Très belle chanson, q j'aime bcp......dédicace à elfamilia qui m'a rappelée son titre!!!
Bonne écoute à tous....
Part I
Part II
Ali et Ouali sont copains
Allant toujours ensemble
Ils rencontrèrent Muhand et M’hend
A quatre ils continuèrent leur chemin
Se tenant compagnie
Jusqu’au jour oû ils atteignirent leur destination
Ils se mirent en cercle
et tenirent assemblée
Le ciel s’ouvra pour eux (révélations)
Le ciel s’ouvra en deux
La lumière innonda les crêtes
Le «livre» leur tomba du ciel
Le livre de leurs destinées
Ils coururent qui le premier à s’en saisir
Ils ramassèrent ses feuilles éparpilleés
Ils les divisèrent entre eux
A quatre ils les répartirent
Lorsqu’ils assimilèrent les connaissances
Qui leur tombèrent du ciel
Le monde était désormais à leur portée.
Souffle, oh grand vent !
Muhand apprit le commerce
Ali l’art de guerre
Tous deux heureux et reconnaissants envers Dieu
Ouali a choisi la science, le savoir
M’hend – la poèsie, la philosophie
Sur ce ils se quittèrent chacun prenant son chemin
1. Muhand
1.1
Muhand est dans le négoce
Il a appris aux siens les vertus du commerce
Chaque jour augmentent ses émoluments
Il mène une vie de prince, il n’est pas à plaindre
Combien coûte ça, achète ceci, réserve celà
Il a tiré profit des affaires les plus désespérées
1.2.
Il vit l’opulence et la partage avec les siens
Tous ses partisans connaissent la bonne fortune
Chez lui pas de traces de foyer froid ou de pauvreté
Son pays est celui oû les enfants sont rassasiés
Vends-ça, achète–ceci, garde–celà
Sous sa conduite ce monde ne fait pas peur
2. Ouali
2.1 prélude
Ouali a pris la science et le savoir
Sa part du «livre» est donc bonne
Le devoir lui incomba de répandre ce savoir
Sa science il doit l’enseigner
Les enfants ont appris le savoir de sa bouche
Les pérséverants et les bons élèves
Etanchèrent leur soif de Lumières et en tirèrent profit.
Souffle, oh grand vent !
2.2. refrain
Oû sont passés les maîtres du savoir ?
Oû sont passés les maîtres de la pensée ?
2.3.
Je suis instruit, comme lui, comme elle
Nous le sommes tous et partout
Je détiens le savoir, comme lui, comme elle
Nous le détenons pour toujours à travers le temps
J’y ai adhéré, comme l’autre l’a fait
Vous y avez adhérés comme les autres l’ont fait
J’en ai tiré profit comme il en tire
Vous en tirez profit comme ils en tirent
2.3.
Je suis instruit, comme lui, comme elle
Nous le sommes tous et partout
Je détiens le savoir, comme lui, comme elle
Nous le détenons pour toujours à travers le temps
J’y ai adhéré, comme l’autre l’a fait
Vous y avez adhérés comme les autres l’ont fait
J’en ai tiré profit comme il en tire
Vous en tirez profit comme ils en tirent
3. Ali
3.1. prélude
Ali a appris l’art de guerre
Son art est de dévaster les pays
Il sema la mort sur son chemin
La mort et la désolation sont ses traces
Il sema la terreur partout oû il alla
Monstre et scélérat il tua nombre d’âmes
Féroce et fort qu’il était en soldats et en armes.
Souffle, oh grand vent !
3.2. refrain
La famine a emporté des enfants
Les enfants sont morts de faim
Ali dès qu’il apprit l’art de guerre
Il rasa les montagnes pour faire plat
Il ne faisait que parler la poudre et la subtitua à la pluie
Il extermina tous les bâtisseurs
Et ménagea les démolisseurs
3.3.
Ce pays nous appartient, fût sa conviction
Il faut se sacrifier pour,
Il faut se tuer pour
Moi mon but par le combat je l’atteindrai
Je vous laisse vous entredéchirer
Chamaillez-vous en paix mais sans moi
De destructeurs le pays en regorge
De bâtisseurs il en reste point
Ils n’ont pas survécu au massacre
Les enfants sont orphelins
3.4.
Le feu (la guerre) brûle sans répit
Les balles sifflent comme de la grêle
Les balles comme de la grêle
Ils (guerriers) firent que le soleil se désorienta
Le soleil est désorienté
Le soleil ne sait plus oû se coucher
De destructeurs on en regorge
De bâtisseurs il en reste point
Ils n’ont pas survécu au massacre
Les enfants sont orphelins
3.5.
Invente pour moi une nouvelle doctrine
Eh, Ouali presse!,
Eh, Ouali que ça saute!
Eh Muhand la guerre bat son plein
Fournis-moi des armes
Des armes et vite !
De destructeurs le pays en regorge
De bâtisseurs il en reste point
Ils n’ont pas survécu au massacre
Les enfants sont orphelins
4. M’hend
4.0. prélude
M’hend a grandi en poète
Telle fût sa part du «livre» (destinée)
Le «livre» qui lui apprit la poèsie
Qui lui apprit à raconter la vie en poèmes
Il composait ses vers sur le quotidien de ce monde
Malgré tous ses tourments qui le rendaient coléreux
A sa colère il y remédia par le chant
Le chant fut son remède contre le malheur
Sous ses yeux les tragédies défilent
Il en fait des fables
Capable qu’il est de guérrir les plaies
Souffle, oh grand vent !
4. 1. refrain
Endure la faim mon fils
Un jour tes voeux seront exaucés
Oh ! seulement souviens-toi de ton passé
Tu mangeras à ta faim une fois grandi
La soufrance est une bonne épreuve
Elle offre de bonnes bases pour l’avenir
4.2.
Celui qui inventa la patience
Ne s’est pas trompé dans ses calculs
Le silence, qui le recherche comprendra,
Vaut son pesant d’or
Si je racontais la réalité telle quelle
La mule risque d’accoucher
4.3.
La tragédie nous a aveuglés
On se cache les yeux pour ne plus la voir
Nous nous méfions de notre proche
Même si lui aussi est une autruche
Si je racontais la réalité telle quelle
Le ciel risque de s’ébranler
4.4
C’est la loi du silence, le mutisme des témoins
Qui attentdent dans leurs coins que la tragédie débouche sur la paix!
L’hypocrisie qui nous a atteint
Ressemble au monstre qui hante notre sommeil
Je ne dirai rien sur la réalité telle quelle
Peut-être la terre (monde) révoltée le criera un jour
tiré d'un blog!!
Bonne écoute à tous....
Part I
Part II
Ali et Ouali sont copains
Allant toujours ensemble
Ils rencontrèrent Muhand et M’hend
A quatre ils continuèrent leur chemin
Se tenant compagnie
Jusqu’au jour oû ils atteignirent leur destination
Ils se mirent en cercle
et tenirent assemblée
Le ciel s’ouvra pour eux (révélations)
Le ciel s’ouvra en deux
La lumière innonda les crêtes
Le «livre» leur tomba du ciel
Le livre de leurs destinées
Ils coururent qui le premier à s’en saisir
Ils ramassèrent ses feuilles éparpilleés
Ils les divisèrent entre eux
A quatre ils les répartirent
Lorsqu’ils assimilèrent les connaissances
Qui leur tombèrent du ciel
Le monde était désormais à leur portée.
Souffle, oh grand vent !
Muhand apprit le commerce
Ali l’art de guerre
Tous deux heureux et reconnaissants envers Dieu
Ouali a choisi la science, le savoir
M’hend – la poèsie, la philosophie
Sur ce ils se quittèrent chacun prenant son chemin
1. Muhand
1.1
Muhand est dans le négoce
Il a appris aux siens les vertus du commerce
Chaque jour augmentent ses émoluments
Il mène une vie de prince, il n’est pas à plaindre
Combien coûte ça, achète ceci, réserve celà
Il a tiré profit des affaires les plus désespérées
1.2.
Il vit l’opulence et la partage avec les siens
Tous ses partisans connaissent la bonne fortune
Chez lui pas de traces de foyer froid ou de pauvreté
Son pays est celui oû les enfants sont rassasiés
Vends-ça, achète–ceci, garde–celà
Sous sa conduite ce monde ne fait pas peur
2. Ouali
2.1 prélude
Ouali a pris la science et le savoir
Sa part du «livre» est donc bonne
Le devoir lui incomba de répandre ce savoir
Sa science il doit l’enseigner
Les enfants ont appris le savoir de sa bouche
Les pérséverants et les bons élèves
Etanchèrent leur soif de Lumières et en tirèrent profit.
Souffle, oh grand vent !
2.2. refrain
Oû sont passés les maîtres du savoir ?
Oû sont passés les maîtres de la pensée ?
2.3.
Je suis instruit, comme lui, comme elle
Nous le sommes tous et partout
Je détiens le savoir, comme lui, comme elle
Nous le détenons pour toujours à travers le temps
J’y ai adhéré, comme l’autre l’a fait
Vous y avez adhérés comme les autres l’ont fait
J’en ai tiré profit comme il en tire
Vous en tirez profit comme ils en tirent
2.3.
Je suis instruit, comme lui, comme elle
Nous le sommes tous et partout
Je détiens le savoir, comme lui, comme elle
Nous le détenons pour toujours à travers le temps
J’y ai adhéré, comme l’autre l’a fait
Vous y avez adhérés comme les autres l’ont fait
J’en ai tiré profit comme il en tire
Vous en tirez profit comme ils en tirent
3. Ali
3.1. prélude
Ali a appris l’art de guerre
Son art est de dévaster les pays
Il sema la mort sur son chemin
La mort et la désolation sont ses traces
Il sema la terreur partout oû il alla
Monstre et scélérat il tua nombre d’âmes
Féroce et fort qu’il était en soldats et en armes.
Souffle, oh grand vent !
3.2. refrain
La famine a emporté des enfants
Les enfants sont morts de faim
Ali dès qu’il apprit l’art de guerre
Il rasa les montagnes pour faire plat
Il ne faisait que parler la poudre et la subtitua à la pluie
Il extermina tous les bâtisseurs
Et ménagea les démolisseurs
3.3.
Ce pays nous appartient, fût sa conviction
Il faut se sacrifier pour,
Il faut se tuer pour
Moi mon but par le combat je l’atteindrai
Je vous laisse vous entredéchirer
Chamaillez-vous en paix mais sans moi
De destructeurs le pays en regorge
De bâtisseurs il en reste point
Ils n’ont pas survécu au massacre
Les enfants sont orphelins
3.4.
Le feu (la guerre) brûle sans répit
Les balles sifflent comme de la grêle
Les balles comme de la grêle
Ils (guerriers) firent que le soleil se désorienta
Le soleil est désorienté
Le soleil ne sait plus oû se coucher
De destructeurs on en regorge
De bâtisseurs il en reste point
Ils n’ont pas survécu au massacre
Les enfants sont orphelins
3.5.
Invente pour moi une nouvelle doctrine
Eh, Ouali presse!,
Eh, Ouali que ça saute!
Eh Muhand la guerre bat son plein
Fournis-moi des armes
Des armes et vite !
De destructeurs le pays en regorge
De bâtisseurs il en reste point
Ils n’ont pas survécu au massacre
Les enfants sont orphelins
4. M’hend
4.0. prélude
M’hend a grandi en poète
Telle fût sa part du «livre» (destinée)
Le «livre» qui lui apprit la poèsie
Qui lui apprit à raconter la vie en poèmes
Il composait ses vers sur le quotidien de ce monde
Malgré tous ses tourments qui le rendaient coléreux
A sa colère il y remédia par le chant
Le chant fut son remède contre le malheur
Sous ses yeux les tragédies défilent
Il en fait des fables
Capable qu’il est de guérrir les plaies
Souffle, oh grand vent !
4. 1. refrain
Endure la faim mon fils
Un jour tes voeux seront exaucés
Oh ! seulement souviens-toi de ton passé
Tu mangeras à ta faim une fois grandi
La soufrance est une bonne épreuve
Elle offre de bonnes bases pour l’avenir
4.2.
Celui qui inventa la patience
Ne s’est pas trompé dans ses calculs
Le silence, qui le recherche comprendra,
Vaut son pesant d’or
Si je racontais la réalité telle quelle
La mule risque d’accoucher
4.3.
La tragédie nous a aveuglés
On se cache les yeux pour ne plus la voir
Nous nous méfions de notre proche
Même si lui aussi est une autruche
Si je racontais la réalité telle quelle
Le ciel risque de s’ébranler
4.4
C’est la loi du silence, le mutisme des témoins
Qui attentdent dans leurs coins que la tragédie débouche sur la paix!
L’hypocrisie qui nous a atteint
Ressemble au monstre qui hante notre sommeil
Je ne dirai rien sur la réalité telle quelle
Peut-être la terre (monde) révoltée le criera un jour
tiré d'un blog!!
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