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Les partisans de Droukdel exécutent un plan des services de renseignement étrangers

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  • Les partisans de Droukdel exécutent un plan des services de renseignement étrangers

    Bonjour


    Madani Mezrag, l’Emir de l’ex « Armée Islamique du Salut » refuse d’attribuer « le mérite » du projet de la réconciliation nationale au président Abdelaziz Bouteflika. Dans une interview accordée à El Khabar, il a déclaré que l’accord de trêve de 1997 n’a aucun rapport avec la concorde civile. Par ailleurs, il estime que les « partisans de l’émir d’Al Qaida adhèrent à un plan élaboré par les services de renseignements étrangers sans en être conscients ».
    El Khabar : En tant qu’ex émir d’un groupe armé, est-ce que la dernière série d’attentats suicides représente un signe de force des groupes armés ?

    Madani Mezrag : La chose dont je suis certain, c’est qu’il est dans la possibilité du régime en place de résoudre la crise. Pour ce qui est des groupes armés, nous devons savoir que dans le cas où il ne reste que cinq terroristes dans le maquis, avec la prédisposition de nuire à l’Etat algérien, ils le feront quand ils le voudront. Il n’y a pas de chose plus facile que de placer une bombe dans une rue ou de démolir un transformateur électrique, ou même de cibler un bâtiment de police.
    Toutefois et malheureusement, les gens commentent des événements et ne cherchent pas à connaître leurs raisons. Ce qui se passe actuellement est un résultat d’une série d’événements qui sont connus par tout le monde et qui ont commencé le 5 Octobre 1988. Le pouvoir sait que le peuple refuse de continuer à vivre dans un pays caractérisé par les classes sociales et une politique de deux poids deux mesures.

    El Khabar : Est-ce qu’à votre avis, l’initiateur du projet, le Président de la République M. Abdelaziz Bouteflika applique la vraie réconciliation nationale ?

    Madani Mezrag : Le président de la République n’est pas l’initiateur du projet comme prétend Ouyahia, qui déclare toujours que c’est Bouteflika qui possède les droits d’auteurs de la réconciliation. Cela est faux et n’est qu’une surenchère.
    Ouyahia sait parfaitement que l’application effective du projet sur le terrain a été en 1995 et que ce dernier a donné ses fruits en 1997, en aboutissant à une trêve. La réconciliation a commencé deux ans avant l’arrivée de Bouteflika au pouvoir. Il a trouvé prêt et la trêve et la réconciliation.

    El Khabar : Vous parlez de la période de la concorde nationale et non pas de la réconciliation ?

    Madani Mezrag : Non, l’accord qui a été conclu entre nous et le Commandement de l’Etat Major, représenté, alors, par le Général Ismail Lamari, portait le nom de concorde civile et non pas de réconciliation nationale.
    Nous tenons à informer l’opinion publique que nous n’avions pas reconnu la concorde nationale étant donné qu’il s’agit de lois qui ont été destinées à des criminels sanguinaires qui ont perpétré des crimes dans ce pays.
    Quand le président a pris les reines du pays, la trêve avait touché la majorité des régions de l’Algérie. Il ne manquait alors que la plateforme juridique et la couverture politique, qui devait être exécutées par Liamine Zeroual, qui a décidé de se retirer pour des raisons bien déterminées.

    El Khabar : Ou en est le mouvement politique des protagonistes du FIS ?

    Madani Mezrag : Le projet tient toujours et nous y travaillons en toute liberté. Les frères ont toujours les mêmes idées, et nous attendons la bonne occasion pour trancher. Contrairement à ce que pensent certains, nous ne sommes pas confrontés à un problème d’accréditation. Je vous affirme que nous pouvons organiser un congrès par n’importe quel moyen et à n’importe quel moment. Le ministre de l’Intérieur est libre de nous accorder ou pas son autorisation, comme il n’est pas nécessaire d’obtenir l’autorisation.


    El Khabar : Croyez-vous donc que les partisans de Droukdel font partie d’un plan élaboré par des services de renseignements étrangers ?

    Madani Mezrag : Oui, effectivement, ils y sont mais de manière inconsciente. Toutefois, je ne nie pas le fait que la plupart d’entre eux soit sincère dans sa prédisposition à mourir pour l’Islam.

    El Khabar

  • #2
    Madani Mezrag : Oui, effectivement, ils y sont mais de manière inconsciente. Toutefois, je ne nie pas le fait que la plupart d’entre eux soit sincère dans sa prédisposition à mourir pour l’Islam.
    va crever en enfer toi et tes acolytes
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      madani merzag c est comment ces generaux il s est lance dans l import export et il s est des milliard il blanchis sont argent du rakette

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      • #4
        Avant qu'il n' y ait les Zouabri,Droukdel et autres zombies, il y'a eu d'abord les Abassi,Belhadj et autres Mezrag.
        Le plus désolant, c'est El Khabar ,le plus gros tirage de la presse ,qui donne la parole à de sinistres personnages juste pour augmenter son lectorat...!

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        • #5
          Il n’y a pas de chose plus facile que de placer une bombe dans une rue.
          Oui, et le peuple vous applaudira.
          Nous pouvons organiser un congrès par n’importe quel moyen et à n’importe quel moment. Le ministre de l’Intérieur est libre de nous accorder ou pas son autorisation, comme il n’est pas nécessaire d’obtenir l’autorisation.
          Essayez toujours…
          Je ne nie pas le fait que la plupart d’entre eux soit sincère dans sa prédisposition à mourir pour l’Islam.
          Il est toujours convaincu que, pour servir l’Islam, il faut massacrer ses concitoyens.

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          • #6
            Madani Mezrag : La chose dont je suis certain, c’est qu’il est dans la possibilité du régime en place de résoudre la crise.
            Traduction: Si tout le monde se couche (reddition de l'État Algérien), la crise trouvera sa solution!!!
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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            • #7
              Madani Mezrag : Oui, effectivement, ils y sont mais de manière inconsciente. Toutefois, je ne nie pas le fait que la plupart d’entre eux soit sincère dans sa prédisposition à mourir pour l’Islam.
              Moi je comprend de cette phrase qu'il veux recruter les criminels de Droukal pour tuer ses concitoyens avec ses ordres.

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              • #8
                Mezrag n'a jamais caché qu'il avait lui même tué des militaires et autres représentants de l'ordre de ses mains :

                Madani Mezrag, un assassin qui s’assume ? « Oui, j’ai tué de mes propres mains », avoue-t-il sans la moindre gêne. Son premier assassinat ? Mezrag le raconte d’une voix dépourvue d’émotion. « C’était en 1993, dans la région de Jijel, au cours d’une embuscade dressée contre un convoi militaire. Le jeune militaire agonisait encore lorsque j’ai arraché le Kalachnikov de ses mains. J’ai gardé cette arme pendant plusieurs années, mais je l’ai toujours détestée. Pourquoi ? Parce qu’elle m’a toujours rappelé les râles de ce militaire au moment où il rendait l’âme. »
                Au fait, qui a voté pour l'amnistie de ce genre d'individu ? pas moi.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  Il aurait du être jugé et tué pour les crimes qu'il a commis et qu'il reconnaît

                  Madani Mezrag, un assassin qui s'assume ? « Oui, j'ai tué de mes propres mains », avoue-t-il sans la moindre gêne. Son premier assassinat ? Mezrag le raconte d'une voix dépourvue d'émotion. « C'était en 1993, dans la région de Jijel, au cours d'une embuscade dressée contre un convoi militaire. Le jeune militaire agonisait encore lorsque j'ai arraché le Kalachnikov de ses mains. J'ai gardé cette arme pendant plusieurs années, mais je l'ai toujours détestée. Pourquoi ? Parce qu'elle m'a toujours rappelé les râles de ce militaire au moment où il rendait l'âme. »
                  Ce n'est pas la seule fois que cet homme tuera de ses propres mains. Un haut responsable de l'armée raconte volontiers que Madani Mezrag a éborgné un soldat avec une fourche avant de le découper en morceaux. Madani Mezrag assume tout, les morts et la lutte armée contre l'État algérien, mais fait le distinguo entre l'AIS et les GIA (Groupes islamiques armés), responsables de massacres collectifs et de tueries aussi barbares qu'inhumaines. « L'AIS, l'organisation que j'ai dirigée, ne s'est jamais attaquée aux civils », prétend-il.
                  « Les prisonniers étaient systématiquement tués, raconte-t-il. Bien sûr, sur le plan humain cela me touchait mais, en tant que chef de guerre, je ne devais pas m'encombrer d'états d'âme. Il fallait tuer ou être tué. »
                  Madani Mezrag ne regrette rien
                  ALGÉRIE - 25 décembre 2005 - par FARID ALILAT, ENVOYÉ SPÉCIAL À JIJEL
                  Jeune Afrique


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                  • #10
                    quand je lie ce genre d article en meme temps je vois les video d ambuscade sur des militaires (je vous evite les details ) je me die que ce genre ( d homme ou animal et encore que l animal ne tue que par necessite)en liberte est tres dangereux pour l algerie trop de souvenir a travers ce genre de personnage pour reelement en finir avec les annee massacre et terrorisme

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                    • #11
                      Questions

                      Pour les services secrets:

                      Certainement que les uns et les autres émargent à des officines différentes. Et de ce point de vue la déclaration du porte coteau du parti de Abès et Benhadj perd de son brillant; tant, en toute raison, elle ne peut avoir d'importance.

                      Pour la question de l'agrément du néo-fis:

                      Ce qui étonne ce ne sont pas tant les déclarations de ce chef terroriste-blanchi; mais plus celles du ministre de l'intérieur. Zerhouni insiste sur sa position et non sur celle de l'exécutif ou du pouvoir. A bien y regarder les propos du ministre suggéreraient même une menace de démission.

                      Les déclarations de Yazid zerhouni font échos aux propos tenus dans les colonnes d'EL khabar : Le ministre de l’Intérieur est libre de nous accorder ou pas son autorisation, comme il n’est pas nécessaire d’obtenir l’autorisation., et ce dialogue par presse interposé est révélateur de tractations en cours au sein du sérail; entre ce dernier et la nébuleuse islamiste; sans exclure ( pour ne pas dire oublier) les arbitrages des puissances étrangères.....des tractations de fin de règne? Trop tôt pour le savoir


                      PS: tout à fait d'accord avec l'idée de Hben
                      Dernière modification par mob_dz, 07 août 2008, 01h34.
                      Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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                      • #12
                        In El Khabar

                        براقي مقرا لحزب مزراق الجديد
                        إذا ما استندنا إلى ''إذاعة هولندا العالمية'' فإن مدينة براقي، الواقعة في الضاحية الجنوبية للعاصمة، ستحتضن المقر الأول للحزب الجديد الذي يؤكد زعيم جيش الإنقاذ المحل مدني مزراف أنه سيتشكل قبل نهاية السنة. وقال مزراف أنه وجماعته بصدد التحضير والدعوة إلى مؤتمر يجمع الكثير من الأنصار السياسيين والعسكريين للجبهة من أجل فتح مكتب للحزب الجديد في مدينة براقي. للإشارة، فإن هذه المدينة يقيم بها الأمير الوطني الأول للجماعة الإسلامية المسلحة عبد الحق لعيايدة.
                        a suivre....
                        Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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