Mon Dieu, que faire, face à la violence
de ces éléments qui se déchainent !
Et, que dire face, à la folie des hommes
qui nous enchaine !
mon coeur vit dans la douleur
d'un coeur, terré là bas
dans les profondeurs,
des ergastules !
Du sang,
de la peur...
Je le sens !
Et je ne peux me taire !
Que doit-on faire ?
Pourquoi faut-il
que ta pensée soit mienne ?
Toi, qui ne penses que par toi-même !
Par quel sortilège,
as-tu subtilisé
mon âme rebelle ?
Pour la soudoyer de tes privilèges
ou la damner,
dans l'orgueil de ton monde
immonde !
Peut-on baillonner le silence ?
Peut-on arrêter le temps
qui avance ?
Peut-on sabouler les consciences ?
les réminiscences ?
Peut-on revêtir l'indécence,
à l'innocence ?
On ne peut maltraiter les morts !
Ils scrutent nos consciences,
et leurs voix sourdes
nous interpellent,
au délà des chapelles !
Non, il y a des silences
qui bavardent et qui osent
poser le regard de l'amertume
sur le linceul qui recouvre
les corps
et les sens de nos paroles violées,
dénaturées et serviles !
Et les hante !
Où sont vos scribes, vos laquais
vos larbins, vos sycophantes ?
vos sbires ?
Ceux qui édulcorent
vos actes les plus vils !
Personne n'arrêtera jamais les soupirs,
de la rivière,
fière et altière !
On peut la détourner,
mais elle continuera à chanter,
à sa façon, les de profundis
à la mémoire,
de ceux qui, l'orgueil de l'histoire
a déracinés,
dans leurs tombes
anonymes et disséminées
en traîtres,
dans la tourbe de l'oubli,
enfouies dans les méandres
des tertres,
de cette terre qui les a vu naître !
Pourquoi, mon Dieu faut-il encore
et encore...
croire, à toutes ces farandoles
de morts,
sur l'esplanade du doute
où toutes ces joutes
bercent nos espoirs,
par leurs clameurs !
Et ravivent sur le chemin
de ces lieux,
les douleurs
qui trompent !
De nos coeurs,
oh! Mon Dieu,
que s'estompent,
nos frayeurs...
Pour des lendemains
meilleurs !
A+
*********************
Je n'aime pas la guerre, cette monstruosité inventée par l'homme! Et, si je la fais, c'est pour préserver la paix !
( GoutdeMiel )
de ces éléments qui se déchainent !
Et, que dire face, à la folie des hommes
qui nous enchaine !
mon coeur vit dans la douleur
d'un coeur, terré là bas
dans les profondeurs,
des ergastules !
Du sang,
de la peur...
Je le sens !
Et je ne peux me taire !
Que doit-on faire ?
Pourquoi faut-il
que ta pensée soit mienne ?
Toi, qui ne penses que par toi-même !
Par quel sortilège,
as-tu subtilisé
mon âme rebelle ?
Pour la soudoyer de tes privilèges
ou la damner,
dans l'orgueil de ton monde
immonde !
Peut-on baillonner le silence ?
Peut-on arrêter le temps
qui avance ?
Peut-on sabouler les consciences ?
les réminiscences ?
Peut-on revêtir l'indécence,
à l'innocence ?
On ne peut maltraiter les morts !
Ils scrutent nos consciences,
et leurs voix sourdes
nous interpellent,
au délà des chapelles !
Non, il y a des silences
qui bavardent et qui osent
poser le regard de l'amertume
sur le linceul qui recouvre
les corps
et les sens de nos paroles violées,
dénaturées et serviles !
Et les hante !
Où sont vos scribes, vos laquais
vos larbins, vos sycophantes ?
vos sbires ?
Ceux qui édulcorent
vos actes les plus vils !
Personne n'arrêtera jamais les soupirs,
de la rivière,
fière et altière !
On peut la détourner,
mais elle continuera à chanter,
à sa façon, les de profundis
à la mémoire,
de ceux qui, l'orgueil de l'histoire
a déracinés,
dans leurs tombes
anonymes et disséminées
en traîtres,
dans la tourbe de l'oubli,
enfouies dans les méandres
des tertres,
de cette terre qui les a vu naître !
Pourquoi, mon Dieu faut-il encore
et encore...
croire, à toutes ces farandoles
de morts,
sur l'esplanade du doute
où toutes ces joutes
bercent nos espoirs,
par leurs clameurs !
Et ravivent sur le chemin
de ces lieux,
les douleurs
qui trompent !
De nos coeurs,
oh! Mon Dieu,
que s'estompent,
nos frayeurs...
Pour des lendemains
meilleurs !
A+
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Je n'aime pas la guerre, cette monstruosité inventée par l'homme! Et, si je la fais, c'est pour préserver la paix !
( GoutdeMiel )
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