elle, l’eau et l’assainissement à Constantine. Le groupe « Chèque Déjeuner », numéro trois mondial de l’émission de titres et cartes de services compte également s’implanter en Algérie. Autant d’entreprises de l’Hexagone qui ont l’intention de s’installer dans un marché algérien de plus en plus convoité par des sociétés de pays comme l’Allemagne et l’Espagne.
Tahar A.O.
La Voix de L’Oranie