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Un jour viendra, lointain peu être...

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  • Un jour viendra, lointain peu être...

    ...............................

    ...........
    Désolé,
    les charognards des mots, adéptes du plagiat, m'ont poussé à retirer mes textes.

    .......................
    Dernière modification par Zacmako, 17 décembre 2011, 08h40.
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    Alors pourquoi donc se battre
    Puis à quoi bon combattre
    Si un caveau profond
    Et froid au fond
    Entre-temps,
    M’attend.
    oui, pourquoi...
    "Il faut avoir bcp de patience pour apprendre à être patient."

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    • #3
      tres joli zac,
      j'ai l'impression de faire un pas en arriére, et puis en avant, et a ce qui nous attend!!!!!!

      merci pour tes jolis ecrits,

      un jour oui!
      les pendules de l'horloge s'arrêtent
      le vent d'automne, qui dénudent les arbres
      se calmera, en liesse posera les feuilles fanées et jaunies
      par terre, et sur les rivières
      et l'eau des rivières cessera de couler,
      une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

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      • #4
        l'eau des rivières cessera de couler,
        Les larmes auront ainsi séché
        Les racines, de la rivière se seront alimentées
        Au prochain printemps d'autres feuilles auront poussé
        Cette fois-ci le vent leur permettra de voler
        Les oiseaux feront de ces feuilles le nid dont ils rêvaient


        Dédicace spéciale MC
        Dernière modification par WorldCitizen, 09 août 2008, 12h11.

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        • #5
          le temps n'a guere de misericorde,il n'et ni clement ni soucieux il est le maitre san limites c'et ainsi , il est passe...

          merci zac
          Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
          Hemingway

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          • #6
            Envoyé par Zac
            Alors pourquoi donc se battre
            Et c'est là que réside toute la beauté
            la dureté, le combat.
            Il faut parfois se battre contre les moulins à vent
            Avancer sans fléchir le regard droit
            Persévérer, se casser le nez, être sûr de son choix
            De soi, de sa volonté d'un monde forcement idéal
            Non pas sans bien ni mal
            Mais pas un monde animal
            Un monde de réflexion
            Où il n'y a pas que la lumière qui réfléchisse
            Un monde grand comme un éclat de rire
            Un monde qui tourne pas forcément rond
            Car rien n'est plus monotone qu'une ligne droite
            Mais un monde plein de vie d'envie et de joie
            Alors oui quitte à finir au cimetière
            Envoyé par Zac
            Un jour viendra, lointain peut être
            Le monde sera rempli de joie,
            Et pourquoi pas?


            Merci Zac, pour ce merveilleux poème évidement toujours aussi beau et.. beau.

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            • #7
              Beau et différent...

              Cette fois pas d'amour perdu, pas d'hommage à un père, une mère, pas de fillette orpheline, d'ami mourant...

              Juste la condition humaine...
              Ce qui dans le fond réuni tous ces êtres à la fois.

              Et puis j'ai aimé la forme, également travaillée différement qu'à l'accoutumée.
              Cet écrit déclinant...à l'image de la condition dépeinte.


              Merci cher Zac!

              Crie leur qu'on est le monde...Que le peuple finira par vaincre,
              Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre...Et que la rue nous appartient!

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              • #8
                Gardons espoir, pour la même chanson…

                Bonjour, Zac,

                Dire que j’ai failli rater un si beau poème,
                J’admire non seulement ton talent, mais aussi tes capacités à mettre ton esprit fécond au service de la poésie et du forum.
                Je suis tombé par hasard sur quelques vers que j’avais composés à ton intention, il y a bien longtemps, à une époque où j’avais encore du temps et de l’inspiration, et je les rappelle avec ta permission.


                A Zacmako

                Dans l’univers des mots déambule l’esprit
                De l’être tant humain, sur la verte prairie
                Des perles et des roses plantées au jour le jour,
                Qui égayent les cœurs, les font vibrer d’amour.

                On y rencontre alors, des riches personnages,
                Des amis véritables, peu importe leur âge,
                Des récits passionnants, des contes, des images,
                Des enfants de la rue à travers leurs messages.

                Chacun peut traverser des moments de douleur,
                Ressentir le besoin de parler de ses maux,
                Seul avec son chagrin, il griffonne des mots,
                Laisse voguer l’esprit, laisse parler son cœur.

                Qui pourrait bien comprendre ces murmures troublants
                Autant que Zacmako, Lyli ou Chevalblanc ?
                Qui pourrait mieux répondre aux appels angoissés
                Qu’un enfant de la rue, fidèle et empressé ?

                A travers ce message dédié au grand poète,
                Cet ami au grand cœur dont le verbe frissonne,
                Je voudrais saluer la famille complète
                Des membres du forum, sans omettre personne

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                • #9
                  Belle surprise que tu nous fais là ! ami d’Oran.
                  Laari est de retour dans la rue des perles à laquelle il manquait tant.
                  Quel grand honneur pour moi, que d'être cité dans un de tes textes !.
                  Merci pour ton hommage que je partage avec plaisir avec tous les artisans de la rue des perles, cette rue qui a soif de ta plume.
                  Dernière modification par Zacmako, 17 septembre 2008, 18h03.
                  Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                  • #10
                    merci Laari1 d'avoir remis c un plaisir de te relire

                    merci Zac
                    sublime se déhanché
                    cette cascade en décroissant
                    se resserrant comme les jours qui diminuent de notre vie...
                    On n'est pas le maître de son coeur...
                    "un seul être vous manque et tout est dépeuplé" A.L.
                    les 3 singes de la sagesse : "je n'ai rien vu - je n'ai rien entendu - je n'ai rien dit"

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