Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Akli D à Tizi-Ouzou le 6 Août 2008

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Akli D à Tizi-Ouzou le 6 Août 2008

    Après avoir émerveillé le grand public de Béjaïa durant deux journées consécutives, les 30 et 31 juillet passé à la Maison de la culture Taous-Amrouche avec un nouveau style acoustique, le chanteur Akli D se produira le 6 août A la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, où il aura à rencontrer ses milliers de fans de la masse estudiantine et autres adeptes de la chanson original et moderne. Toujours à la hauteur des événements artistiques et humanitaires à l’échelle nationale et internationale, le consul de la chanson kabyle à l’immigration, Akli D, aura toujours dans le cœur les chansons de solidarité en hommage au défunt Malik Ouskine et autres chansons pour les enfants orphelins de la Tchétchénie en guise de reconnaissance et de solidarité universelle avec les causes justes et nobles.

    Interrogé sur la question des deux spectacles qu’il a animés à la Maison de la culture de Béjaïa, l’enfant prodige de Draâ El Mizan, Akli D., dira avec le bon sens : " Je remercie le nombreux public à Béjaïa. C’est toujours avec plaisir que je chante pour le très cher public kabyle en particulier où qu’il soit". Akli D., fervent militant pacifique et défenseur des droits de l’Homme ne cesse de dira à propos de son inspiration artistique originelle avec un sens d’humour irréfutable : "On peut régler pas mal de questions sans avoir recours a la violence. L’humour fait partie de ma vie". Il abordera dans le même sens : "Je suis issue de l’école de Slimane Azem, Allaoua Zerouki, Cheikh El Hasnaoui, Dahmane el Harrachi et tant d’autres immortels chanteurs algériens et universels". Lui aussi est un fan de Bob Dylan, Bob Marly, Jack Brel et tant d’autres figures emblématiques de la chanson universelle, histoire de dire, la musique n’a pas de frontières, mais des convergences musicales de tous les goûts et de qualité. Ce qui explique sa profonde sensation artistique notamment quand il assiste à plusieurs manifestations pacifiques contre le racisme et les droits de l’Homme en France. Sur la question de la composition de la fameuse chanson qui donne la chair de poule à chaque occasion, il dira avec amertume "Malik Ouskine, un jeune étudiant assassiné à la fleur de l’âge le 5 décembre 1986 au quartier latin Saint-Michel, en pleine manifestation antiracisme organisée par "SOS, racisme", par trois policiers qui se sont acharnés sur lui, alors qu’il n’était même pas parmi la foule".

    Avec émotion, il ajoutera à ce propos, "Il n’y a pas que sa mort en fait qui fait mal, mais c’est surtout le nombre de balles dépassant les 350 trouvées dans son corps". Manifestant son sens de son engagement pacifique il s’exprimera ainsi : "Ce n’est pas un engagement, mais un devoir de conscience", "je ne fais pas de chanson sur commande, mais je m’inspire de la réalité quotidienne", dira-t-il en soupirant. Connaissant le style propre à lui qui se distingue des cacophonies et autres bricolages, soyez très nombreux à rendre hommage à Akli D, tel que lui-même le fait avec cœur et esprit, les poètes ne meurent jamais.

    Par la Dépêche de Kabylie

  • #2
    morjane il me fait rire wallah
    Akli D 14 Juillet
    les larmes et le temps n'efface pas tous les souvenirs
    on peut pleurer un océan mes il restera des vagues de désir!

    Commentaire

    Chargement...
    X